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Cefal
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La ceramique en belgique : de la prehistoire au milieu du xixe siecle
Mordant Robert
- Cefal
- 7 Avril 2009
- 9782871302254
Au VIe millénaire dans nos régions, l'homme se sédentarise. Il maîtrise progressivement l'agriculture et l'élevage. Il se heurte alors à un nouveau défi. Comment préserver le produit de ses récoltes et le rendre propre à son alimentation ? La solution viendra de l'argile modelée et durcie au contact de la flamme : la céramique. Elle fournit des récipients adéquats pour conserver les denrées et aussi pour les cuire.
Bien des progrès techniques ont été accomplis depuis les premières poteries rugueuses, fragiles, poreuses, aux coloris sombres et la vaisselle de porcelaine, solide malgré sa délicatesse, aussi lisse et polie qu'un miroir, aussi sonore que le cristal, d'une blancheur immaculée ou agrémentée de ravissants décors peints.
C'est ce long parcours qui est raconté dans ce livre. Dans un style clair, servi par une abondante illustration, l'auteur décrit les techniques inventées au fil des siècles par les hommes pour se doter de poteries toujours plus élégantes et mieux adaptées à leurs besoins.
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« A Florence, quand j'étais enfant, des dames anglaises dispensaient des cours particuliers. L'une d'elles, Miss Mary O'Neal, m'a fait découvrir les merveilles de la littérature anglaise. Je n'avais que dix ans quand j'ai lu pour la première fois Shakespeare et Charlotte Brontë. Jane Eyre était le livre favori de ma charmante préceptrice, et je continue à considérer ce roman comme l'un des plus beaux jamais écrits. [...] Ce roman si moderne et si profond constitue à mon avis un événement marquant dans l'histoire des femmes du monde entier. Jane, sans être une véritable féministe, estime qu'elle n'est pas inférieure aux hommes. » (Franco Zeffîrelli, « Interview with the director », p. 5) Quelques lignes de l'entretien de Zeffîrelli suffisent pour entendre l'admiration qu'il voue depuis toujours à Charlotte Brontë et l'intérêt qu'il porte à la condition des femmes. Il n'est donc pas étonnant qu'il octroie une telle place à Jane et à ses revendications féministes, démarche qui inscrit son adaptation dans la catégorie du woman'sfilm. Parallèlement, il offre au public un costume drama aux images élégantes derrière lesquelles s'effacent l'aspect révolutionnaire du roman à l'époque de sa publication (1847) - le temps s'en était déjà chargé auprès des lecteurs - et le discours religieux peu susceptible de séduire un public contemporain. Etroitement lié à la vague de héritage films des années 1990 souvent produits par des réalisateurs étrangers conscients des clichés de l'Englishness, Jane Eyre met en valeur les beautés du patrimoine, les costumes, les paysages, les demeures qui participent au surgissement du gothique rattaché à l'univers patriarcal.
Après avoir dressé un rapide état des lieux des diverses adaptations de Jane Eyre, en s'attachant à six d'entre elles, Lydia Martin explore celle de Zeffirelli : promotion du film, apports des procédés cinématographiques, scènes inventées-supprimées-modifiées, étude de la musique, influence de la peinture romantique. Elle étudie également la part allouée aux domaines qui font la richesse du roman : l'autobiographie fictive, le Bildungsroman, le romantisme, le réalisme, le gothique, le conte de fées, auxquels se joignent des angles d'approche correspondant à l'époque du tournage, comme le féminisme ou le post-colonialisme.
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Le cinema et l'imaginaire : propositions pour une theorie du cinema narratif
Michel Serceau
- Cefal
- Travaux Et Theses
- 10 Septembre 2009
- 9782871302704
Le système de représentation du 7e art articulant de façon inédite le réel, le symbolique et l'imaginaire ne s'y confond pas plus avec l'invention formelle qu'avec la thématique du film ou l'imagination d'un auteur. Lieu de réception du mythe et revivification des « structures anthropologiques » de l'imaginaire, adjuvant de la structuration du Moi, le cinéma classique est au cinéma ce que le roman est à la « littérature ». Incontournables faits de réception, le triomphe de la fiction et la marginalisation du cinéma expérimental témoignent, contre les utopies de la modernité artistique, d'un persistant appel du sujet. Il ne suffit donc pas de dire que l'image cinématographique est venue confirmer des structures mentales préexistantes : cette thèse qui veut que le médium ait en lui-même une spécificité confond le langage et le récepteur. On ne peut évaluer la place de l'imaginaire dans le cinéma sans interroger ses relations avec le symbolique.
