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Benevent
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"Aimer sa vie est le récit d'une expérience vécue. Cette histoire est touchante et bouleversante : âgée de 13 ans, face au divorce de ses parents, à la mort de son papa et au décès de ses amis, cette ado a emmuré sa douleur pour pouvoir la supporter. Elle partage ses difficultés personnelles, scolaires et relationnelles lorsque la mort frappe, dans l'inattendu, sans qu'on y soit préparé. Dans ce récit, elle nous conte comment elle est passée de la souffrance à la reconstruction d'elle-même. Les moments douloureux de la vie peuvent ouvrir une voie à une vie plus riche et plus sereine. Une belle source d'inspiration au service des autres.
Karine Mal est assistante sociale. Elle accompagne et oriente enfants, adolescents et adultes dans leur cheminement vers la résolution de leurs difficultés scolaires ou familiales."
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Habitude absurde des Occidentaux, la discrimination entre les homicides exécutés par des marginaux (racaille en quête d'un butin de survie) et ceux commandés par des autorités d'état. Pourtant, il est bien vrai qu'une âme d'assassin peut s'abriter aussi bien dans les guenilles d'un loqueteux que dans la pourpre d'un monarque. Et, puisque c'est dans l'esprit de l'homme que la décision d'un meurtre est prise, aucune distinction n'est possible entre les responsables de la conception et de l'exécution de crimes. La véridicité de la présente oeuvre, rédigée sous l'épitaphe " un crime c'est un crime, et tout responsable est un assassin, le mandataire et l'exécutant ", fait appel à deux familles princières de temps et pays différents : les Hérode de la Palestine du début de notre ère, et les Tudor de l'Angleterre du XVIe siècle. L'analyse de la psychologie de souverains d'époques différentes montre que la conscience d'un être humain est indépendante de sa race et de sa position hiérarchique. Et que pour tout meurtrier jaillit le cri des origines de l'humanité : " Caïn, qu'as-tu fait de ton frère ? "
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La démarche essentielle de l'auteur vise à conférer une envergure attachante originale. Il tente de montrer le terrain commun de la jubilation. Une philosophie mettant à la lumière le concept de la valeur de la prudence et de la réflexion.
L'aboutissement particulier de cet essai, loin d'être une gestion de ressources d'une conception classique, est de nous aider à éveiller une part importante de notre intelligence dans la fusion de la résistance : prudence et réflexion.
Agir prudemment nous incite à une construction réflexible qui se développe aux tréfonds de nous-même.
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« L'hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu. » François de La Rochefoucault.
Cet essai nous invite à résister à cette pétrification de la pensée engendrée par l'hypocrisie dans tous les domaines : politique, économique, psychologique et sociologique.
L'hypocrisie sociétale devient révélatrice d'un malaise culturel. Notre monde est désemparé et nous devons incarner le changement que nous souhaitons voir se réaliser.
Une véritable réflexion sur la responsabilité intellectuelle et la liberté d'esprit.
Jean-Yves Cornachon a publié aux éditions Bénévent Dictature de la Peur en 2007.
Passionné par la philosophie et les comportements humains, l'auteur se nourrit de l'observation de ses contemporains.
Il s'intéresse aux questions anthropologiques. Comment sera l'homme de demain ? Quelle sera sa réalité ? Quelles sont ses valeurs, ses références éthiques, ses modèles, ses modes de vie ?
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Le Nu crée l'émoi chez les bégueules, alors que d'autres y trouvent le plaisir, sans oublier que face à ce fait de société, personne ne peut rester indifférent. Par contre, la Nudité est l'aboutissement de comportements sadiques comme on a pu le constater dernièrement dans une prison militaire de Bagdad Le psychiatre Claude Meyers raconte dans cet essai l'histoire du Nu et de la Nudité. Il y décrypte les contacts sensoriels plaisants ou déplaisants qu'a l'homme face au nu et à la nudité : fusionnels dans les corps à corps de l'Antiquité, du Moyen âge et de la Renaissance, ils interpellent le sens du toucher pour laisser la place au XIX et XXe siècles au sens de la vue favorisé par la production croissante d'images de toutes sortes de plus en plus médiatisées.
