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Litterature Etrangere
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Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d'un trésor enfoui au pied des Pyramides. Lorsqu'il rencontre l'Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de ses rêves. Merveilleux conte philosophique destiné à l'enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.
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« A vue de nez, un chef d'oeuvre. » Bernard Pivot « Dans la France du XVIIIe siècle, un nabot nommé Grenouille découvre le meilleur parfum du monde. De cette idée feuilletonnesque, saturée de détails et de cascades ethno-olfactives, Patrick Süskind, jeune romancier munichois, a fait Le Parfum, le nouveau best-seller européen. » Patrick Mauriès, Libération « Encore un exploit, cette exaltation de l'exhalaison, dont seules sont capables l'écriture et la lecture, à l'exclusion de tout autre art! » Bertrand Poirot-Delpech, Le Monde « Un conte, philosophique sans en avoir trop l'air, qui exhale un fort parfum de talent et d'originalité. » Pierre Démeron, Marie-Claire « Tout le monde a déjà envie de lire ce parfum étrange qui restera unique dans la littérature d'aujourd'hui. » Sylvie Genevoix, Madame Figaro
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Les secrets de la femme de ménage
Freida McFadden
- J'ai Lu
- Litterature Etrangere
- 2 Octobre 2024
- 9782290391198
Avec ce nouvel emploi, Millie semble avoir une chance en or. Chez les Garrick, un couple fortuné qui possède un somptueux appartement avec vue sur Manhattan, elle fait le ménage et prépare les repas dans la magnifique cuisine. Mais elle ne tarde pas à déceler quelques ombres au tableau... Son patron, Douglas Garrick, est d'humeur de plus en plus changeante. Et pourquoi sa femme Wendy reste-t-elle toujours enfermée dans la chambre d'amis ? Le jour où Millie découvre du sang sur une chemise de nuit, elle ne peut plus rester les bras croisés. Quelque chose se trame dans cette maison. Et cela pourrait bien se retourner contre elle si elle continue à fouiner dans les secrets des autres...
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Chaque jour, Millie fait le ménage dans la belle maison des Winchester, une riche famille new-yorkaise. Elle récupère aussi leur fille à l'école et prépare les repas avant d'aller se coucher dans sa chambre, au grenier. Pour la jeune femme, ce nouveau travail est une chance inespérée. L'occasion de repartir de zéro. Mais, sous des dehors respectables, sa patronne se montre de plus en plus instable et toxique. Et puis il y a aussi cette rumeur dérangeante qui court dans le quartier : Mme Winchester aurait tenté de noyer sa fille quelques années auparavant. Heureusement, le charmant M. Winchester est là pour rendre la situation plus supportable. Mais le danger se tapit parfois sous des apparences trompeuses. Et lorsque Millie découvre que la porte de sa chambre mansardée ne ferme que de l'extérieur, il est peut-être déjà trop tard...
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Amelia, 27 ans, vient de vivre la deuxième tragédie de son existence. Désorientée, ses pas hasardeux la mènent dans un hôtel surprenant au coeur de la nature sauvage d'un petit pays d'Amérique latine...
1970. Une explosion a lieu dans un sous-sol, à New York, causée par une bombe artisanale. Parmi les écologistes apprentis terroristes décédés : la mère de Joan, six ans. Dans l'espoir fou de mener une vie ordinaire, la grand-mère de la fillette précipite leur départ, loin du drame, et lui fait changer de prénom : Joan s'appellera désormais Amelia.
À l'âge adulte, devenue épouse, mère et artiste talentueuse, Amelia vit une seconde tragédie qui la pousse à fuir de nouveau. Elle trouve refuge à des centaines de kilomètres dans un pays d'Amérique centrale, entre les murs d'un hôtel délabré, accueillie par la chaleureuse propriétaire, Leila. Tout, ici, lui promet un lendemain meilleur : une nature luxuriante, un vaste lac au pied d'un volcan. Tandis qu'Amelia s'investit dans la rénovation de l'hôtel, elle croise la route d'hommes et de femmes marqués par la vie, venus comme elle se reconstruire dans ce lieu chargé de mystère. Mais la quiétude dépaysante et la chaleur amicale des habitants du village suffiront-elles à faire oublier à Amelia les tragédies du passé ? A-t-elle vraiment droit à une troisième chance ?