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L'auteur s'emploie à rendre au film, au delà de sa réputation liée à son interdiction par la censure, son étendue créatrice. Dans cette perspective, l'essai, replace dans un premier temps, La Religieuse dans le mouvement de la filmographie.
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Les ecrans meutriers : essais sur les scenes speculaires du thriller
Denis Mellier
- Cefal
- Travaux Et Theses
- 1 Mars 2002
- 9782871300977
Essai sur les scènes fantastiques où apparaissent des figures en excès, où disparaissent, aux limites du cadre, les ombres et les corps ; scènes policières où se joue la perte d'un sens que l'enquête restaure le plus souvent. D'où vient que ces formes du thriller se déploient si souvent en scènes spéculaires : jeu de miroirs, reflets déformés, citations et métadiscours en tous genres ? Autant de dispositifs réflexifs par lesquels la forme devient son propre objet, se signalant à l'attention du spectateur, pour finalement exhiber sa performance.
Il ne s'agit cependant pas là d'un défaut du spectacle qui ruinerait, dans la conscience des formes, le plaisir simple qu'on peut y prendre : c'est peut-être une des caractéristiques essentielles du thriller que de manifester ainsi une telle propension réflexive.
De Hitchcock à Verhoeven, de Craven à Mankiewicz, de Carpenter à Minnelli, du cinéma de Stone à celui de Wise ou de Wyler, du visage des monstres aux métamorphoses des corps, ce livre veut interroger les dimensions réflexives du thriller, leurs possibilités mais aussi leurs limites, afin de mesurer, dans un âge de généralisation - de dévitalisation ? - absolue des procédés spéculaires, la vanité ou la pertinence encore possible de tels dispositifs.
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Lubitsch, les voix du désir ; les comédies américaines, 1932-1946
Natacha Thiéry
- Cefal
- Grand Ecran Petit Ecran
- 24 Avril 2002
- 9782871300847
Ernst Lubitsch fut le maître de la comédie américaine des années 1930 et 1940. Ses films sont marqués par une grâce, une ironie souriante, une fluidité formelle, autant de traits qui définissent la fameuse Lubitsch touch.
La mise en scène des films de Lubitsch est indissociable de l'usage d'une parole à la fois drôle et élégante et des trajets inattendus suivis par les mots et les sons. La fantaisie malicieuse de ce cinéma repose sur la structuration de l'espace par la parole et sur l'inventivité d'une réalisation rythmée par les dialogues. Elle est également tributaire des jeux de séduction, de l'émotion érotique des voix et de la sensualité des corps.
Une analyse nouvelle du rapport singulier entre l'image et la parole dans les films de Lubitsch est proposée dans ce livre. Elle invite à partager le désir et le plaisir qui circulent en permanence entre le cinéaste, les personnages et le spectateur.
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Une architecture nomade ; les gares belges en métal à travers le monde
Collectif
- Cefal
- 28 Mars 2017
- 9782390100744
Le présent ouvrage vous emmène à la découverte de gares emblématiques qui témoignent du savoir-faire belge en matière de conception, de production et d'exportation d'une architecture métallique, foncièrement nomade, à travers le monde. De Liège à Santiago, d'Alexandrie à Londres, de Séville à Bruxelles les gares Made in Belgium racontées dans cet ouvrage attestent des grandes mutations de ces édifices au cours du temps et de leurs ramifications avec l'environnement urbain. Porte d'entrée de la ville, ville à portée du quai, les gares sont l'atelier de la modernité. De lieux de passages, les gares sont devenues des plateformes multifonctionnelles dont l'architecture, hier comme aujourd'hui, suscite la fascination et l'interpellation sur l'évolution de nos villes. C'est au départ de cet aller-retour entre le passé et le présent que nous vous invitons à embarquer en parcourant le monde des gares et le monde à travers les gares belges à ossature métallique.