Le Nu de nos jours s'intègre dans le regard émerveillé de nos contemporains grâce aux mouvements du corps libéré pour créer la sensation immédiate.
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Ainsi marchait l'humanité ; une vision psycho-mathématique des sciences humaines et sociales et du management
Jean-françois Geneste
- Benevent
- 14 Janvier 2009
- 9782756311036
Pourquoi un P-DG ou un DRH ayant fait des études scientifiques se comporte-t-il comme un P-DG ou un DRH qui aurait fait des études littéraires ? À partir de cette remarque originale, l'auteur définit une nouvelle théorie du comportement humain qui passe par l'introduction didactique de lois basées sur les mathématiques et la physique. Le sujet est nouveau ici, dans le sens où il est démontré comment des lois très générales expliquent l'histoire de l'Humanité, de ses débuts jusqu'à aujourd'hui et autorisent même une prévision moyenne de ce qui va se passer. À partir du moment où l'Homme invente la monnaie, des lois permettent en effet de déterminer quelle sera inévitablement l'évolution de la société humaine. Ainsi, par exemple, la démocratie était-elle inéluctable. En focalisant sa réflexion sur le comportement individuel, l'auteur analyse et explique les dérèglements du monde actuel et fustige ceux qui en sont les moteurs et les responsables, les médias entre autres. Il passe aussi la mondialisation au peigne fin...
Fort du constat que sa théorie marche globalement, il fait alors une incursion dans le domaine de l'entreprise et montre les avantages que l'on aurait à la gérer scientifiquement. Il démontre notamment que dans une compétition équilibrée, deux entreprises concurrentes fabriquent nécessairement des produits similaires et donne des solutions pour se sortir d'un tel paradigme...
L'auteur, conseiller scientifique du groupe EADS, a, dans cet ouvrage, usé à la fois de sa compétence intellectuelle et de son expérience de terrain. Son propos est émaillé de nombreux exemples pratiques qui ponctuent et viennent soutenir une approche particulièrement novatrice et non-conformiste de notre monde.
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Une carrière d'instit dans les quartiers et l'enseignement spécialisé s'est achevée.
On a quitté le métier sans amertume, sans trop de regrets non plus, avec toujours autant d'incertitudes et beaucoup d'inquiétudes pour l'avenir de l'Éducation encore nationale.
Je n'ai gardé que les images du bonheur de ce métier en moi.
Mais le bonheur n'est pas à vendre.
Un instituteur n'a rien à vendre, il a tout à offrir, il a à partager.
Le bonheur c'est tout ce qui reste lorsque l'on a calmé les battements de notre coeur quand les émotions étaient trop fortes, que les larmes ont séché, que le calme est revenu.
Le bonheur ce sont tous ces petits riens qui font que l'enseignement est un métier vraiment sympa, vraiment à part, des regards qui disent merci ou qui vous font confiance, des paroles, ces mots d'enfants qui vous bouleversent ou vous arrachent des larmes de rire, qui interrogent, qui interpellent.
Le bonheur ce sont tous ces petits détails que l'on se doit d'enregistrer, ces bouffées d'air que l'on respire un peu plus fort et qui vous permettront plus tard d'oublier pour un instant les mille et un tracas d'une journée de classe.
Le bonheur ce sont ces rencontres par centaines et parfois ces discussions pour un temps interrompues que l'on reprend trente ans après, petits élèves devenus grands.
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Naïve, elle imaginait des vacances de rêve dans son pays d'origine, l'Algérie. Mais surprise, ce fut un aller sans retour.
Brutale découverte d'une tout autre réalité où se mêlent « Adates oua takalides » : coutumes et traditions.
Pour la première fois, elle se voile dans un monde archaïque, rempli de tabous, de mensonges et de souffrances.
Fini la belle vie, les copines, le collège, la mode.
Mais dans ce village traditionnel, perdu en plein désert, appelé « la ville des mille coupoles », elle se découvre la rage de survivre et rêve de retourner un jour dans son pays natal : la France.
