Filtrer
Support
Éditeurs
Langues
Prix
DANIELE BONDIL
-
Lorsqu'elle fut assassinée de trois coups de couteau dans la poitrine sur un parking, Megan Harpur rentrait chez elle dire à son mari qu'elle le quittait pour un autre homme. C'était Harpur lui-même qui avait trouvé le corps de Megan aux premières lueurs de l'aube. A ce moment précis, il avait suivi la routine, il avait agi en policier, maître de ses réactions. Quand il dû annoncer la nouvelle chez lui, ses filles se préparaient pour l'école et, soudain, il redevint père et mari. Pour retrouver l'assassin de sa femme, Harpur devra affronter l'échec de sa vie avec Megan, les répercussions de cette mort sur sa famille, les terribles réalités que sous-entend son métier de policier. Ce titre fait partie des "Iconiques" de François Guérif.
-
Quand une anthropologue notoire arrive dans les montagnes sacrées du pays Anasazi, elle est d'abord furieuse de découvrir que le site funéraire pré-navajo a été pillé ; puis elle est terrifiée par ce qui surgit de l'ombre. Des semaines plus tard, le lieutenant Joe Leaphorn, en examinant un rapport selon lequel l'anthropologue a dérobé de précieux objets, découvre aussi qu'elle a disparu. L'affaire prend un tour sinistre lorsque Jim Chee, à la recherche de matériel de fouilles disparu également, trouve autre chose de nettement plus macabre dans une fosse. Leaphorn et Chee devront unir leurs forces pour exhumer le passé et résoudre une longue série de meurtres, plus étranges les uns que les autres.
-
" Thompson amène le lecteur à s'identifier à ses monstres, à accepter leur innocence mutilée, leur incapacité à réagir, au point, pratiquement, de susciter en lui une certaine tendresse à leur égard ", écrit James Sallis dans un essai qu'il lui a consacré.
Le personnage d'Une femme d'enfer est de ceux-là. Frank Dillon est un petit vendeur au porte-à-porte qui n'arrive pas à joindre les deux bouts. Un jour, il sonne chez une vieille dame qui, en guise de paiement pour ses achats lui propose... sa nièce Mona. Effaré et séduit, Frank promet à la jeune fille de l'aider. Mais entre-temps, sa femme le quitte, il est arrêté car son patron s'est aperçu qu'il avait détourné de l'argent. Libéré sous caution, Frank revoit Mona qui lui révèle un secret : sa tante a un magot de 100 000 dollars à la cave. Pour une telle somme, on peut aller jusqu'au meurtre...
-
Un enfant de quatre ans, de race blanche, a été retrouvé sur la réserve indienne des Barona, dans une bâtisse inhabitée, à cinq heures trente du matin. Il était attaché à un matelas par une corde à linge. Bo Bradley, du service de protection de l'enfant, a été chargée de son dossier. Pourquoi était-il attaché, et la personne qui l'a mis là avait-elle l'intention de revenir ? Bo découvre que l'enfant est sourd, et s'attache à lui. Mais, bientôt, des tueurs surgissent à l'hôpital où est soigné le rescapé et cherchent à le tuer. Bo engage alors une course contre la montre pour découvrir quelle malédiction pèse sur l'enfant et essayer de le sauver. Abigail Padgett, dont c'est le premier roman, est avocate pour les personnes mentalement dérangées et milite pour la préservation du désert et des cultures des natifs américains.
-
«Miami Blues» met en scène le héros de Willeford, le sergent de la police Hoke Moseley qui, depuis son divorce, vit dans un hôtel miteux de Miami Beach. La ville est le théâtre de règlements de comptes permanents, en particulier entre les Colombiens et les Cubains. Dans ce climat de violence débarque un ex-taulard nommé Freddy Fenger. Un vrai psychopathe qui commence par tuer un Krishna. Hoke Moseley et Freddy Fenger vont être amenés à se croiser et la rencontre va déménager... Un roman dément et poisseux, noir et déjanté dans la tradition de Willeford. Adapté au cinéma par George Armitage avec Alec Baldwin et Jennifer Jason Lee.