Dans ce roman américain foisonnant, Joyce Maynard, avec la virtuosité qu'on lui connaît, emporte les lecteurs sur quatre décennies. Riche en passions et en surprises, L'hôtel des Oiseaux explore le destin d'une femme forte et attachante, dont la soif d'aimer n'a d'égale que celle, vibrante, de survivre. -
Au seuil de la mort, Leonard Fife, célèbre documentariste, accepte une interview filmée que veut réaliser l'un de ses disciples, Malcolm. Fife a exigé le noir complet sur le plateau ainsi que la présence constante de sa femme, Emma, pour écouter ce qu'il a à dire, loin des attentes de Malcolm. Après une vie de mensonges, Fife entend lever le voile sur ses secrets mais, sous l'effet de l'aggravation rapide de son état, sa confession ne ressemble pas à ce que lui-même avait prévu. Puissant, écorché, bouleversant, ce roman testamentaire sur les formes mouvantes de la mémoire pose la question de ce qui subsiste - de soi, des autres - lorsqu'on a passé sa vie à se dérober.
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Le vieux qui lisait des romans d'amour
Luis Sepúlveda
- Editions Métailié
- Litterature Etrangere
- 22 Avril 1992
- 9782864241270
Antonio José Bolivar connaît les profondeurs de la forêt amazonienne et ses habitants, le noble peuple des Shuars. Lorsque les villageois d'El Idilio les accusent à tort du meurtre d'un chasseur blanc, le vieil homme se révolte. Obligé de quitter ses romans d'amour - seule échappatoire à la barbarie des hommes - pour chasser le vrai coupable, une panthère majestueuse, il replonge dans le charme hypnotique de la forêt.
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L'art de la joie
Goliarda Sapienza
- Viviane Hamy
- Litterature Etrangere Hamy
- 7 Septembre 2005
- 9782878582154
Un météore éblouissant, le livre d'une vie qui commence ainsi : « Et voyez, me voici à quatre, cinq ans traînant un bout de bois immense dans un terrain boueux. Il n'y a pas d'arbres ni de maisons autour, il n'y a que la sueur due à l'effort de traîner ce corps dur et la brûlure aiguë des paumes blessées par le bois. Je m'enfonce dans la boue jusqu'aux chevilles mais je dois tirer, je ne sais pas pourquoi, mais je dois le faire. Laissons ce premier souvenir tel qu'il est : ça ne me convient pas de faire des suppositions ou d'inventer. Je veux vous dire ce qui a été sans rien altérer.
Donc, je traînais ce bout de bois ; et après l'avoir caché ou abandonné, j'entrai dans le grand trou du mur, que ne fermait qu'un voile noir couvert de mouches. Je me trouve à présent dans l'obscurité de la chambre où l'on dormait, où l'on mangeait pain et olives, pain et oignon. On ne cuisinait que le dimanche. Ma mère, les yeux dilatés par le silence, coud dans un coin. Elle ne parle jamais, ma mère. Ou elle hurle, ou elle se tait. Ses cheveux de lourd voile noir sont couverts de mouches. Ma soeur assise par terre la fixe de deux fentes sombres ensevelies dans la graisse. Toute la vie, du moins ce que dura leur vie, elle la suivit toujours en la fixant de cette façon. Et si ma mère - chose rare - sortait, il fallait l'enfermer dans les cabinets, parce qu'elle refusait de se détacher d'elle. Et dans ces cabinets elle hurlait, elle s'arrachait les cheveux, elle se tapait la tête contre les murs jusqu'à ce qu'elle, ma mère, revienne, la prenne dans ses bras et la caresse sans rien dire.