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Avec le siècle des Lumières naît l'usage politique et social de la raison éclairée et éclairante, qui mettra fin aux grands systèmes métaphysiques et religieux, aux idéologies porteuses de sens. Le développement des technologies, des moyens de communication, a provoqué à l'inverse une accélération du temps, une inondation de significations rendant le monde inaudible, et désormais, le questionnement sur l'orientation de sa vie traversant chacun ne peut trouver réponse et espace seulement dans un retour à soi, à ses aspirations.
Ce recentrement sur soi, justement, est à l'origine de critiques acerbes vis-à-vis du coaching, expression de l'individualisme contemporain, égoïste et narcissique, à revers de la démarche philosophique qui tend vers la construction d'une vision universelle.
Pourtant, le coaching s'appuie non pas sur la notion de l'individu, mais sur celle de la personne. Et de cette confusion permanente et souvent choisie, nous aboutissons à une lecture simpliste et réductrice du coaching. Or, insister sur cette notion de personne, c'est situer le coaching à l'opposé de l'individualisme. Le coaching veut inciter les personnes à réfléchir en partant d'elles-mêmes et de leur vie concrète afin de s'extraire d'une logique de revendication passive et de développer une emprise sur leur existence.
Le coaching responsabilise la personne dans la mesure où elle détient les ressources pour devenir acteur de son changement, il est une philosophie de l'homme.
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Le message que je voudrais faire passer à mes frères catholiques, c'est celui qui me fut adressé le 23 février 1975 :
« Vous n'êtes plus sous la loi mais sous la grâce » (Rm 6:14).
Il y a un avant et un après dans ma vie chrétienne, que ce soit dans le domaine de ma foi, de mon image de Dieu, de mes motivations à la vie chrétienne et dans ma prière elle-même.
Je montre, par de brefs témoignages, généralement connus, que ce genre d'événements fait partie de la vie chrétienne normale.
On leur donne un nom : conversion, nouvelle naissance, qui ne prend son véritable sens que pour celui qui l'a vécu.
Je fais part des difficultés rencontrées à me faire comprendre.
Pour beaucoup de personnes qui se disent chrétiennes, comme pour moi avant de faire cette expérience, on doit faire des efforts pour essayer de mériter le Ciel alors que Jésus nous l'a déjà gagné et nous l'offre gratuitement.
Pour les chrétiens, les oeuvres sont des fruits et non des moyens !
J'interpelle enfin mon église pour qu'elle annonce davantage Jésus-Christ qui seul libère, plutôt que de proposer la loi à respecter comme elle le fait encore trop souvent.
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Tous les faits relatés dans cet ouvrage sont authentiques. Certaines scènes n'auraient pu être inventées si elles n'avaient pas été notées au jour le jour, et parfois heure par heure, dans le journal intime de l'auteur.
Orphelin de père à onze ans, il vit avec sa mère, fille de la campagne hors de son élément, dans un quartier ouvrier. Enfant de la rue, il ne désespère pas. Il obtient son certificat d'études primaires et suit des cours du soir en comptabilité. Sans autre diplôme, il sera secrétaire, comptable, libraire et terminera sa carrière comme directeur administratif et financier dans une grande entreprise.
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Les déplacements en ville passent par les transports en commun, l'automobile, le vélo mais commencent toujours par le trottoir.
L'observation de cet espace m'a fait apparaître beaucoup de défauts dont certains pourraient être facilement évités.
L'absence d'obligation pour les responsables ne facilite pas leur aménagement et il faudra beaucoup de temps et de patience avant que le trottoir ne soit une satisfaction pour tous.
Cependant le trottoir et la rue sont des magnifiques lieux de rencontres, de promenade et de fête dans la ville.
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L'auteur examine l'aplomb d'une mise en crise salutaire de la jubilation : mettre la jubilation dans une logique du devenir, la jubilationoménologie, une science neuve, résultant d'un concept de l'évaluation d'une opération de recherche
philosophique comme fondement critique et dynamique : la cotisation.