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Observateur passionné par sa ville, François-Xavier Cardon pose son regard et son objectif sur les différentes facettes des décors urbains, ainsi que sur ceux qui les habitent. Le fil l'Ariane de ces photographies est la recherche de moments de vie dans l'espace et les lieux publics, et le désir de figer l'instant présent tout en essayant de retranscrire la spontanéité à laquelle on ne prête pas toujours attention. Ruelles oubliées, silhouettes sous la pluie, jeux de regards ou compositions inattendues offertes par le bitume, les photos de Dans Liège dessinent un portrait par touches d'un Liège au quotidien.
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Artiste liégeois polyvalent, Fernand Flausch (1948-2013) est issu de l'Académie Royale des Beaux-Arts de Liège pour laquelle il fut, entre autres, professeur de sérigraphie. Dès ses premières réalisations, Flausch a pratiqué un actif décloisonnement des genres artistiques (bande dessinée, peinture, néon...). Il a également favorisé l'insertion d'oeuvres dans notre environnement quotidien. La sculpture monumentale La mort de l'automobile au Musée en Plein Air du Sart-Tilman et la création de mobilier urbain (notamment celui de la place Saint-Lambert à Liège), la réalisation de néons et du vitrail du Cinéma Churchill, ou encore la réalisation de fresques en plexi lumineux à la station de métro Ribaucourt à Bruxelles.
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Que nous apprennent les oeuvres d'art sur les artistes qui les ont créées ? Comment celles-ci rendent-elles compte de l'évolution de l'homme à l'époque qui a vu naître ces mêmes oeuvres ? Quel est le regard de l'artiste - cet être humain doué de créativité - sur l'oeuvre qu'il a enfantée ? Traditionnellement, les livres sur l'histoire de l'art négligent cet aspect de la création artistique et se contentent d'analyser l'objet « oeuvre d'art ». À travers cet ouvrage, Guy Vandeloise relate les événements historico-artistiques présentés dans leur globalité, en évitant les classifications traditionnelles (par époque, localisation ou courant artistique), et ce afin de mieux reporter notre attention sur le créateur et le lien qui l'unit de manière indéfectible à son chef d'oeuvre.
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Les impromptus d'Eddy Bolly ont cette force évocatrice des humeurs citadines, des échappées de bord de mer, des intérieurs entraperçus derrière un rideau, dans une loge de théâtre, dans le geste intime et peut-être unique que le temps effacera. On marche beaucoup dans ses photographies, parfois même n'apparaissent que les pas suspendus de corps invisibles, car ils sont tout le monde, un bref instant, une minuscule seconde.
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Il etait une fois... rosetta : la crise dans l'oeuvre de luc et jean-pierre dardenne en general, et
Mairlot Madeleine
- Cefal
- 5 Décembre 2004
- 9782871302025
Les vidéos et les films des frères Dardenne s'égrènent, des années 1970 à la fin des années 1990, sur fil rouge de Meuse et de mémoires individuelles et collectives, et sur fond de luttes ouvrières. Un regard acéré sur la résistance, l'utopie, les valeurs en perte de transmission. Une pensée sans concessions, au bord de la nostalgie, sur les crises sociales et morales qui caractérisent notre époque et notre région.
La Promesse, en traçant le destin d'un individu sans repères, marque un tournant dans l'oeuvre des frères.
Avec Rosetta, leur première Palme d'or du Festival de Cannes, en 1999, s'amorce une ère nouvelle. Une rupture dans le récit cinématographique et dans la manière de filmer, qui met en crise le spectateur lui-même. Un renversement porteur d'interrogations sur le rapport à la société de l'individu de la fin du XXème siècle. Si l'horizon du paysage industriel liégeois s'est évanoui, le film n'en est pas moins engagé. Profondément.