-
Samantha franer, âgée de trois ans, meurt de blessures internes consécutives à un viol.
Sur son ventre, a été peint un curieux visage qui semble fait de brins de paille. cet indice accuse apparemment paul massieu, le beau-père de l'enfant, qui appartient à une ténébreuse secte. de là à crier au satanisme, il n'y a qu'un pas, mais bo bradley, du service de protection de l'enfance de san diego, n'est pas de cet avis. elle ne croit pas à la culpabilité de massieu. elle se jure de découvrir l'identité du monstre et de l'empêcher de nuire.
Cette quête de la vérité va mettre en péril son équilibre et sa vie.
-
Suite de la saga des policiers Harpur et Iles. La jeune Mandy, 13 ans, est abattue en pleine rue. On croit qu'elle a été victime d'une balle perdue lors d'un règlement de comptes entre trafiquants de drogue. Mais il semble que Mandy ait été utilisée comme « mule » pour passer la drogue aux revendeurs. Tandis que Desmond Iles, le chef de la police est partisan de laisser les gangs régler leurs affaires entre eux et s'autodétruire, Colin Harpur décide de s'intéresser de plus près à la mort de Mandy. L'étude ballistique lui confirme que l'adolescente n'a pas été tuée par hasard...
-
également assisté au meurtre. Coincé entre les assassins et les flics, Lenahan se laisse entraîner par Taylor dans des magouilles de plus en plus extravagantes.
-
" ... Si un meurtre va dans l'intérêt national, il y a beaucoup d'hommes ici qui ont assez de couilles pour le commettre... ... Vous voulez une révolution, vous voulez des procès de Nuremberg, vous voulez nous voir au bout d'une corde, croyez-vous que je vais laisser faire ça ! Croyez-vous que je vais livrer le peuple Afrikaner au génocide... Je vais vous dire une chose que vous ne semblez pas comprendre, vous le petit juif si intelligent. La Communauté Afrikaner est un cercle fermé, complet et parfait. On n'y entre que par la naissance et on n'en sort qu'avec la mort. C'est une perfection qui émane de Dieu, et si un Yudel Gordon essaie de la détruire, qu'il soit sur ses gardes... "
-
Le gang responsable du braquage partiellement raté de la banque à Exeter (voir Club, Rivages/Noir n° 708) fait à nouveau parler de lui. Il se murmure en effet que le cerveau de l'opération, Oliver Leach dit « Le Diplomate » se serait réfugié sur le continent, emportant avec lui une partie non négligeable du butin. Les anciens complices des braqueurs ont en revanche dû s'enfuir les mains vides et veulent à tout prix récupérer leur part. Ils n'hésitent donc pas à enlever la fille d'Oliver, Lynette, pour obtenir une rançon conséquente.
Alors que l'inspecteur Colin Harpur et ses collègues se relaient pour aider Patsy, la mère de la jeune fille, à traverser cette épreuve, Ralph Ember alias « La Panique », le vieil acolyte d'Oliver, sait pertinemment que le kidnapping ne pourra jamais aboutir : il a lui-même enterré Le Diplomate au fond d'un bois, avant de « réconforter » sa veuve lors d'ébats bucoliques, à quelques mètres de sa tombe. Il éprouve pourtant un sentiment grandissant de responsabilité envers la jeune Lynette, qui va l'amener à devoir faire face à toutes sortes de luttes intestines et le confronter à des policiers aux agissements condamnables, pour retrouver la jeune fille et se racheter ainsi du crime qu'il a commis.
-
Chip ganz a joué aux courses et perdu beaucoup d'argent.