Pendant des années je l'avais entendue hurler ainsi sans y faire attention, jusqu'au jour où, fatiguée de traîner ce bois, m'étant jetée par terre, je ressentis à l'entendre crier comme une douceur dans tout le corps. Douceur qui bientôt se transforma en frissons de plaisir, si bien que peu à peu, tous les jours je commençai à espérer que ma mère sorte pour pouvoir écouter, l'oreille à la porte des cabinets, et jouir de ces hurlements. Quand ça arrivait, je fermais les yeux et j'imaginais qu'elle se déchirait la chair, qu'elle se blessait. Et ce fut ainsi qu'en suivant mes mains poussées par les hurlements je découvris, en me touchant là d'où sort le pipi, que l'on éprouvait ainsi une jouissance plus grande qu'en mangeant le pain frais, les fruits. Ma mère disait que ma soeur Tina, «la croix que Dieu nous a justement envoyée à cause de la méchanceté de ton père», avait vingt ans ; mais elle était grande comme moi, et si grosse qu'on aurait dit, si on avait pu lui enlever la tête, la malle toujours fermée de mon grand-père : «Un damné, plus encore que son fils.», qui avait été marin. Quel métier c'était que celui de marin, je n'arrivais pas à le comprendre. Tuzzu disait que c'étaient des gens qui vivaient sur les bateaux et allaient sur la mer . mais qu'est-ce que c'était que la mer ? » L'Art de la joie résiste à toute présentation. Roman d'apprentissage, il foisonne d'une multitude de vies. Roman des sens et de la sensualité, il ressuscite les élans politiques qui ont crevé le XXe siècle. Ancré dans une Sicile à la fois sombre et solaire, il se tend vers l'horizon des mers et des grandes villes européennes...
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Dans ce nouveau roman, Richard Powers embrasse un sujet aussi vaste que le monde : celui de la nature et de nos liens avec elle. Les destins des protagonistes de ce récit, un psychologue, un étudiant, un concepteur de jeux électroniques, un photographe amateur, une botaniste visionnaire, s'entrelacent autour de ce qui est peut-être le premier et le dernier mystère du monde : la communication entre les arbres. Au fil d'une éco-fiction aux dimensions symphoniques, avec au centre du récit un séquoia menacé de destruction, Richard Powers explore ici le drame écologique et notre lente noyade dans le cyber-world, et nous rappelle que sans la nature notre culture n'est que ruine de l'âme.
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Kate et Baba, les « filles de la campagne » de cette prodigieuse saga romanesque, grandissent dans un village de l'Ouest de l'Irlande. Quand la modeste et romantique Kate obtient une bourse pour aller étudier au couvent, l'intrépide Baba décide de la suivre. L'atmosphère y est irrespirable pour ces très jeunes filles éprises de liberté. Baba trouve alors le moyen de les faire toutes deux renvoyer. Les voilà parties pour Dublin, qu'elles rêvent de conquérir. La cruauté des hommes, prompts à abuser de leur naïveté ou à s'attribuer le statut avantageux de pygmalion, leur vaut désillusions et souffrances. Mais du moins vivent-elles selon leurs désirs.
Le succès littéraire a été à la hauteur du scandale lors de la parution, en 1960, de The Country Girls, le premier livre de la célèbre trilogie d'Edna O'Brien. L'audace et la lucidité de la romancière de trente ans, concernant l'éveil à la sexualité de ses deux héroïnes, les mécanismes de l'oppression subie par les femmes et aussi leur refus d'être assignées à leur rôle de mère, font aujourd'hui résonner sa trilogie comme un vivifiant manifeste féministe.
Country Girls réunit les trois premiers romans d'Edna O'Brien, née en 1930 dans le comté de Clare et tôt installée à Londres. Dans l'Irlande catholique et rétrograde de l'époque, leur publication a eu l'effet d'une déflagration : mis à l'index, brûlés en place publique, ils ont également valu à leur autrice les pires commentaires misogynes. Malgré cela, depuis 1960, la grande romancière irlandaise n'a jamais quitté sa table de travail, construisant une oeuvre éblouissante et traduite dans le monde entier.
Toute la puissance de son écriture - son lyrisme, sa tendresse pour ses personnages, son humour salutaire et son sens de l'intrigue - est présente dans cette trilogie inaugurale. -
L'auteur de l' Arbre-Monde revient avec un roman magistral, qui questionne notre place dans l'Univers.
"On y entre curieux, on en ressort bouleversé." Le Figaro Depuis la mort de sa femme, Theo Byrne, un astro-biologiste, élève seul Robin, leur enfant de neuf ans. Attachant et sensible, le jeune garçon se passionne pour les animaux qu'il peut dessiner des heures durant. Mais il est aussi sujet à des crises de rage qui laissent son père démuni.
