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Cahiers Du Cinema
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Cahiers du cinéma Hors-Série n.5 : Alfred Hitchcock
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinéma
- 25 Avril 2025
- 9782377161300
Alors même qu'il a disparu il y a 45 ans, le nom d'Alfred Hitchcock reste aujourd'hui encore synonyme de cinéma. La reconnaissance désormais définitive de celui qu'on a longtemps surnommé « le maître du suspense » a démarré, en France, dans les années 1950, dans les colonnes des Cahiers du cinéma à couverture jaune, sous l'impulsion des futurs cinéastes de la Nouvelle Vague. Cette reconnaissance a été l'objet d'une lutte farouche tant Hitchcock était, à l'époque, généralement considéré comme un artisan efficace et habile, mais pas davantage. Elle a, au fil du temps, porté ses fruits, faisant de lui un auteur porteur d'un style et d'une vision du monde.
C'est donc tout naturellement qu'à travers ce nouvel hors-série des Cahiers du cinéma nous revenons sur le regard et l'univers d'un cinéaste dont la puissance et l'invention formelles ouvrent à une forme de morale, voire même de métaphysique. Ce numéro spécial sera donc d'abord l'occasion de revisiter les très riches archives de la revue à travers les entretiens que le cinéaste d'origine anglaise a donnés à François Truffaut, Claude Chabrol ou Jean Douchet, ainsi que de nombreux articles que les critiques de l'époque - à ceux déjà cités on peut ajouter les noms de Rivette, Rohmer, Godard, Luc Moullet ou Jean Domarchi - ont consacrés à son oeuvre et qu'il est passionnant de (re)lire aujourd'hui.
À ces textes et entretiens véritablement historiques, s'ajoutent, sur le modèle des hors-série précédents consacrés à Clint Eastwood, Jacques Demy, David Lynch ou François Truffaut, une série d'approches plus contemporaines. Les regards de cinéastes d'aujourd'hui sur une oeuvre qui n'a cessé de fasciner se mêlent ainsi à des réflexions et documents sur les relations complexes et parfois toxiques qu'Hitchcock entretenait avec ses actrices (Grace Kelly, Kim Novak, Tippi Hedren...), sur la Politique des Auteurs dont il est un symbole, sur sa période anglaise plus méconnue ou encore, sur son travail avec son compositeur de prédilection, Bernard Herrmann, sans oublier ses rapports avec l'art ou avec la télévision. Le travail formel du cinéaste ne sera pas oublié à travers des pages de photos commentées ainsi que sa descendance considérable depuis les années 1970 jusqu'à aujourd'hui, de Brian De Palma à Chantal Akerman, en passant par David Lynch ou Dario Argento...
Enfin, une filmographie commentée sera proposée à la fin de ce numéro, à travers un mélange de critiques d'époque et de textes contemporains, et mettra l'accent sur les chefs d'oeuvre d'Hitchcock (Les Enchaînés, Fenêtre sur cour, Vertigo, La Mort aux trousses, Psychose, Les Oiseaux...) mais également sur des films un peu moins célèbres (par exemple, L'Ombre d'un doute, Les Amants du Capricorne, Mais qui a tué Harry ?, Le Faux Coupable ou encore Pas de printemps pour Marnie). Une manière de mélanger l'histoire et le présent qui entend redonner son ampleur à une oeuvre tout à la fois très populaire et toujours un peu méconnue qu'il est absolument urgent de redécouvrir.
Numéro coordonnée et dirigé par Thierry Jousse et Marcos Uzal. -
Cahiers du cinéma n.819 : Ecologie
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinéma
- 1 Avril 2025
- 9782377161225
« Parce qu'il a permis d'enregistrer la vie des humains dans leur environnement, qu'il a été instrument d'exploration et de science autant que de rêve, qu'il a pu imaginer toutes formes de catastrophes, de fins du monde, le cinéma a d'une certaine manière toujours pensé l'écologie », écrit Marcos Uzal dans son éditorial du numéro d'avril. L'écologie se pose d'abord aujourd'hui pragmatiquement : comment continuer à produire des films en polluant moins ? Alors que le CNC entre dans la phase 2 de son « Plan Action ! », associations et nouveaux métiers pointent également vers de nouvelles pratiques, dont nous proposons un bilan d'étape. Mais les films mettent eux-mêmes en scène l'urgence écologique, constituant le cinéma comme un espace de résistance au « déni cosmique » du gouvernement Trump, comme l'argumente dans nos pages Dork Zabunyan, ou offrant des alternatives au contexte de catastrophe climatique, comme le fait la philosophe Donna Haraway. Nos rencontres avec quatre cinéastes français (Guilluame Brac Thomas Cailley, Dominique Marchais et Thomas Salvador) mais aussi avec la Brésilienne Ana Vaz, le Thaïlandais Apichatpong Weerasethakul et le Congolais Sammy Baloji, s'accompagnent d'un viatique commentant douze films contemporains concernés par l'écologie.
Importantes sorties d'avril, Les Linceuls de David Cronenberg, Deux soeurs de Mike Leigh (qui nous a accordé un entretien) ou encore Jeunesse (Les Tourments) de Wang Bing ouvrent un cahier critique également à l'affût de premiers longs métrages, venus notamment de Grèce (Kyuka) et d'Ouzbékistan (Dimanches).