Comme il tarde à payer sa dette, harry arno, son bookmaker, lui envoie bobby le jardinier, un récupérateur de fonds armé d'un sécateur. mais alors que bobby s'apprête à tailler dans le vif, chip lui propose un projet plus juteux : prendre harry en otage et le laisser lui-même monnayer sa liberté. comme à beyrouth. seulement voila : joyce, amie de harry, s'inquiète de sa disparition et charge son amant, le policier raylan givens, de retrouver le vieux bookmaker.
Pour les preneurs d'otage, miami commence vraiment à ressembler à beyrouth. harry, joyce et raylan, les joyeux protagonistes de pronto, sont de retour dans une aventure rocambolesque et réjouissante. une merveille d'imagination et d'humour.
-
Kenward Knapp, gros caïd de la drogue, est abattu lors d'un affrontement entre gangs.
Le marché est désormais ouvert à ses rivaux et la guerre déclarée : les auteurs du meurtre sont bientôt liquidés à leur tour. Le superintendant Colin Harpur et son chef Desmond Iles savent bien que c'est l'oeuvre de Beyonton et de sa bande, mais impossible de le prouver devant un tribunal : leurs renseignements proviennent d'un indic qu'il faut absolument protéger. Mais l'indic ne cherche-t-il pas à profiter de la situation en envoyant ses concurrents derrière les barreaux ?
Plus que jamais dans le monde contemporain, tout s'achète, tout s'échange. C'est ce qui gouverne les relations entre la police et la pègre. Faut-il fermer les yeux sur des actes criminels pour espérer éliminer un gang ? L'éternelle question de la fin et des moyens continue de traverser les romans de Bill James, qui occupe une place à part dans la littérature policière : entre la satire sociale et le roman philosophique.
-
-
Leaphorn rit et la chouette qui effectuait un second voyage au-dessus de la mesa fut prise de panique en l'entendant.
Elle passa à sa hauteur et disparut dans les ténèbres.
Rien ne cadrait, tout était irrationnel. mais pourquoi cette impression de temps qui presse, de danger ?
La voie de l'ennemi est la première enquête de joe leaphon et le premier roman de tony hollerman.
-
Deux malfrats sont retrouvés morts dans des circonstances étranges. Le premier, Raoul Caesar Brace, a été abattu de plusieurs balles et du charbon a été placé dans sa bouche. Le second, Lester Magellan, a été étranglé avec du fil de fer et un tisonnier. Ce double meurtre échauffe les esprits car il rappelle deux autres homicides assez semblables dans leur mode opératoire. La tension monte au sein du commissariat car le principal suspect n'est autre que l'adjoint au chef de la police, Desmond Iles en personne. En effet, les deux gangsters avaient été impliqués dans le meurtre de Ray Street, un jeune inspecteur infiltré, et d'une femme dont Iles était proche. Le retors Desmond aurait-il définitivement franchi la ligne rouge ? Il est certain que ses supérieurs n'apprécient pas du tout que de pareils soupçons pèsent sur un gradé de la police, devenu soudain encombrant...
-
L'inspecteur Colin Harpur est amoureux. Elle est belle, intelligente et très jeune. Elle s'appelle Denise et termine sa première année à l'université. Elle suit également des cours de danse classique et c'est là qu'elle fait la connaissance d'Helen, la compagne de Jack Lamb, talentueux indic dont Harpur ne saurait se passer. Denise tient par-dessus tout à assister à une grande fête donnée par Lamb dans son parc, un événement annuel attendu, qui symbolise sa réussite et la reconnaissance de la bonne société.
Pour Denise et Jack, les risques encourus sont immenses, mais ni l'un ni l'autre ne veulent renoncer à cette soirée.
Que peuvent imaginer les truands qui voient Denise se rendre régulièrement chez Lamb puis retrouver Colin Harpur ? Quand le jeune Martin Webb est tué dans une embuscade de la police au cours d'un braquage minable, son père, Doug, n'a plus qu'une idée en tête : venger sa mort, punir ceux qui l'ont balancé. Question d'éthique. Denise est une proie facile, d'autant que, au nom de la passion et du secret professionnel, Harpur ne la tient pas au courant des dangers qui la menacent. Question d'éthique.