Pour l'apaiser, ce dernier l'emmène camper dans la nature ou visiter le cosmos. Chaque soir, père et fils explorent ensemble une exoplanète et tentent de percer le mystère de l'origine de la vie.
Le retour à la " réalité " est souvent brutal. Quand Robin est exclu de l'école à la suite d'une nouvelle crise, son père est mis en demeure de le faire soigner.
Au mal-être et à la singularité de l'enfant, les médecins ne répondent que par la médication. Refusant cette option, Theo se tourne vers un neurologue conduisant une thérapie expérimentale digne d'un roman de science- fiction. Par le biais de l'intelligence artificielle, Robin va s'entraîner à développer son empathie et à contrôler ses émotions.
Après quelques séances, les résultats sont stupéfiants.
Mettant en scène un père et son fils dans une Amérique au bord du chaos politique et climatique, Richard Powers signe un roman magistral, brillant d'intelligence et d'une rare force émotionnelle, questionnant notre place dans l'univers et nous amenant à reconsidérer nos liens avec le vivant.
" On y entre curieux, on en ressort bouleversé. " Le Figaro " Immensément romanesque, radicalement original. " Les Inrocks " Un grand roman signé par l'un des écrivains que j'admire le plus aujourd'hui. " François Busnel, La Grande Librairie " Un émouvant roman écologiste et humaniste. Une fiction où l'intelligence et l'émotion s'unissent. " Télérama " Virtuose. Le lecteur retrouvera dans Sidérations la puissance visionnaire et l'imagination " sidérante " de l'auteur de l' Arbre-Monde. " L'Humanité " Magnifique et, bien sûr, sidérant. " Marie-Claire " Un poignant roman sur la fragilité de notre rapport au monde et l'amour paternel. Aussi brillant que touchant. " Ouest France " Un Petit prince du réchauffement climatique. " Philosophie Magazine " La gradation de l'intrigue est plus que bouleversante, et bien téméraire qui jurerait ne pas avoir versé quelques larmes. " Sud-Ouest Traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean-Yves Pellegrin -
Connell et Marianne ont grandi dans la même ville d'Irlande. Il est le garçon en vue du lycée, elle est la solitaire un peu maladroite. Pourtant, l'étincelle se produit : le fils de la femme de ménage et l'intello hautaine connaissent ensemble leur premier amour.
Un an plus tard, alors que Marianne s'épanouit au Trinity College de Dublin, Connell s'acclimate mal à la vie universitaire.
Un jour, tout est léger, irrésistible?; le lendemain, le drame pointe et les sentiments vacillent.
Entre eux, le jeu vient tout juste de commencer.
Sally Rooney réussit le tour de force de donner une dimension unique et universelle à cette histoire. Porté par des dialogues saisissants de justesse, Normal People est un roman magistral sur la jeunesse, l'amitié, le sexe, sur les errances affectives et intellectuelles d'une génération qui n'a plus le droit de rêver, mais qui s'entête à espérer.
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Après le triomphe d'Hamnet, le grand retour de Maggie O'Farrell qui nous plonge ici dans un drame historique au coeur de la Renaissance italienne, à la découverte d'une femme libre, rebelle, sensible, incomprise : Lucrèce de Médicis.
C'est un grand jour à Ferrare. On y célèbre les noces du duc Alfonso et de Lucrèce de Médicis. La fête est extravagante et la foule n'a d'yeux que pour le couple.
La mariée a quinze ans. Rien ne l'avait préparée à ce rôle. Elle n'était que la troisième fille du grand duc de Toscane, la discrète, la sensible, celle dont ses parents ne savaient que faire. Mais le décès soudain de soeur aînée a changé son histoire.