L'héroïne, petit Chaperon Rouge contemporain, et ses créateurs nous entraînent dans les abîmes d'une fable d'où l'on ne revient pas indemne.
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Pour une histoire culturelle du cinema : au-devant de scenes filmees, de films chantants et parlants
Edouard Arnoldy
- Cefal
- 15 Juin 2004
- 9782871301813
Le mérite d'Édouard Arnoldy est, en s'attachant à un objet a priori balisé et maîtrisé, « le cinéma sonore » d'en récrire de manière problématique l'effectuation. Il y a les faits qu'il connaît, repère et circonscrit, et il y a la place à leur accorder et qui mobilise des qualités d'hypothèse qui peuvent être « osées » : telle cette pratique de la diagonale revendiquée par l'auteur, les raccourcis qu'il opère, les rapprochements apparemment indus. [... ] Mais ce geste implique de s'appuyer sur d'autres scansions que la chronologie usuelle, d'engager une histoire « longue » où le cinéma forme séquence.
[... ] Pour parvenir à énoncer tranquillement que « The Jazz Singer ne marque en aucune façon le passage abrupt d'une époque à une autre ou d'un mode de représentation à un autre, mais plutôt la confrontation, la coexistence, la collision et le télescopage de plusieurs modes de représentation », qu'il est le « maillon d'une chaîne », il faut avoir repris à nouveaux frais tout l'ensemble de cette « évolution » du cinéma sans demeurer prisonnier des « périodisations » anciennes ni nouvelles, il a fallu esquisser une tkouvellé manière d'écrire cette histoire en opérant des jonctions imprévues, des montages qui sont les prémisses d'une conceptualisation de cette histoire, par-delà les descriptions empiriques.
Extrait de la préface de François Albera
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Freaks : la monstrueuse parade de tod browning : de l'exhibition a la monstration, du cinema comme t
Dick Tomasovic
- Cefal
- 3 Avril 2006
- 9782871302070
Film maudit réalisé par un cinéaste mythique, Freaks, la Monstrueuse Parade de Tod Browning date de 1932. Le film dit autant qu'il prolonge la fin du théâtre d'exhibition des monstres en s'emparant de ses figures les plus emblématiques. Il met en scène le déplacement de l'image du monstre, des arts vivants vers le cinéma, et constitue une interrogation du corps, cruciale et radicale. En prenant pour sujet fondamental le spectacle des apparences, Freaks est aussi une question posée aux images et à leur capacité, toute aussi merveilleuse que réellement inquiétante, à bouleverser notre relation au corporel.
Revenant sur la biographie intrigante du réalisateur et le contexte de production de La Monstrueuse Parade, cet ouvrage propose le découpage
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Le film d'Albert Lewin met en scène Pandora, figure mythique de l'Antiquité, de même qu'une jeune femme du même nom habitant en Espagne, à Esperanza, qui fait la rencontre du légendaire capitaine du vaisseau fantôme. A partir de ces différents éléments, le réalisateur compose un conte cinématographique complexe, et l'analyse proposée tâche de mettre au jour certains sous-entendus symboliques ou mythiques qui jalonnent le récit fantastique, ainsi que de mettre en lumière les grandes lignes qui composent l'écheveau entremêlé du scénario. Au-delà et à travers l'écran, à quoi renvoient les reflets de ce film, tant dans le champ des émotions que de l'intellect ?
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Rendez-vous avec la peur, revue de cinema fantastique, n 1
Collectif
- Cefal
- 19 Mars 2004
- 9782871301776
Cette nouvelle revue de cinéma fantastique se propose d'étudier les richesses sous-exploitées des genres de la peur. Elle apporte une critique aussi large que possible de toutes les cinématographies, ainsi que tous les modes de production, même les oubliés et les dépréciés de la recherche contemporaine. Toutes les approches sont retenues et se côtoient.
