Cet ouvrage est né de la volonté d'aider, financièrement, les soignants marseillais, infirmières, brancardiers, ambulanciers, aide-soignants, personnels de sécurité et de nettoyage, qui ont permis aux médecins de sauver des vies depuis les débuts de la crise du 'Covid-19'. Nous avons choisi de reverser les bénéfice de cet ouvrage à l'association HopeProject, qui oeuvre à l'hôpital de La Timone, à Marseille, en particulier pour les enfants malades.
Le livre est né à l'initiative de l'écrivain Jean-Paul Delfino, en partenariat avec François David (Parlez-moi d'un livre) et Patrick Coulomb (The Melmac Cat).
Le sociologue Célestin Bouglé réunit en 1931 dans ce petit livre les résumés de quelques-unes de ses conférences données depuis la guerre auprès de divers groupements de propagande : pacifistes et féministes, laïques et coopérateurs. Comme il le reconnaît lui-même dans son avant-propos, Le lecteur remarquera que, dans ces conférences elles-mêmes, je me suis efforcé d'incorporer et d'utiliser les résultats des-recherches de sociologie proprement dite auxquelles j'ai pu d'autre part me livrer, par exemple en étudiant les idées égalitaires, la démocratie ou les castes.La question reste ouverte : la difficile question des rapports de la science avec l'action, de la sociologie avec la morale proprement dite. J'ai touché pour ma part à cette question, qui obsède tant de philosophes aujourd'hui, en étudiant « l'évolution des valeurs »; j'espère pouvoir y revenir quelque jour.
Cet ouvrage comprend :
Avant-propos, par Célestin Bouglé I. Tradition Française et Société des Nations II. La Coopération Intellectuelle Internationale III. Le Problème Moral de la Démocratie IV. La Vie Morale et l'Idéal National V. Féminisme et Sociologie VI. Producteurs et Coopérateurs.
Cinquante ans après avoir été énoncées par Carlo Maria Cipolla, les lois fondamentales de la stupidité sont-elles toujours pertinentes? La réponse de Philippe Bonnamy est sans équivoque. Non seulement elles le sont, mais le temps en a même ajouté une nouvelle, tout aussi fondamentale. Poussant plus loin l'analyse, Philippe Bonnamy pose une autre question avec le même sourire en coin: est-ce que la stupidité ne mériterait pas autant, et même davantage que le temps d'être anoblie au rang de quatrième dimension de l'Univers.
Christelle nous livre, dans ce témoignage bouleversant, les difficultés scolaires que rencontrent les sourds, dont 80 % selon un rapport gouvernemental récent seraient illettrés. A quoi bon l'intégration quand elle engendre souffrance, frustration et accentue les discriminations vécues au quotidien ? En lisant ces lignes, le lecteur s'interroge sur les bienfaits de l'inclusion des sourds dans le système scolaire ordinaire. Favorisée par les pouvoirs publics, elle semblerait au contraire empêcher l'égalité des chances et aggraver l'échec scolaire. Ce texte rare (car très peu de sourds écrivent), nous propulse dans un univers étranger où les attitudes, l'esprit de groupe et les émotions nous nous surprennent. Le sous-texte, riche en pistes de réflexion psycho-socio-médicopédagogiques invite à considérer très sérieusement le problème.
Avant la colonisation par l'Homme blanc, les Peaux-Rouges occupaient l'ensemble du continent nord-américain; après, sur fond de guerre civile et front de guerres indiennes, quelques 375 traités furent conclus entre le gouvernement des États-Unis d'Amérique et les groupes ethniques autochtones...
Des territoires accordés solennellement à la Nation indienne, il ne reste à ce jour que 2,5 % de l'Amérique du Nord!
Mais au-delà de ces maigres réserves, au-delà des stéréotypes hollywoodiens et des objets touristiques d'apparat, au-delà de leurs ossements enfouis sous des milliers de miles de freeways, il nous reste des Amérindiens leur parole...
Une parole simple et naturelle; droite et authentique. Une parole digne, souvent tragique, définitivement écrite à l'encre de leur sang: UNE PAROLE-ACTE
Psychologie des foules - Psychology of Crowds (1895) Psychologie des foules est un livre de Gustave Le Bon paru en 1895. Il s'agit d'un ouvrage de référence concernant la psychologie sociale, dont les théories sont encore discutées aujourd'hui. Gustave Le Bon montre dans cet ouvrage que le comportement d'individus réunis n'est pas le même que lorsque les individus raisonnent de manière isolée - il explique ainsi les comportements des foules.
