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Première monographie de Frédérique Loutz, proposant une analyse complète de l'oeuvre dessinée de l'artiste.
Cet ouvrage richement illustré entend montrer l'ampleur du travail de l'artiste française ces quinze dernières années, en proposant une analyse de l'oeuvre dessinée de cette ancienne résidente de la Villa Médicis, aujourd'hui professeur aux Beaux-Arts de Paris. Organisée selon un fil chronologique et faisant la part belle à la langue et aux mots de l'artiste, cette publication est l'occasion de partir à la rencontre de Frédérique Loutz, dont les questionnements identitaires structurent l'oeuvre depuis les débuts.
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Terrain de jeu, d'expression et de création autour d'une même couleur, le volume 19 de The Drawer réunit les dessins et les contributions écrites d'une vingtaine d'artistes et de créateurs.
Avec Laurent Ajina, Cornelius de Bill Baboul, Alain Blondel, Matija Bobicic, Daniel Boursin, Szabolcs Bozó, Bernhard Buhmann, Carolyn Carlson, Marcos Carrasquer, Ryan Travis Christian, Claudio Coltorti, Gaetano Cunsolo, Leslie David & Pauline Caranton, Gaël Davrinche, Petrit Halilaj, Armand Jalut, Mizuho Koyama, Piera Luisolo, Oscar Murillo, Kim van Norren, Chloé Quenum, Jean-Michel Sanejouand, Noé Sendas, Hao Shuo, Yuko Soi, C.A Wertheim.
Revue constituée de dessins et consacrée au dessin, The Drawer laisse la parole et le champ - presque - libre aux seuls « dessinateurs », réunissant semestriellement les dessins et les contributions écrites d'une trentaine d'artistes et de créateurs.
En anglais, « the drawer » signifie « le tiroir ». Il désigne aussi « celui qui dessine ». Assumant la polysémie de son titre, la revue The Drawer pourrait donc s'envisager comme un « tiroir à dessins ». Ce qu'elle est d'une certaine façon : revue entièrement constituée de dessins et consacrée au dessin, que l'on peut ouvrir et refermer à loisir, propice enfin aux associations les plus inattendues, The Drawer porte donc bien son nom.
Monomaniaque, The Drawer n'en est pas moins ouverte d'esprit : tous les dessins, pourvu qu'ils soient bons, et tous les dessinateurs, l'intéressent. Célébrant la pratique du dessin dans sa dimension la plus large, The Drawer mêle donc aussi bien des contributions d'artistes (plasticiens, illustrateurs, designers, architectes) que celles de créateurs moins attendus (chanteurs, écrivains, musiciens, chorégraphes, réalisateurs). Leur point commun : un même goût et une même pratique du dessin.
Semestrielle, The Drawer est aussi thématique. Chaque numéro prend comme point de départ le titre d'une oeuvre littéraire, cinématographique ou musicale, choisi pour son potentiel créatif et/ou fantasmatique (volume 1 : Les Temps modernes, volume 2 : La Métamorphose, etc.). Chaque contributeur est invité à s'y soumettre et chaque dessin publié, qu'il soit déjà existant ou spécialement réalisé pour l'occasion, s'y rapporte.
Terrain de jeu, d'expression et de création autour d'une thématique commune, The Drawer renseigne donc aussi bien sur la richesse plastique et graphique du dessin aujourd'hui que sur les artistes et personnalités invités également à répondre à une série de questions. Pourquoi dessiner ? Que dessiner ? Dessins ratés ?...
Visuelle avant tout, davantage préoccupée de typographie que de texte, The Drawer se lit moins qu'elle ne se regarde, se feuillette, se compulse. Tiroir à dessins, exposition portative, cabinet d'art graphique miniature, The Drawer n'a d'autre ambition que celle du partage des miracles et des plaisirs du dessin.
Artisanale et 100 % faite main, elle est le fruit du travail d'une petite équipe passionnée de dessin : Sophie Toulouse, directrice artistique et Barbara Soyer, active dans le champ de l'édition et de l'art contemporain.
The Drawer est également une plate-forme éditoriale pour la publication d'ouvrages monographiques.