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Etudes sur les fonts baptismaux de saint-barthelemy a liege
Collectif
- Cefal
- 3 Avril 2006
- 9782871302124
Voici près de cinquante ans, on pouvait acquérir à Saint-Barthélemy un excellent petit livre publié par la Société royale « Le Vieux Liège ». Il résumait en ces termes ce qu'il fallait savoir des fonts baptismaux : « Nous savons, par un texte contemporain, que ces fonts baptismaux furent coulés entre 1107 et 1118, sur l'ordre de l'abbé de Notre-Dame aux Fonts Hellin qui les destinait au baptistère de son église, paroisse primitive de la cité de Liège. Le nom de l'auteur est inconnu mais une hypothèse vraisemblable fondée sur le témoignage d'une chronique tardive attribue ce chef d'oeuvre à un orfèvre hutois, Renier, mort vers 1150. En tout cas, la parenté de l'oeuvre avec les ivoires mosans du XIe siècle dont elle continue et couronne la tradition atteste son origine liégeoise ».
À part l'orfèvre Renier, cette histoire est encore aujourd'hui très largement acceptée. Mais en 1984, des esprits audacieux mirent en doute l'origine des fonts. Seraient-ils byzantins, coulés quelque part en Italie, vers l'an mil ? La controverse a eu le mérite de raviver les multiples questionnements suscités par la cuve...
Le présent volume rassemble des contributions autour de quatre thèmes : les témoignages et les traditions sur les fonts, les inscriptions, les images, enfin la technique de fabrication et la métrologie.
Sur l'origine des fonts, les auteurs ont certes une opinion, mais elle est accessoire. C'est le sens qui importe, le message que les fonts transmettaient aux gens de ce temps-là, et qu'ils redisent aujourd'hui à notre propre spiritualité.
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«Je ne comprends pas les Français et leur culte de Berlioz, quand ils ont César Franck qui a plus de musique dans son petit doigt que Berlioz dans tout son corps»(Edvard Grieg) Cet essai se veut avant tout une promenade lumineuse et poétique au travers de l'oeuvre de César Franck, ouvrant aussi de nouvelles fenêtres sur divers horizons musicaux.
Loin de la biographie conventionnelle et des études exhaustives, l'auteur propose une découverte originale de ce compositeur essentiel et pourtant combien méconnu. À lire... et à savourer.
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Le Casino Grétry Le Pavillon de Flore Le Royal Bataclan Le Fontainebleau Parmi les théâtres choisis, certains sont très connus, quelques uns le sont moins, d'autres ne le sont plus du tout car ils ont disparus de la scène depuis longtemps.
Ils ont été répartis en trois volumes.
Le premier reprend « Le théâtre royal du Gymnase », « L'Ensemble théâtral de Liège » et « Le centre culturel et sportif d'Outremeuse, feu le Nouveau Gymnase ».
Le deuxième comprend : « Le Pavillon de Flore, la Bonbonnière de la rue Surlet », « Le Royal Bataclan », « Le Casino Grétry » et « Le Fontainebleau ».
Le troisième « Le Théâtre Royal... l'Opéra », « Le Cirque des Variétés » et plus succinctement « Le Trianon », « La Renommée », « Le Molière », « La Populaire » et « Le théâtre Saint-Servais »...
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On connaît peu Paul Leni, décorateur puis cinéaste, imprégné d'expressionnisme et émigré aux Etats-Unis en 1926 en même temps que son compatriote Murnau. On le connaît peu parce que sa mort prématurée en 1929 ne lui a pas laissé le temps de faire beaucoup de films. Pourtant c'est un réalisateur dont le théoricien de l'expressionnisme, Rudolf Kurtz, vante la virtuosité. Quant à l'adaptation de L'homme qui rit de Hugo, The man who laughs, les Cahiers de la Cinémathèque déploraient en 1974 qu'elle soit injustement tombée dans l'oubli. Récemment restaurée, cette oeuvre de Leni a donc refait surface. Par delà le caractère parfois un peu daté du film, l'étude que nous proposons tend à en montrer la rigoureuse cohérence esthétique ; Leni réussit en effet à structurer l'espace de la représentation d'une manière qui est tout à fait caractéristique de l'école allemande de cette époque, en ce qu'elle fait naître les significations du strict choix des cadrages et des rapports d'analogie ou d'opposition entre les plans. Il ajoute à cela un ton personnel, fait d'un mélange d'humour et de terreur, qui séduisit particulièrement les studios américains. C'est d'ailleurs l'un des autres centres d'intérêt du film que d'apporter un témoignage de plus sur la façon dont Hollywood s'est enrichi de l'héritage du cinéma allemand des années vingt. Soulignons enfin que The man who laughs offre un terrain d'analyse particulièrement éclairant pour la question des adaptations d'oeuvres littéraires : on peut y voir comment l'oeuvre de Hugo se trouve réactualisée dans celle de Leni, surtout parce que le second prolonge la réflexion du premier sur les liens qui unissent politique et esthétique.
