L´Alsace, entre Vosges et Rhin, est une terre de convergences de tant de peuples, qu´elle est imprégnée d´histoires, de légendes et de contes. Les innombrables châteaux qui jalonnent le flanc des Vosges ne purent ne pas engendrer mille histoires. Dans les vallées oeuvrent les elfes, les fées et les sorcières. Tous ces êtres forment l´âme de L´Alsace. Les récits commencent dans les immémoriaux et traversent l´histoire jusqu´aux époques récentes. Nous relatons dans ce volume quelques grands classiques de Stoeber ou de Stintzi, mais surtout nous y avons inséré des récits inédits ! Parmi ceux-ci, des légendes qui furent contées de bouche à oreille les soirs aux veillées, et qui ne furent sans doute jamais écrites.A lire ces légendes on comprendra qu´en Alsace les destins, non seulement se croisent, mais surtout qu´ils se font!
Comme les autres dictionnaires de la collection Pouloupig, ce dico de poche bilingue comporte un total de 9000 mots et traductions. Le vocabulaire est celui de la langue usuelle d'aujourd'hui.
La prononciation est indiquée en phonétique internationale pour le français. Pour l'ukrainien, nous avons choisi une phonétique adaptée aux francophones.
On y trouvera une présentation historique et linguistique des deux langues (de l'ukrainien en français et du français en ukrainien) ainsi qu'un certain nombre de noms propres (toponymes) utiles à ceux qui s'intéressent à la culture et à la géographie ukrainiennes.
Qu'est-ce que la civilisation celtique et qui étaient vraiment les Celtes ? On a tant écrit sur le sujet que la question se pose : étaient-ils des barbares grossiers que Rome a heureusement convertis, par le glaive d'abord, par la persuasion ensuite, à la « civilisation » ? Ou bien une aristocratie militaire brillante, conduite par des chefs spirituels, les druides, détenteurs de la plus haute initiation, et que Rome a délibérément détruite ? Les Celtes apparaissent enfin pour ce qu'ils sont réellement, de l'Antiquité au Moyen Âge : non des primitifs, mais des peuples différents, ayant sur la religion, la société, l'État, des conceptions traditionnelles inconciliables avec celle de la Rome antique sur lesquelles s'est fondée l'Europe médiévale et moderne.
Mieux encore : ce sont les Celtes d'Irlande qui, profondément et sincèrement christianisés, ont sauvé la culture classique du néant des temps mérovingiens.
Éléments essentiels de la Protohistoire et de l'Histoire européennes, et ce durant plus de quinze siècles, les Celtes apparaissent comme les grands oubliés. Peu à peu, archéologues, mythologues et historiens contribuent à leur redécouverte et permettent ainsi qu'ils prennent la place qui leur revient. Il nous a paru nécessaire de consacrer un dictionnaire spécifique aux grand(e)s Celtes de l'Antiquité et du haut Moyen Âge car il n'en existe pas jusqu'à présent. Chaque personnage (dont la plupart sont quasiment inconnus du public bien qu'ils aient joué un rôle important) fait l'objet d'une description de ce qu'il fut mais aussi des origines de son nom.
Un récit romancé succint sert de fil rouge tout au long du livre, pour aborder avec la plus grande rigueur, dans le texte et dans les dessins, les aspects les plus divers de la civilisation celtique avant la conquête romaine.
A travers la vie de Trabos, le marchand de lingots de fer, on pénètre dans le quotidien des Celtes. On découvre leur organisation politique, économique, familiale, leurs constructions, l'habillement, les objets, les armes, les métiers mais aussi la religion et ses rites, le rôle des druides, les fêtes...Et un peu d'Histoire : la bataille des Vénètes, Alésia, la fin de Vercingétorix, la Gaule romanisée.
On trouve également des cartes de l'Europe de l'ouest et de la Gaule celtique avec ses peuples divers, leurs noms, leurs capitales avec les noms gaulois et actuels ainsi qu'une carte de la Gaule romanisée.