The Crowd: A Study of the Popular Mind (French: Psychologie des Foules; literally: Psychology of Crowds) is a book authored by Gustave Le Bon that was first published in 1895. In the book, Le Bon claims that there are several characteristics of crowd psychology: "impulsiveness, irritability, incapacity to reason, the absence of judgement of the critical spirit, the exaggeration of sentiments, and others..." Le Bon claimed "that an individual immersed for some length of time in a crowd soon finds himself - either in consequence of magnetic influence given out by the crowd or from some other cause of which we are ignorant - in a special state, which much resembles the state of fascination in which the hypnotized individual finds himself in the hands of the hypnotizer.
En 1959, fraîchement sorti du concours de l'Internat des Hôpitaux de Paris, Jean Bernard Joly découvrait l'Algérie.
Médecin dans un poste militaire de la Demi Brigade de Fusiliers Marins, à Tient (actuellement Ghazaouet), il était chargé des soins à la population rurale.
Il a ainsi découvert l'immense pauvreté de la population. Il a aimé ces paysans âpres, courageux dans l'adversité supplémentaire de la guerre.
Il a découvert les manquements de la France envers ces gens, auxquels notre pays avait donné la nationalité française sans leur en donner les droits et les avantages.
Il décrit dans ce livre son action, et les nombreux contacts qui lui ont permis d'aimer les Algériens qu'il a rencontrés.
Ce mois de janvier ouvre l'année avec le contraste de deux mondes qui semblent irréconciliables; D'un côté, le monde de ceux qui se posent des questions, qui s'interrogent sur la portée des innovations, et de l'autre, celui de ceux qui avancent tête baissée vers un futur peut-être radieux mais singulièrement incertain.
C'est le cas pour les questions qui touchent au vivant. Les Etats généraux de la bioéthique s'ouvrent. De nombreux débats vont éclore mais tous portent sur une question fondamentale : a-t-on le droit de toucher à la vie ? Les recherches sur l'embryon l'accaparement des richesses du vivant par l'économie et la finance, les risques de la production non-maîtrisée de médicaments, notre fragilité devant les failles de la société numérique, de celle de l'information, toutes ces questions se bousculent dans le maelström de l'information ; elles ne sont pas prêtes de s'éteindre.
C'est aussi le cas pour les interrogations de plus en plus vives sur l'Intelligence artificielle dont les progrès, chaque jour, nous stupéfient. Cette technique est en train de façonner durablement notre économie en particulier et notre monde en général, mais elle semble lancée sur son erre, comme un mouvement incontrôlable. Peut-on prendre ce train en toute confiance ? Certains nous y incitent, d'autres nous questionnent sur le sens même de cette "intelligence".
A côté de ces grands débats, nous voyons des signaux clignoter partout sur la planète : la révolution de la Chine qui apparaît comme un acteur hyperpuissant dans les mutations du monde, le flot grandissant et qui semble inéluctable des réfugiés climatiques dans nos contrées tempérées, l'attraction de l'espace et des espoirs de vie qu'il porte.
Ce mois-ci, plus que jamais, les temps changent. C'est notre raison d'être d'en repérer les mouvements et d'essayer de les décrypter.
Pendant ce mois de février 2018, l'agriculture et l'alimentation n'ont pas seulement fait salon. Elles ont nourri un débat dense sur leur avenir. Comment changer de modèle agricole ? Quelles formes l'agriculture pourrait-elle prendre ? Pourra-t-elle continuer à nourrir toute la planète ? Dans ce concert d'idées et de propositions, nous retiendrons celles de Vandana Shiva. Elles parlent de sagesse, de retour aux vraies valeurs en un mot : d'humanité. Une interview inspirante à lire dans ce numéro de UP'.
L'humanité à reconquérir. Un dessein plus que jamais nécessaire face au déferlement d'innovations médicales, scientifiques et technologiques.Certaines nous remplissent d'espoir comme celle concernant un possible vaccin contre le cancer, d'autres nous perturbent.C'est le cas de ce qui se trame dans des labos qui veulent commercialiser nos données génétiques. Nous n'avons pas encore fini de nous interroger sur le sort de nos données personnelles, qu'il faut maintenant s'inquiéter de nos données les plus précieuses, celles qui sont inscrites dans notre ADN.