-
Sous le regard stupéfait de deux amis, une forme sombre tombe du ciel : un homme. À côté du corps, une valise. Elle contient près de un million de dollars. De quoi transformer la vie de Will et Billy en conte de fées. Ou en cauchemar... Ainsi commence, dans les paysages désertiques du Nouveau-Mexique, une étrange histoire où le passé est plus présent que l'avenir et où les ténèbres règnent sur le " Pays des Ombres " de la mythologie cherokee. Entre chien et loup, on ne distingue plus le rêve de la réalité. Ni la vie de la mort... Violent, lyrique, ce roman à l'humour très noir, impose Louis Owens comme l'une des voix majeures de la littérature amérindienne.
-
Que signifie envoyer un flic en infiltration ? apparemment, c'est simple : il s'agit d'espionner de l'intérieur une organisation criminelle que la police n'arrive pas à démanteler.
Le flic infiltré devra donc s'y faire admettre, gagner la confiance des responsables, comprendre tous les rouages de l'entreprise... un rôle dangereux, qui exige non seulement des nerfs d'acier, mais surtout de respecter toutes sortes de précautions. au séminaire de Fieldfare house, Esther Davidson écoute avec intérêt l'expérience de collègues infiltrés, ce qui doit l'aider à planifier ses propres opérations.
Iles est absent de ce séminaire car, justement, une infiltration relevant de sa responsabilité s'est mal terminée. s'il avait été là, peut-être aurait-il pu convaincre Esther de renoncer à ses plans ? Iles est un flic parfois douteux, parfois violent, mais en général efficace et compétent. ici, c'est son absence qui se fera cruellement sentir. dense, nerveuse, ironique, l'écriture de Bill James est un modèle du genre.
-
Ron Preston, dit "le stratège", projette de braquer un fourgon transportant la paie des salariés de l'usine brand. Plus de 70 000 livres en liquide et seulement deux convoyeurs. Un coup sans risques. Mais Wilf, l'informateur de Preston, lui apprend que les effectifs de sécurité vont être renforcés. Le stratège s'en inquiète : s'agit-il d'une coïncidence ou cette manoeuvre cache-t-elle une opération policière ? Et en ce cas, qui a mis la police au courant du projet ? La suspicion s'installe, le doute aussi. Commence alors une partie dans laquelle le moindre mouvement de l'adversaire doit être interprété, la moindre information pesée. Et dans ce jeu, le risque c'est de finir derrière les barreaux ou à la morgue. Avec ce septième volume de la série consacrée aux policiers Harpur et Iles, Bill James poursuit la chronique acerbe d'un monde où chaque camp essaie de tirer son épingle du jeu pour des victoires au goût amer. Maître de l'ironie grinçante et de la construction du récit, il nous propose une version britannique des sopranos : noire, féroce, pitoyable, cynique, et souvent très drôle. « La meilleure autopsie d'un mauvais coup depuis quand la ville dort. » The Observer
-
Drôle d'avocat que ce Mr Paradise, de son vrai nom Tony Paradiso. À son âge, il n'exerce plus et jouit d'une fortune considérable qui lui permet de s'offrir de petits plaisirs dispendieux, telles ces jeunes personnes que lui ramène Montez Taylor, son homme de confiance. Montez est un ancien « client ». Mr Paradiso l'a jadis tiré d'un mauvais pas.
À présent, le très cool Montez s'occupe de recruter les jeunes femmes qui viennent le temps d'une soirée exécuter un numéro de majorettes de chaque côté de l'écran géant sur lequel l'exavocat regarde les matchs de l'Université du Michigan, son équipe de football préférée. Pas de quoi fouetter un chat, non. Mais de quoi tuer un homme. Car un soir, alors que Chloé - une habituée des soirées de Mr Paradise - arrive avec son amie Kelly, les choses tournent mal. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, Mr Paradise et l'une des deux filles ont été abattus. Deux balles chacun. Quand l'inspecteur Frank Delsa débarque sur les lieux, il ne croit guère à l'hypothèse d'un cambriolage avorté que Montez, toujours aussi cool, essaie de lui vendre. Il comprend que les cartes sont brouillées et les dés pipés. Il est encore loin de soupçonner à quel point...