Contact auteur : jean-paul.haudry@wanadoo.fr Des Indo-Européens descendentÂ: Celtes, Germains, Anatoliens, Indo-Iraniens, Baltes etc. C'est un peuple préhistorique qui a marqué ces peuples de sa langue, de sa culture, de sa religion, de sa poésie,Âde ses conceptions. Jean Haudry, professeur émérite d'université en linguistique, spécialiste du sanskrit, des langues et civilisations indo-européennes, a consacré sa vie à la question. Il s'appuie sur deux disciplinesÂ: la reconstruction et le comparatisme, désormais inséparables de l'histoire et l'archéologie. Ce recueil représente 15 années d'études, inédites ou publiées dans des revues scientifiques. Il est précédé d'un entretien avec l'auteur et d'une bibliographie de son Å«uvre scientifique.
Après son précédent ouvrage consacré aux Pictes, Frédéric Kurzawa s'est intéressé aux immrama, des récits hauts en couleur qui décrivent le périple maritime de navigateurs celtes durant le haut Moyen Âge. Rédigées en Irlande, ces aventures maritimes présentent des héros inspirés de la mythologie celtique dont le plus célèbre est Mael Dúin. Son long périple le conduit à visiter une trentaine d'îles afin de retrouver les meurtriers de son père. Deux autres immrama, le Voyage des Húi Corra et le Voyage de Snedgus et Mac Riagla, jusqu'alors inédits en français, sont traduits pour la première fois. D'autres ont été christianisés. Le plus célèbre d'entre eux est la Navigation de saint Brendan dont les nombreuses éditions et traductions dans plusieurs langues lui ont valu un grand succès au Moyen Âge et aujourd'hui. L'auteur a souhaité mettre à la disposition du grand public des textes restés inédits en français ou présents dans d'anciennes publications étrangères peu accessibles.
Toute l'histoire passionnante de l'Ukraine est contenue dans le nom de ce pays: littéralement Ukraine veut dire «le territoire à la frontière».
Loin d'être marginal, l'Ukraine est un pays d'avenir. Elle a le potentiel pour devenir un des états de référence sur notre continent, avec une surface supérieure à celle de la France et plus d'habitants que l'Espagne et le Portugal réunis.
Déjà au 9ième siècle, l'Ukraine est la matrice de la première grande civilisation slave et le berceau de l'état russe. Pourtant elle a elle-même connu un développement lent et difficile, marqué par de longs siècles d'occupations et de guerres avec des voisins avides : des Huns aux Polonais, des Mongols aux Habsbourgs, de l'empire ottoman au Reich allemand et l'Union soviétique...2014 : début de la guerre du Donbass avec les séparatistes pro-russes.
Cette histoire , aidera à comprendre pourquoi cette nation millénaire est de nouveau au centre d'un énorme conflit plein de surprises.
Ce dico de poche bilingue comporte un total de 13000 mots et traductions (5600 entrées côté français et 7400 côté occitan). C'est donc le plus gros dictionnaire de la collection Pouloupig, Le vocabulaire est celui de la langue usuelle d'aujourd'hui.
La prononciation est indiquée en phonétique pour les deux langues..
On y trouve une présentation historique et linguistique des deux langues (de l'occitan en français et du français en occitan) ainsi qu'un certain nombre de noms propres (toponymes) utiles à ceux qui s'intéressent à la culture et à la géographie des pays occitans.
Ouvrage naturaliste qui recense toutes les espèces présentent dans les eaux douces de Bretagne et qui en étudie aussi les différents milieux (fleuves, rivières, lacs, étangs, estuaires...)....