Un chef-d'oeuvre de Maggie O'Farrell, l'une des plus grande plume de la littérature étrangère. -
Dans un petit village abandonné de la «zone grise», coincé entre armée ukrainienne et séparatistes prorusses, vivent deux laissés-pour-compte: Sergueïtch et Pachka. Désormais seuls habitants de ce no man's land, ces ennemis d'enfance sont obligés de coopérer pour ne pas sombrer, et cela malgré des points de vue divergents vis-à-vis du conflit. Aux conditions de vie rudimentaires s'ajoute la monotonie des journées d'hiver, animées, pour Sergueïtch, de rêves visionnaires et de souvenirs. Apiculteur dévoué, il croit au pouvoir bénéfique de ses abeilles qui autrefois attirait des clients venus de loin pour dormir sur ses ruches lors de séances d'«apithe´rapie». Le printemps venu, Sergueïtch décide de leur chercher un endroit plus calme. Ayant chargé ses six ruches sur la remorque de sa vieille Tchetviorka, le voilà qui part a` l'aventure. Mais même au milieu des douces prairies fleuries de l'Ukraine de l'ouest et du silence des montagnes de Crimée, l'oeil de Moscou reste grand ouvert...
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Los Angeles, 1981. Le jeune Bret entre en terminale dans le très chic lycée Buckley. Avec ses amis, il expérimente les rites de passage à l'âge adulte : alcool, drogue, sexe et jeux de dupes. Mais l'arrivée d'un nouvel élève et l'entrée en scène d'un tueur en série va faire voler leur vie en éclats...
Los Angeles, 1981. Bret, 17 ans, alors en pleine écriture de Moins que zéro, entre en terminale au lycée privé de Buckley. Avec Tom et Susan - le couple phare du lycée -, et Debbie, sa petite amie, ils forment un clan hyper fermé. Bret y occupe la place d'écrivain en herbe, ce qui lui donne la liberté de jouer avec la vérité et de mentir sur sa vie privée. Mais l'arrivée d'un nouvel élève fait voler en éclats les non-dits et les mensonges qui lient le groupe depuis toujours. Robert Mallory est extrêmement beau et charismatique, et assez vite il s'insinue dans leur petit clan. Or il a un secret. Pour Bret, ce secret le lie au Trawler, un tueur en série qui sévit à L.A. et qui commence à menacer Bret et ses amis par des actes violents et grotesques. Vivant seul dans sa grande maison de Mulholland en l'absence prolongée de ses parents, terrorisé et assailli d'obsessions malsaines, Bret se met à suivre Robert. Mais peut-il se fier à son esprit paranoïaque pour affronter le danger, alors que la confrontation avec le Trawler se rapproche inexorablement ? Porté par une écriture acérée mêlant le réalisme hypermnésique au délire d'un esprit malade, Les Éclats épouse les méandres de personnages faisant et défaisant la réalité de leur époque au gré de leurs désirs et de leurs pulsions. -
«J'aurais beau parler toutes les langues des hommes et des anges, s'il me manque l'Amour, je ne suis qu'un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante.» À la fin du XIX? siècle, Henry Drummond, jeune Écossais tout juste rentré d'Afrique, livra une interprétation de la Lettre de saint Paul aux Corinthiens qui captiva son auditoire et fut considérée comme l'un des textes les plus beaux jamais écrits sur l'amour. À travers ces pages, Paulo Coelho en propose une adaptation vibrante et nous offre ainsi des perles de sagesse pour apprendre à vivre mieux en cultivant l'amour, le trésor de l'âme, le Don suprême, comme notre bien le plus précieux.