Ce mois de février a aussi vu le lancement de grandes conquêtes. Le succès du lancement d'une des plus grosses fusées du monde nous laisse entrevoir de possibles voyages vers les confins du système solaire. Mais cette nouvelle en cache une autre, plus prosaïque : la course à l'espace est aussi une course aux minerais rares. La Chine a déjà fait main basse, sur Terre, sur ces précieux ingrédients de nos nouvelles technologies, mais d'autres nations voient plus haut et se tournent vers les étoiles pour se fournir en matériaux précieux.
La réforme du bac est presque passée inaperçue dans ce flot d'informations. Et pourtant, la formation de nos enfants, notamment en mathématiques, est un enjeu d'avenir. Des mutations profondes sont en oeuvre mais comprennent-elles la vraie nature de ces nouvelles générations X, Y ou Z ? Quelles en sont les valeurs quand l'amitié à la mode Facebook prend le pas sur Socrate, quand la virilité s'étiole et inquiète, ou quand nous prenons soudainement conscience que l'homme a des limites.
Les innovations passent, les temps changent. Continuons à décrypter ces signaux, profonds ou faibles, qui forgent notre futur.
L'actualité des mois de juillet à août 2017. Monde. France. Loisirs. Sport. Titres et contenus de la presse française. Citations et Proverbes.
L'actualité des mois de novembre à décembre 2017. Monde. France. Loisirs. Sport. Titres et contenus de la presse française. Citations et Proverbes.
L'actualité des mois de septembre à octobre 2017. Monde. France. Loisirs. Sport. Titres et contenus de la presse française. Citations et Proverbes.
Nous avons évalué la pertinence de la théorie de l'évolution à l'aune de la Psyanthropologie. Les résultats sont sans équivoques : suivant les arguments produits par Darwin, la théorie de l'évolution n'est pas logique et ne peut donc pas être soutenable. En dehors du fait que cette théorie donne l'impression de s'appuyer sur des croyances, cette évaluation débouche sur une déduction sarcastique. En effet, elle montre que s'il y a eu évolution, elle se serait passée dans le sens inverse. C'est-à-dire que c'est l'Homme qui serait ancêtre du Singe et non l'inverse. Ce qui, dans l'entendement de tous, serait une aberration. Par ailleurs, précisément, outre les ruptures profondes constatées sur les conditions de Base des Êtres vivants, la véritable rupture entre l'Homme et les autres Êtres vivants réside dans la puissance de son esprit. Or, l'intelligence psychique des Êtres vivants est limitée dans un potentiel. Elle n'est pas le fruit de l'évolution. Enfin, grâce à la Psyanthropologie, on déduit que l'évolution de toute espèce vivante n'est que le fruit d'une adaptation sans transformation radicale interspécifique. Dès lors, il y a un potentiel d'évolution intraspécifique qui ne peut être franchi.