Cet ouvrage se veut initiateur et devrait intéresser tout lecteur curieux de l'histoire des noms de famille de Bretagne bretonnante, voire d'ailleurs. En premier lieu il s'adresse aux Bretons, qui n'ont pas toujours eu besoin de voyages lointains ni d'intrusions militaires étrangères pour se forger des noms aux formes inattendues. L'on y verra que l'habit ne fait pas le moine et que les noms étrangers ou « bien de chez nous » ne sont pas toujours ceux que l'on croit, d'autant plus qu'ils changent d'habit ! Certains patronymes vont y perdre le charme de l'« exoticité », ce qui n'empêchera pas pour d'autres de se découvrir, non pas des cousins éloignés, mais plutôt des colocataires de graphie. En tout cas, la lecture de ce livre devrait éveiller une circonspection de bon aloi, qui va de pair avec la curiosité intellectuelle.
Pour les historiens français, les Alamans sont considérés comme casseurs, frustes et d'une cruauté bestiale... La France républicaine se voulant l'héritière de la civilisation romaine, n'a que mépris pour les barbares qui ont mis fin à l'empire romain. La sympathie des historiens nationalistes français va ainsi aux siècles de l'occupation romaine, plus compatibles avec le roman national et la latinité du pays. Cette latinophilie les conduit à minimiser, voire à occulter, nos racines germaniques. En effet, les Alamans sont les ancêtres des Alsaciens. Cette version manichéenne de l'histoire : civilisation latine inégalable contre barbarie germanique répulsive, condamne nos ancêtres, peuple laborieux aimant le beau et doué d'une profonde spiritualité, à rester les laissés-pour-compte de l'histoire régionale. L'auteur a voulu remettre à l'honneur l'épopée de ce peuple méconnu et le formidable héritage qu'il a légué à l'Alsace, à commencer par sa langue et sa germanité.
Thann (Alsace 1914) Ce petit territoire fut conquis par les Français dès le début de la guerre. Ils y appliquèrent l'assimilation forcée en ayant soin de déporter les Allemands de souche et les Alsaciens germanophiles. Parmi eux, l'autrice Anne-Marie Hils, sa mère et sa jeune soeur. Ce témoignage sentimental et ... patriotique d'une enfant d'Alsace est un document rare car il contredit le roman national qui prétend qu'en 1914, l'Alsace tout entière attendait l'arrivée des "frères français", un drapeau tricolore à la main.
Le département du Nord, de Douai à Dunkerque, c'est la Flandre française. Charles de Gaulle un flamand ? Hauts-de-France ou Flandre du sud ? La Flandre ou les Flandres ? La Flandre, une nation en devenir ? Charte signalétique bilingue, tout et son contraire ? Les Flamands sont-ils des Ch'tis ? Flamand occidental et néerlandais : même langue ? Le Lion de Flandre : avec ou sans griffes rouges ? Flamand de France habitant la Flandre belge, Wido Bourel pose 38 questions qui dérangent et y répond avec toute l'impertinence de Tyl L'Espiègle. Loin des sentiers battus et à des années-lumière de la pensée jacobine hexagonale, ce livre constitue une mine d'informations sur l'histoire, la langue et l'identité flamande.
Des légendes en héritage.
Voici des milliers d'années, la civilisation celtique s'est étendue sur une grande partie de l'Europe. Cette mosaïque de peuples, de tribus et de clans avait une culture, des arts, des traditions et des récits en commun. Depuis le temps a passé. Empires et royaumes se sont élevés avant de disparaître à leur tour. Et pourtant...
Les origines de la Belgique remontent à fort loin, à l'antique Gaule Belgique. Une partie de ses peuples fondateurs fait partie de celle-ci. Ces peuples sont à l'origine de nos terroirs et toponymes. Il faut les connaître pour les comprendre. Cette« Belgique originelle », socle de la Belgique actuelle, est l' oubliée des manuels, des études et des médias, d'où l'intérêt de combler cette lacune. Ce livre fait suite à un précédent volume traitant de la partie méridionale de la Gaule Belgique, intégrée au territoire français actuel. Cet ouvrage traite des peuples périphériques qui faisaient partie du territoire belge originel (Luxembourg et sud des Pays-Bas) mais également d'autres qui, bien que n'étant pas belges, jouaient un rôle essentiel dans la région (Rhénanie et Néerlande). Cette approche est nécessaire pour comprendre les rapports entre ces peuples qui s'influencèrent mutuellement.