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Le restaurant des recettes oubliées : Deuxième service
Hisashi Kashiwai
- J'ai Lu
- Litterature Etrangere
- 2 Octobre 2024
- 9782290393420
«Nous retrouvons vos plats.» Une mystérieuse publicité tenant sur une ligne dans une revue culinaire, pas de numéro de téléphone
ni d'adresse claire : ceux qui souhaitent se rendre au restaurant Kamogawa doivent compter sur un soupçon de magie pour arriver à bon port ! Seuls les habitués et les clients guidés par le destin trouvent leur chemin jusqu'à la petite bâtisse cachée dans les ruelles de Kyoto, qui propose à ses convives de recréer les délicieux mets qui ont marqué leur vie. Pour chaque nouveau plat, Nagare Kamogawa
et sa fille Koishi offrent à leurs clients une plongée dans le goût inimitable du souvenir. -
Le Dernier Rêve
Pedro Almodovar
- Flammarion
- Litterature Etrangere Flammarion
- 28 Août 2024
- 9782080436788
«Je suis né au début des années 1950, une sale époque pour les Espagnols, mais formidable pour le cinéma et la mode.» Dans ce recueil qui associe récits de fiction et d'autofiction, réflexions et souvenirs, Pedro Almodóvar livre son «autobiographie morcelée, incomplète et quelque peu cryptique». Le Dernier Rêve offre une plongée drôle et poétique dans l'univers du cinéaste de la movida, pour qui tout est matière à récit : les amours, les amants, les muses, les stars de roman-photo et les figures maternelles s'y côtoient dans un flamboyant déchaînement vital. On y retrouve les motifs qui lui sont chers - le rapport au temps, à la religion et au sentiment national, les violences sexuelles, les questionnements sur le genre... - tout en décelant, entre les lignes, son intimité profonde. Écrits entre la fin des années 1960 et aujourd'hui, les douze textes qui composent Le Dernier Rêve proposent une incursion fascinante dans l'imaginaire baroque de l'un des plus grands réalisateurs européens, qui s'invite avec maestria en littérature.
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Lorsqu'elle arrive à Auschwitz, sous un ciel bas et gris, Ana est persuadée qu'elle ne survivra pas à l'enfer du camp. Mais elle possède une compétence que les nazis recherchent : elle est sage-femme. Son travail sera de donner naissance aux enfants des autres prisonnières. Une mission terrible car, dès qu'ils ont poussé leur premier cri, les nouveau-nés sont emmenés et donnés à des familles allemandes. Malgré la détresse de ces femmes à qui on vole leurs bébés, Ana essaie d'apporter un peu de réconfort autour d'elle. Et puis un jour, elle réalise qu'elle peut faire plus. Secrètement, elle tatoue les petits avec les numéros de déportées de leurs mères. C'est une lueur d'espoir dans ce monde d'une infinie noirceur : et si, après l'horreur de la guerre, grâce à ce petit geste, ces enfants et leurs mères pouvaient se retrouver ?
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Un adolescent, Kafka Tamura, quitte la maison familiale de Tokyo pour échapper à une malédiction oedipienne proférée par son père. De l'autre côté de l'archipel, Nakata, un vieil homme amnésique, décide lui aussi de prendre la route. Leurs deux destinées s'entremêlent pour devenir le miroir l'une de l'autre, tandis que, sur leur chemin, la réalité bruisse d'un murmure envoûtant.
" Sous la baguette d'un enchanteur qui puise ses sortilèges dans les pires noirceurs de la condition humaine, Kafka sur le rivage est le roman le plus ambitieux, le plus envoûtant de Murakami. "
André Clavel,
Lire
Traduit du japonais
par Corinne Atlan -
Portrait somptueux d'une femme incarnant à elle seule l'histoire, tragique et sublime, du Paradis perdu de l'Amérique, Dalva, dès sa parution en 1989, était voué à devenir un classique instantané : un livre culte qui allait inspirer toute une génération d'écrivains à porter un nouveau regard sur l'âme de leur pays, et toute une génération de lecteurs à s'aventurer dans les grands espaces du roman américain. À travers la destinée de cette femme éminemment libre, indomptable et sensuelle, c'est en effet l'épopée de l'Amérique tout entière, ses mythes fondateurs, la majesté de ses paysages sauvages, mais aussi la part d'ombre de ses origines, qui est ressuscitée sous nos yeux. Roman d'amours et d'aventures, saga familiale, ode à l'espoir envers et contre toutes les violences de l'Histoire - depuis le génocide de la nation indienne jusqu'aux ravages d'une modernité cynique et cupide en passant par le traumatisme du Vietnam -, Dalva, à l'image de son inoubliable héroïne, est un livre pour l'éternité.
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Le Seigneur des Anneaux Tome 1 : la fraternité de l'anneau
J. R. R. Tolkien
- Christian Bourgois
- Litterature Etrangere
- 2 Octobre 2014
- 9782267027006
Depuis sa publication en 1954-1955, Le Seigneur des Anneaux a enchanté des dizaines de millions de lecteurs dans le monde entier, et donné vie à la fantasy moderne, en racontant les aventures de Frodo et de ses compagnons, traversant la Terre du Milieu au péril de leur vie pour détruire l'Anneau forgé par Sauron, le Seigneur des Anneaux. Mais depuis quelques années, de nombreux lecteurs français et francophones souhaitaient qu'une nouvelle traduction, quarante ans après la première (1972), prenne en compte la meilleure version du texte anglais (débarrassé de ses coquilles depuis 2004) ainsi que toutes les découvertes permises par les publications posthumes de J.R.R Tolkien, proposées par son fils Christopher.