Mr Paradise marque le retour d' Elmore Leonard à Detroit, la ville dans la laquelle sont déjà situés nombre de ses romans. Une brochette de personnages hauts en couleur, des répliques teintées d'humour à froid, un sens aigu du scénario et une ambiance à la NYPD Blue : tels sont les ingrédients de cette recette " leonardienne " qui se révèle toujours aussi délectable.
-
Qui était john wesley hardin ? héros ou incarnation du diable ? en tout cas, c'était l'homme le plus dangereux du texas.
Il tua pour la première fois à quinze ans, défia le grand wild bill hickok à dix-huit et, lorsqu'il fut emprisonné à l'âge de vingt-cinq ans, il avait abattu le nombre record de quarante hommes.
Partant des nombreux témoignages de tous ceux qui côtoyèrent john wesley hardin, mais aussi de son autobiographie et de ses lettres de prison, james carlos blake a reconstitué la vie d'une figure légendaire de l'ouest.
Un récit foisonnant, picaresque, plein de fureur, de sang et de larmes, mais aussi de passion.
Après les amis de pancho villa, l'auteur de crépuscule sanglant poursuit sa grande fresque épique sur les heures tumultueuses de l'ouest américain.
-
Choquée par la terrible découverte du blockhaus à la fin du Vent qui gémit et déçue par le comportement du sergent Chee à son égard, Bernadette Manuelito a demandé son transfert et travaille désormais dans la police des frontières, au sud du Nouveau-Mexique. Tout en apprenant son nouveau métier traquer les clandestins, lutter contre le trafic de drogue et la contrebande - , elle suit un suspect jusque sur un immense ranch privé où elle tombe sur des antilopes africaines et une étrange construction abritant une station d'oléoduc.
Pendant ce temps, Chee découvre plus au nord, à l'autre extrémité du pipe-line, le cadavre d'un homme abattu qu'il a du mal à identifier car, bien sûr, le FBI s'en mêle et quelqu'un à Washington semble vouloir garder le secret sur ce meurtre.
Chee s'adresse donc à Leaphorn qui fait appel à ses célèbres cartes et à son réseau d'anciens policiers. D'autres amis (Louisa Bourebonnette, Cowboy Dashee) permettent à Chee d'arriver à la station de dérivation à temps pour sauver Bernadette des griffes du tueur, alors qu'elle vient de tomber dans un piège tendu avec la complicité de son supérieur hiérarchique.
De nouveaux paysages, beaucoup d'émotion, de l'amitié, du suspense, plusieurs méchants, deux histoires d'amour et un mariage annoncé, tels sont les ingrédients du dernier Tony Hillerman, dont la lecture est tout sauf sinistre.
-
L'ile flottante infestee de requins
Charles Willeford
- Rivages
- Rivages Noir
- 24 Mars 2001
- 9782743607845
Ils sont quatre autour de la piscine d'une résidence exclusivement réservée aux célibataires.
Larry dolman est responsable de la sécurité à la nationale de surveillance, hank norton est visiteur médical, eddie est pilote de ligne et don luchessi gagne beaucoup d'argent comme représentant d'une maison d'argenterie anglaise. ils sont quatre et ils boivent. pour tuer l'ennui, l'un d'eux relève le défi d'aller draguer une fille dans un drive-in et de la ramener à la résidence. mais la blague tourne à la tragédie.
C'est le roman le plus long de charles willeford et celui qu'il tenait pour son oeuvre majeure. c'est, selon lui, un livre qui " en dit beaucoup sur l'inéluctable brutalité de la vie urbaine. c'est une peinture honnêtement dégueulasse de ce que l'on appelle communément des jeunes gens ordinaires. ".
-