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éditeurs The Drawer The Drawer (revue) revue / magazine The Drawer The Drawer n° 17 - Rose Terrain de jeu, d'expression et de création autour d'une même couleur, le volume 17 de The Drawer réunit les dessins et les contributions écrites d'une vingtaine d'artistes et de créateurs.
Avec Riccardo Baruzzi, Louise Bonnet, Mike Bourscheid, Anne Bourse, Brice Dellsperger, Florent Dubois, John Finneran, Pius Fox, Matthias Garcia, Studio GGSV, Stephan Goldrajch, My-Lan Hoang-Thuy, Ryung Kal, Jürgen Klauke, Jakob Lena Knebl, Lucile Littot, Sabine Moritz, Flora Mottini, Hannah Murgatroyd, Daisy Parris, Hugo Pernet, Olivier Pestiaux, Chloé Royer, Adrien Vescovi.
Revue constituée de dessins et consacrée au dessin, The Drawer laisse la parole et le champ - presque - libre aux seuls « dessinateurs », réunissant semestriellement les dessins et les contributions écrites d'une trentaine d'artistes et de créateurs.
En anglais, « the drawer » signifie « le tiroir ». Il désigne aussi « celui qui dessine ». Assumant la polysémie de son titre, la revue The Drawer pourrait donc s'envisager comme un « tiroir à dessins ». Ce qu'elle est d'une certaine façon : revue entièrement constituée de dessins et consacrée au dessin, que l'on peut ouvrir et refermer à loisir, propice enfin aux associations les plus inattendues, The Drawer porte donc bien son nom.
Monomaniaque, The Drawer n'en est pas moins ouverte d'esprit : tous les dessins, pourvu qu'ils soient bons, et tous les dessinateurs, l'intéressent. Célébrant la pratique du dessin dans sa dimension la plus large, The Drawer mêle donc aussi bien des contributions d'artistes (plasticiens, illustrateurs, designers, architectes) que celles de créateurs moins attendus (chanteurs, écrivains, musiciens, chorégraphes, réalisateurs). Leur point commun : un même goût et une même pratique du dessin.
Semestrielle, The Drawer est aussi thématique. Chaque numéro prend comme point de départ le titre d'une oeuvre littéraire, cinématographique ou musicale, choisi pour son potentiel créatif et/ou fantasmatique (volume 1 : Les Temps modernes, volume 2 : La Métamorphose, etc.). Chaque contributeur est invité à s'y soumettre et chaque dessin publié, qu'il soit déjà existant ou spécialement réalisé pour l'occasion, s'y rapporte.
Terrain de jeu, d'expression et de création autour d'une thématique commune, The Drawer renseigne donc aussi bien sur la richesse plastique et graphique du dessin aujourd'hui que sur les artistes et personnalités invités également à répondre à une série de questions. Pourquoi dessiner ? Que dessiner ? Dessins ratés ?...
Visuelle avant tout, davantage préoccupée de typographie que de texte, The Drawer se lit moins qu'elle ne se regarde, se feuillette, se compulse. Tiroir à dessins, exposition portative, cabinet d'art graphique miniature, The Drawer n'a d'autre ambition que celle du partage des miracles et des plaisirs du dessin.
Artisanale et 100 % faite main, elle est le fruit du travail d'une petite équipe passionnée de dessin : Sophie Toulouse, directrice artistique et Barbara Soyer, active dans le champ de l'édition et de l'art contemporain.
The Drawer est également une plate-forme éditoriale pour la publication d'ouvrages monographiques.
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Le huitième numéro de la revue de dessin monomaniaque, thématique, artisanale et transversale, un volume copieux, festif et jubilatoire sur le thème du banquet, réunit les dessins d'une vingtaine d'artistes contemporains et une sélection d'oeuvres d'une collection privée spécialement invitée.