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Les broyeurs de couleurs, leur metier et leurs maladies : mémoire sur la question proposée par l'ACA
Leonard Defrance
- Cefal
- 5 Décembre 2005
- 9782871301998
En 1788, en réponse à une question mise au concours par l'Académie Royale des Sciences de Paris, le peintre liégeois Léonard Defrance rédige un mémoire sur les broyeurs de couleurs, leurs techniques et les maladies résultant de l'insalubrité de leur travail. Cet artiste, dont on célèbre cette année le bicentenaire de la disparition, y apporte un inestimable témoignage sur de nombreux procédés picturaux et sur l'organisation générale des ateliers.
À une époque où la peinture atteint un haut niveau d'élaboration, la description méticuleuse qu'il donne de nombreux pigments, des huiles et des vernis, de la préparation des toiles et des panneaux est une source de la plus grande utilité. Le mémoire de Defrance est, tout à la fois, un tableau minutieux du métier, un traité des maladies professionnelles, et un recueil de moyens pour préserver la santé.
Il passionnera l'historien d'art, l'historien des sciences mais aussi le restaurateur et l'artisan.
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Homere et les tapisseries du palais provincial de liege, ancien palais des princes-eveques
Wathelet Paul
- Cefal
- 30 Septembre 2001
- 9782871300922
Les salons de l'ancien Palais des Princes-évêques sont très rarement accessibles au grand public. Ils recèlent cependant de remarquables tapisseries qui nous sont présentées par Paul Wathelet, professeur à l'Université de Liège.
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Strategie pour une remetropolisation globale et amenagement du territoire : complementarite entre le
Collectif
- Cefal
- 15 Novembre 2003
- 9782871301721
F.-X. de Donnea, Ministre-Président du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale: Introduction 8 F.-X. de Donnea, Minister-President van de Brusselse Hoofdstedelijke Regering: Inleiding 11 C.Vandermotten: Une analyse empirique de la remétropolisation: mythes et réalités 15 P. Veltz: Le développement local face à la mondialisation 29 G. Van Hamme: Dynamiques économiques, sociales et spatiales de la région urbaine bruxelloise 51 X. Dehan: La place de la «nouvelle économie» dans la ville 61 M. Van Criekingen: Les ressorts de la rénovation des quartiers anciens à Bruxelles: dynamiques et impacts sociaux 65 A. Perdaens: Pauvreté et accès au logement 77 F. Dobruszkes et H. Mwanza Wa Mwanza: Les enjeux posés par le futur RER bruxellois 83 P. Cornut et E. Castiau: La reconversion du site Tour et Taxis: quelles conditions pour la réussite d'un projet de redéveloppement urbain? 93 Y. Vekemans: Effets d'entraînement de l'université sur le tissu économique local 105
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Pierre devreux : sculptures : exposition, liege, grand curtius (liege), 2010
Hupkens Jean-Pierre
- Cefal
- 9 Septembre 2010
- 9782871302902
L'art pour changer le monde, donner l'espoir, rêver de paix, de solidarité, d'égalité. Ces premières sculptures de Pierre Devreux, qui s'inscrivent dans la ligne de son oeuvre picturale, sont posées ici comme un vrai manifeste. Au-delà de leur caractère plastique, elles interrogent notre société et se posent comme de véritables acteurs des débats qui la traversent.