Verra-t-on jamais les abeilles faire de la philosophie, réfléchir à leur condition pour comprendre qui elles sont et comment elles fonctionnent afin d'assurer la pérennité de leur espèce? Certainement que non ! Les abeilles sont dotées, par déterminisme, de tout ce qui leur est nécessaire pour venir au monde, vivre et mourir sans se poser ce type de questions. Elles savent comment organiser leur univers de manière à préserver tant les équilibres endogènes à leur espèce que ceux de leurs biotopes. De tous les Êtres vivants, seul l'Homme doit rechercher, au préalable, des clés visant à construire ces équilibres. Ainsi, il est condamné à se poser des questions sur lui-même et sur le monde afin de trouver cette harmonie dont jouissent instinctivement les abeilles. Pourtant, depuis les premiers Hommes, cette préoccupation s'assimilerait finalement à un océan d'eau trouble dans lequel s'épuise et se noie la pensée. Est-il trop sophistiqué pour lui-même? Peut-être ! Cet échec est-il corrélable avec la montée en puissance du potentiel d'autodestruction humain? Probablement ! Quelles sont les raisons de cet échec ? Une des pistes consisterait à mettre en lumière une évidence jamais assumée : l'insignifiance de l'Homme par rapport à lui-même, à l'existence et à l'univers. Par rapport à lui-même, l'Homme, ou du moins, la partie intrinsèque de lui qui lui fait dire qu'il en est un (son moi), est fondamentalement dominée par une autre : sa dynamique inconsciente. Cette dynamique est certes la pierre angulaire de sa survie, mais elle est dotée d'une puissance phénoménale et inédite manifestée par une autorité. Elle commande l'ensemble des décisions et choix du conscient humain. Dès lors, par défaut, la dynamique consciente ne joue qu'un simple rôle de subordination et de commis pour la survie. Lorsqu'elle n'est pas disciplinée, voire apprivoisée, la dynamique de l'inconscient s'avère être, a posteriori, contreproductive pour cette même survie. Par rapport à l'univers et à l'existence, il est dominé par l'invisible, la mort, l'infini (l'univers) et, donc, l'inconnu. A l'échelle de l'univers, il ne vaut même la taille d'un grain de sable. De ces quatre éléments, le seul sur lequel il a prise est sa dynamique inconsciente. Des connaissances portant sur celle-ci lui permettraient de reconnaître sa place dans cet univers et d'approcher, au moins, les résultats obtenus par les sociétés d'abeilles.
Doit-on accepter, sous prétexte de bonnes intentions, un nouveau dogme religieux ? Entre 2006 et 2011, Véronique Anger public une trentaine d'articles dans lesquels elle analyse les mécanismes des discours élecolomaniaques et dénonce les excès de ce qu'elle appelle une écoreligion qui cherche à imposer sa vérité sans contestation possible. Pour l'auteur, le doute fécond et la liberté d'expression ne sont pas négociables.
.../... En fin un nouveau type de société devra se construire sur un champ de ruines et de malheurs.
Triste perspective !, mais les choses évoluent ainsi depuis bien des décennies, et rien n'infirme ces prévisions.
Attendrons-nous la fatalité ? Tenterons-nous « autre chose » avant le purgatoire ? Soyons simples, mais lucides et efficaces. .../... L'objet de cet ouvrage est de proposer une architecture de fonctionnement social afin d'ouvrir la réflexion et la discussion pour une Collectivité équitable.
Dans ce livre, nous construisons un modèle spécifique portant sur l'analyse de la nature de l'intelligence générale humaine . D'abord, il met en lumière les conditions d'émergence de l'intelligence et la manière dont se répartissent les dotations des potentiels d'intelligence entre les principales catégories d'Êtres vivants (Plantes, Animaux et Êtres humains). Il en ressort que, à cause de l'extrême précarité de sa condition de Base (concept fondé sur le naturalisme), le niveau de ce potentiel est supérieur chez l'Être humain. Sur base des spécifications intellectuelles, ce concept montre donc que tous les Êtres humains, sans exception, sont égaux. Dès lors, ceci permet d'évacuer la subdivision des Êtres humains en espèces : les races humaines n'existent pas. Ensuite, ce livre expose le rôle du climat, en tant que condition de départ, sur le déploiement, à géométrie variable, de ce potentiel intellectuel chez les divers groupes humains. C'est ce facteur qui est à l'origine tant de la racisation que des niveaux stratifiés de développement matériel des peuples actuels.
Dans cet ouvrage rare, l'érudit Alfred Maury, analyse les représentations culturelles médiévales du Serpent et du Dragon, du Loup et de l'Ours, du Chien et de l'Âne, du Porc, du Cerf ou de la Licorne, comme autant de fenêtres pour la compréhensions des écritures. La symbolique du Lion, du Boeuf et de l'Aigle est aussi décryptée en s'appuyant sur les textes des évangiles.
Comme Alfred Maury le rappelle dans son ouvrage, Les quatre évangélistes ont été symbolisés dans les premiers siècles du christianisme, par les images des quatre fleuves qui arrosaient le Paradis.
Plus tard les chrétiens vont préférer à ces emblèmes fluviaux les quatre animaux mystérieux de la vision d'Ézéchiel. En adoptant ces symboles nouveaux, les fidèles dénaturaient le sens que ces quatre animaux avaient eu dans la vision du prophète: en effet, dans Ézéchiel, ils sont les emblèmes des quatre vents, des quatre points cardinaux, des quatre génies tutélaires de la nature.