Avec Josse Bailly, Jean Bedez, Mike Billington, Sofia Borges, Olaf Breuning, James Carl, Matthieu Cossé, Nicolas Couturier, Munro Galloway, Steve Gianakos, Delphine Gigoux-Martin, Daniel Gordon, Adam Janes, Marine Joatton, Joost Krijnen, Thomas Lévy-Lasne, Frédéric Malette, Antoine Marquis, Federico Masotto, Nicolas Party, Paul Pouvreau, Christine Rebet, Gilles Stassart, Florian Viel, David Wolle et la collection Florence et Daniel Guerlain.
Revue constituée de dessins et consacrée au dessin, The Drawer laisse la parole et le champ - presque - libre aux seuls « dessinateurs ». Terrain de jeu, d'expression et de création autour d'une thématique commune, The Drawer réunit semestriellement les dessins et les contributions écrites d'une trentaine d'artistes et de créateurs.
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Le treizième numéro de la revue de dessin monomaniaque, thématique, artisanale et transversale réunit les dessins d'une trentaine d'artistes, autour du thème de l'amour... et d'Éros.
Avec Etel Adnan, Dike Blair, Io Burgard, Yves Camdeborde, Lauren Coullard, Idir Davaine, Eliza Douglas, Aurélie Gravas, Antoine Grulier & Pierre Pauselli, Thomas Huber, Dorothy Iannone, Mathias Kiss, Tiziana La Melia, Stéphane Lecomte, Thomas Lemut, Se´bastien Lifshitz, Roxane Lumeret, Jan Melka, Mario Milizia, François Olislaeger, Francis Picabia, Vimala Pons, Laure Prouvost, Louise Sartor, Ashley Hans Scheirl, Alice Wietzel.
Revue constituée de dessins et consacrée au dessin, The Drawer laisse la parole et le champ - presque - libre aux seuls « dessinateurs », réunissant semestriellement les dessins et les contributions écrites d'une trentaine d'artistes et de créateurs.
En anglais, « the drawer » signifie « le tiroir ». Il désigne aussi « celui qui dessine ». Assumant la polysémie de son titre, la revue The Drawer pourrait donc s'envisager comme un « tiroir à dessins ». Ce qu'elle est d'une certaine façon : revue entièrement constituée de dessins et consacrée au dessin, que l'on peut ouvrir et refermer à loisir, propice enfin aux associations les plus inattendues, The Drawer porte donc bien son nom.
Monomaniaque, The Drawer n'en est pas moins ouverte d'esprit : tous les dessins, pourvu qu'ils soient bons, et tous les dessinateurs, l'intéressent. Célébrant la pratique du dessin dans sa dimension la plus large, The Drawer mêle donc aussi bien des contributions d'artistes (plasticiens, illustrateurs, designers, architectes) que celles de créateurs moins attendus (chanteurs, écrivains, musiciens, chorégraphes, réalisateurs). Leur point commun : un même goût et une même pratique du dessin.
Semestrielle, The Drawer est aussi thématique. Chaque numéro prend comme point de départ le titre d'une oeuvre littéraire, cinématographique ou musicale, choisi pour son potentiel créatif et/ou fantasmatique (volume 1 : Les Temps modernes, volume 2 : La Métamorphose, etc.). Chaque contributeur est invité à s'y soumettre et chaque dessin publié, qu'il soit déjà existant ou spécialement réalisé pour l'occasion, s'y rapporte.
Terrain de jeu, d'expression et de création autour d'une thématique commune, The Drawer renseigne donc aussi bien sur la richesse plastique et graphique du dessin aujourd'hui que sur les artistes et personnalités invités également à répondre à une série de questions. Pourquoi dessiner ? Que dessiner ? Dessins ratés ?...
Visuelle avant tout, davantage préoccupée de typographie que de texte, The Drawer se lit moins qu'elle ne se regarde, se feuillette, se compulse. Tiroir à dessins, exposition portative, cabinet d'art graphique miniature, The Drawer n'a d'autre ambition que celle du partage des miracles et des plaisirs du dessin.
Artisanale et 100 % faite main, elle est le fruit du travail d'une petite équipe passionnée de dessin : Sophie Toulouse, directrice artistique et Barbara Soyer, active dans le champ de l'édition et de l'art contemporain.
The Drawer est également une plate-forme éditoriale pour la publication d'ouvrages monographiques.