La cotisation s'inscrit dans une construction d'une hygiène gymnique intelligente : nourrrir les neurones pour accéder à la sollicitude de la rectitude abyssine de la sanctification de la vie : cogiter et swinguer.
Pour que vive la jubilation, merci la vie.
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Propreté et gestion déchets à Paris hier et aujourd'hui
Bassane-richard Forot
- Benevent
- 1 Mars 2007
- 9782756304380
Paris « ville de boue, Lutecia » et Paris « la plus belle ville du monde »... Entre les deux, plusieurs siècles d'urbanisation. Certes, on bâtit, on ordonna les édifices, mais on livra aussi une incessante lutte contre les immondices et pour la propreté. Les édits royaux, les décrets, les arrêtés préfectoraux, les mémoires de citoyens, les témoignages des contemporains, notamment des élites, nous rapportent beaucoup plus d'échecs que de succès en matière de nettoiement jusqu'à la fin du xixe siècle.
Ce n'est véritablement qu'au début du XXe siècle que s'installèrent des solutions durables et de progrès. Deux constantes résistent à l'épreuve du temps :
La morphologie de la capitale - dallage, égouts, alignement du bâti, transports - qui a toujours conditionné les succès dans ce domaine.
La participation et l'adhésion des populations ont assuré le relais des décisions des autorités publiques et privées.
Ce livre rend compte de ce grand service public de la propreté et de la gestion des déchets à Paris, tant dans ses dimensions psychologique et sociale qu'économique
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Nous sommes très inquiets de la délinquance juvénile et de l'augmentation du nombre de jeunes en difficulté.
Un couple d'éducateurs spécialisés a choisi d'exercer son métier, pendant quinze ans, en vivant constamment avec plusieurs adolescents intelligents, mais dont les troubles comportementaux les isolent et les excluent de notre société.
À travers des anecdotes véridiques, confrontés à la violence, à la drogue, ces éducateurs montrent que la reconstruction des jeunes (dont la majorité est victime de la barbarie des adultes) passe par l'éducation qui se conjugue avec autorité, parfois avec punition et discipline, mais toujours dans la compréhension, le dialogue et la négociation. Dans ce climat qui se veut chaleureux se crée du lien où le jeune se reconstruit.
Le couple éducatif est constamment confronté à la maltraitance et la souffrance des jeunes qui engendrent de la violence et des situations de vie extrêmes.Les difficultés de la jeunesse est l'affaire de tous. Cette expérience éducative nous incite à nous y intéresser. C'est de nos enfants qu'il s'agit.
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« Je suis devenue la pasionaria de la transmission littéraire ». Pourquoi en effet est-on une « enragée » de littérature, si ce n'est pour communiquer sa passion de la lecture ? Philippe Labro, Charles Juliet, Pierre Assouline, Jean d'ormesson ou Michel Tournier, tous ont salué mon combat en faveur de la lecture... »
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Être la victime, avoir à porter le fardeau de la grande honte, ne rien pouvoir s'expliquer de ce qui s'est passé. Ainsi, si j'ai aussi tant tenu à partir au loin (fuir ?), tant voulu atteindre mon fol objectif, c'est que je ne voulais plus avoir à supporter l'idée d'être la perdante, la faible ; je voulais larguer derrière moi, dans cet océan, ce grand rôle que l'on m'avait imposé de force pendant mon adolescence, celui de la victime. Je voulais cesser d'être cette victime. La seule chose que j'ai véritablement haïe, c'est cette peau de martyre dans laquelle je me sentais si mal.
Laisser la combustion faire son travail jusqu'au bout pour alors s'offrir cette chance de renaître, renaître à soi. Petit phénix.
Partir vivre seule dans le Grand Nord canadien. Mon beau rêve de lumière si fidèle m'aura fait grandir ; il m'a fait grandir trop vite mais il m'a sauvée. De mon enfance et au sortir de cette longue marche à l'ombre, ce fut la seule fleur d'innocence préservée et la dernière des portes à condamner. De l'enfant que j'étais, il fut la résolution qui me tira vers le haut, bien au-dessus de tout ça.