Les chrétiens, ignorants du sens véritable de ces animaux symboliques, ne voulurent voir dans ces emblèmes que les figures des quatre évangélistes ; mais, attendu que rien n'indiquait, d'une manière précise, auquel de ces quatre animaux chaque évangéliste devait être rapporté, ce ne fut que plus tard que l'on attribua définitivement l'homme à saint Mathieu, le lion à saint Marc, le boeuf à saint Luc et l'aigle à saint Jean. Ainsi, un premier effet des nouvelles croyances religieuses aura été de transformer en symboles des quatre rédacteurs de la parole divine, les emblèmes du monde animalier.
Les services spéciaux, ont-ils envahi l'ufologie ? Qu'est-ce qui préoccupe les adeptes des soucoupes volantes ? Qu'en est-il du mystère de l'ufologie ? Astronome de formation et spécialiste (indépendante) dans le domaine du Renseignement, l'auteur se contente de se pencher sur le mystère de l'ufologie, en s'appuyant sur divers témoignages.
J'ai parfois l'impression que les auteurs reprennent mes idées publiques et gratuites sur les réseaux pros, en rajoutent une part qui me paraît évidente, mais qu'eux développent.
Si c'est le cas, c'est tout à notre honneur. Heureusement, je traite ici d'autres sujets aussi.
C'est mon cinquième livre. J'ai fait dense pour le lecteur. Il est normalement capable d'une telle lecture avec un niveau Bac.
Pour moi, c'est court et c'est bien (le mieux est l'ennemi du bien). C'est un livre qui interroge et donne des pistes de remise en question, de la culture actuelle, ainsi que de la science.
Après cinq voyages en Albanie, dont un premier séjour de deux mois, l'auteur et illustrateur de Regards en pays Shqipëtar publie textes et dessins nés en ce pays à la fois si proche, géographiquement, et si méconnu. Ces pages évoquent et décrivent une nature encore libre et vivante, racontent de multiples rencontres avec les albanais eux-mêmes, recueillent leurs paroles elles prennent aussi un aspect documentaire ou historique né de recherches bibliographiques et journalistiques. L'auteur ne cherche nullement à raconter son voyage mais, plutôt, à partager au travers de l'écriture et du dessin, le bonheur de la découverte et du voyage en cette Albanie dont on devine peu, depuis la France, les trésors.
Le système Agricole est moribond, toutes les béquilles dont on le flanque ne servent à rien. Les discours de changements sont sa mise à mort parce qu'il ne peut être modifié de l'extérieur. Ces étrangers au monde agricole n'ont rien à voir avec l'agriculture. Ils la regardent comme un médecin au chevet d'un mourant, sans aucune volonté d'éternel, la maladie mortelle de l'Agriculture. Le monde agricole ne peut que se modifier de lui-même avec son intelligence, son savoir-faire.
Il n'est pas maître de la nature, il le sait, mais il maîtrise son Art. Il a ses repères, son passé, son échelle de temps, ses règles de solidarité. La Société est absurde, sans aides financières, le paysan n'existerait plus, ça serait la famine et la mort dans tout le pays. Dans la gestion politique de l'Agriculture, le débat avec le paysan est essentiel, car l'Agriculture doit être la priorité politique du pays, car l'Alimentation est la base de la vie humaine et de la paix sociale.
Les différents paragraphes de l'essai - le soupir du paysan - et la Terre mourut - l'essence de la vie - 12 000 ans d'agriculture - le chaos imprévisible - plus de pétrole - le modèle agricole - tentent une approche concrète pour montrer la vision de l'auteur, fils de paysan normand.
L'humanité toute entière est en train de traverser une crise sans précédent. Nous voici devant un choix important à faire: continuer comme avant, basculer entre confinements, fermetures et pénalisations et risquer une dictature de la santé - ou devenir l'unique responsable de notre vie. Redécouvrir le potentiel qui est en nous ou devenir un esclave de la technologie et de l'intelligence artificielle? Surveillance ou liberté? Peur ou confiance? Personne n'échappe à ces questions. Nous nous trouvons tous au seuil d'une nouvelle civilisation, d'une nouvelle humanité. A nous de décider ce que nous voulons vraiment.
Voilà l'envers du décor que l'on ne voit pas derrière ces hauts murs de la prison.