Si vous aviez le choix, vous enverriez votre gamin dans une école monolingue,où l'apprentissage des langues commence quand il est déjà trop tard ? Ou vous préféreriez l'inscrire dans une école bilingue,où il aurait la chance d'apprendre, dès la maternelle,en plus du français, une autre langue qui lui ouvrirait d'autres horizons ? Richard Weiss a choisi la seconde solution, parce qu'il voulait le meilleur pour ses enfants. Face à la rigidité de l'Education nationale, il a alors décidé de créer une nouvelle école et a réussi à entraîner d'autres familles ainsi que des élus d'Alsace-Moselle. En 1990, avec Tomi UNGERER, il lance l'Association "ABCM-ZWEISPRACHIGKEIT" qui applique la pédagogie de l'immersion. Celle-ci a déjà fait ses preuves en Bretagne, au Pays basque, en Catalogne, en Occitanie... (et dans le monde entier... pour la langue française). Le présent livre raconte cette incroyable lutte contre une administration figée,dont le seul but est de ne rien changer à ses habitudes.
Ce dictionnaire de poche bilingue comporte un total de 9000 mots ou traductions. Le vocabulaire est celui du langage usuel adapté au monde d'aujourd'hui.
Un drôle d'évènement s'est invité dans la vie de Manon qui a alors 9 ans ; sa tante, Carole décide de l'embarquer pour une aventure extraordinaire.
Ce livre hybride raconte des recettes de cuisine, énonce des glossaires du potager, propose d'explorer le vaste monde végétal, interroge sur notre époque, incite à oser, encourage à déployer sa curiosité et bien plus encore.
Les photos et mises en scène rappellent aux lecteurs que nous sommes tous des enfants, plus ou moins grands, que les rêves sont permis, et surtout qu'il est primordial de les vivre.
Les droits d'auteur du présent ouvrage sont cédés à 3 associations s'occupant d'enfants atteints de cancer et maladies graves.
Le Tro Breiz a remis au goût du jour l'idée des pèlerinages circulaires, déplaçant les foules autour des sept saints fondateurs de la Bretagne. L'origine du Tro Breiz fait aujourd'hui débat. Tel n'est pas en revanche le cas de la Grande Troménie de Locronan qui peut revendiquer une tradition plus que millénaire. La Grande Troménie fait le « tour » (tro) du territoire monastique (minihi) de saint Ronan, une procession d'une douzaine de kilomètres autour de l'église et de l'oratoire du saint. Tous les six ans, des milliers de fidèles se mettent en quête sur les pas de Ronan, à la recherche du Salut ou à la recherche d'un ailleurs. La Grande Troménie de Locronan renvoie au plus profond de l'âme bretonne. Terre de légende, Locronan est avant tout une terre sacrée.
« Enfin, la France a un chef », exulte L'Ouest-Éclair du 1er novembre 1940, arborant dans sa « une» un portrait du maréchal Pétain. Le ton était le même pour l'autre grand quotidien breton de l'époque, La Dépêche de Brest, qui approuve aussi le régime de Vichy. Jusqu'à leurs derniers numéros, en juillet-août 1944, les deux journaux vont afficher leur pétainisme et un soutien sans faille à la « Nouvelle Europe » sous l'égide de l'Allemagne nazie. Interdits de parution à la Libération en raison de leur collaboration effective, les deux journaux ont été remplacés en 1944 par Ouest-France et Le Télégramme de Brest, qui multipliaient alors les actes d'allégeance au nouveau pouvoir gaulliste, sans aucun doute pour mieux faire oublier les années noires de compromissions. C'est cette histoire que l'auteur s'efforce de remettre en lumière sans rien cacher des faits avérés et confirmés par les écrits que l'on peut aisément consulter dans les archives.