C'est chose faite aujourd'hui, grâce à la nouvelle traduction du Seigneur des Anneaux, réalisée par Daniel Lauzon, qui a pu suivre, pour la première fois, toutes les indications laissées par l'auteur à l'intention des traducteurs du Seigneur des Anneaux. Dans le droit fil de sa retraduction du Hobbit en 2012, reconnue par les lecteurs de Tolkien comme la nouvelle traduction de référence, Daniel Lauzon a prêté une attention particulière au dynamisme du texte, à son énergie, aux différentes « voix » des personnages (on entend Gollum et Gandalf comme pour la première fois !), et veillé à rendre toute la poésie des chansons que comporte Le Seigneur des Anneaux.
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L'été où tout a fondu
Tiffany McDaniel
- Joelle Losfeld
- Litterature Etrangere Joelle Losfeld
- 30 Mai 2019
- 9782072758577
Ohio 1984, année marquée par ET., Mario Bros., la mode de l'aérobic, Michael Jackson et le Pepsi, le lancement du premier Macintosh d'Apple, les débuts de l'épidémie du sida... Mais aussi l'année fatidique où Autopsy Bliss, procureur par vocation et par foi, invite le Diable à lui rendre visite en écrivant dans le journal local de la petite ville de Breathed.
Contre les attentes de son fils de treize ans, Fielding, ce n'est pas un démon rouge et cornu armé d'une fourche qui répond à cette invitation, mais Sai, un jeune garçon noir aux étranges yeux verts, accompagné d'une canicule telle que la ville n'en a jamais vécue, qui fait fondre la glace à la vanille comme le bon sens. Autopsy Bliss, pensant que Sai a fugué d'une ferme voisine, décide de l'héberger le temps que la police retrouve ses parents. Sai partagera donc pour un été la vie de Fielding, de son grand frère Grant, bel athlète blond de dix-huit ans et en apparence la parfaite incarnation de l'idéal américain, de sa mère, qui a recréé le monde dans les pièces de la maison car elle craint trop la pluie pour s'aventurer dehors, de l'irascible tante Fedelia et de la vieille chienne Granny.
Malgré la beauté des paraboles poétiques au moyen desquelles il aime s'exprimer, Sai sème à sa suite des événements trop inquiétants pour être des accidents et vient ainsi attiser le climat de discrimination et de ferveur religieuse qui règne dans cet État du Sud jusqu'à ce que la suspicion, le fanatisme et la mort s'emparent peu à peu de la ville...
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La conjuration des imbéciles
John Kennedy Toole
- 10/18
- Litterature Etrangere
- 7 Novembre 2019
- 9782264075635
"Le héros de La Conjuration des imbéciles est un gros dingue d'une trentaine d'années qui porte casquette et pantalon de tweed, et répond au doux nom d'Ignatius Reilly. Ce fou (pas si fou que ça d'ailleurs...) vit avec sa mère, qui abuse du Moscatel, dans une vieille masure de La Nouvelle-Orléans. Ignatius a des idées, plein d'idées, pour racheter le genre humain en voie de perdition dans la société déliquescente des années 60. Il noircit des cahiers d'une prose quasi moyenâgeuse. S'essaie à plusieurs métiers, dont celui d'archiviste dans une fabrique de pantalons et de vendeur de hot-dogs dans les rues les plus pourries du quartier français. Forcément, rien ne marche, Ignatius vit dans des nimbes philosophiques incompatibles avec la réalité. [...] John Kennedy Toole enchevêtre toutes ses destinées avec une maîtrise parfaite. L'écrivain, qui avait à peine une trentaine d'années quand il a écrit ce chef d'oeuvre s'est suicidé quelques années plus tard parce que sa prose n'avait pas de succès. " Anne Le Stang, La Charente libre.