En plus du Journal (festivals, expositions et rétrospectives), une sélection de ressorties et DVD-Blu-Ray précède la rubrique « Au travail » dans laquelle Michael Pangrazio dévoile les secrets de son artisanat, le matte painting, pour les blockbusters américains de Steven Spielberg et de George Lucas.
Poursuivant nos entretiens sur les 130 ans du cinéma, nous conversons ce mois-ci avec l'écrivaine Marie Darrieussecq sur les liens entre sa cinéphilie et son approche de la littérature. -
Cahiers du cinéma n.816 : Les films les plus attendus de 2025
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 3 Janvier 2025
- 9782377161195
Ce numéro de janvier, traditionnellement ouvert sur le top 10 des lecteurs, marque l'anniversaire des 130 ans du cinéma. Aussi, pour inaugurer notre dossier de couverture annuel sur les films dont nous attendons avec impatience la sortie en 2025, avons-nous demandé à David Cronenberg de converser avec nous sur l'état de cet art. Son film, Les Linceuls, qui nous a éblouis et donné à penser au dernier Festival de Cannes, sortira en avril prochain.
Parmi les réjouissances critiques de janvier, Isabelle Huppert nous accorde un entretien sur sa sautillante troisième collaboration avec le Coréen Hong Sangsoo (La Voyageuse), et Pedro Almodovar nous parle longuement de son travail outre-Atlantique avec Julianne Moore et Tilda Swinton pour La Chambre d'à côté (qui illustre notre couverture), en détaillant ses influences picturales notamment et sa conception du jeu. En contrepoint, hors-actualité, Darejan Omirbaev offre un regard très peu occidental et presque drôle de mélancolie.
Un portfolio de peintures, manuscrits et documents inédits de Jean-Luc Godard offre un retour sur les origines du cinéaste, à travers des oeuvres de jeunesse qui nous rappellent combien son travail cinématographique est avant tout manuel et visuel.
Les nouveaux films de Pierre Creton, Robert Guédiguian, Andrea Arnold, Hélène Milano, Adam Elliot, Claire Simon, Halina Reijn, Jia Zhangke et Arnaud Desplechin sont également au programme d'un cahier critique particulièrement fourni. La vivacité et le caractère défricheur des festivals sont également très bien représentés ce mois-ci via des incursions à Nantes, Clermont-Ferrand, Belfort, Amiens, Lisbonne ou encore Gijon.
Ce numéro se révèle particulièrement voyageur, dans les régions géographiques qui font l'objet de rétrospectives mais aussi dans les critiques de films restaurés et à nouveau à l'affiche, tels La Maison et le Monde de Satyajit Ray, La Clepsydre de Wojciech J. Has, Le Pavillon d'or de Kon Ichikawa, ou encore les coffrets World Cinema Project et Ghassan Salhab. -
Cahiers du cinéma n.818 : Albert serra dans l'arène
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinéma
- 27 Février 2025
- 9782377161218
« Le cinéma nous a proposé les formes historiques avec lesquelles on perçoit le temps » : l'historien Patrick Boucheron se penche avec les Cahiers sur le rôle de sa cinéphilie dans son approche de sa discipline mais aussi son rapport au monde, celui de toute une génération, qui doit peut-être aujourd'hui sacrifier ses objets chéris pour cause de changement d'époque. Cet entretien stimulant, le troisième de la série consacrée toute cette année aux 130 ans du cinéma, ouvre un numéro 818 haut en couleurs, où la violence qui résonne dans un cinéma passé mais pas patrimonial (Pasolini, Duras ou l'étonnant Incinérateur de cadavres de Juraj Herz) s'entrechoque avec l'invention formelle des sorties les plus marquantes du mois de mars. Tardes de soledad, tourné dans les arènes de plusieurs corridas, donne à Albert Serra l'occasion de développer « une morale de la trahison » dans un film qui ne laissera personne indifférent. Ouvert sur Mickey 17 de Bong Jooho, le cahier critique est enrichi de plusieurs entretiens et portraits de cinéastes apportant un souffle neuf, de Constance Tsang aux frères Guit en passant par Hernán Rosselli et Mahdi Fleifel. La parole recueillie nourrit aussi d'autres rubriques : nous revenons sur leur trajectoire avec Ti West (X, MaXXXine...), Susan Seidelman (Recherche Susan désespérément) et Bennett Miller (Foxcatcher). Lola Lafon converse sur l'importance des séries dans son processus d'écriture. Quant au méconnu Stephen Berkman, il dévoile les secrets techniques des photographies « anciennes » qu'il crée pour les plus grands films hollywoodiens actuels, la rubrique « Au travail » ouvrant ce mois-ci, de manière inattendue, à une rêverie esthétique.
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Cahiers du cinéma Hors-Série n.4 : Clint Eastwood
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 20 Novembre 2024
- 9782377161188
Clint Eastwood est une légende, mais surtout un grand cinéaste. Rendu célèbre par les westerns de Sergio Leone - la fameuse trilogie du dollar - et par son incarnation de l'Inspecteur Harry, il entame, à la surprise générale, une carrière de réalisateur, au début des années 1970, avec Play Misty for Me (Un frisson dans la nuit), qui s'est poursuivie jusqu'à aujourd'hui - son dernier film Juré n°2 sort le 30 octobre. Ponctuée par de très grands films - Honkytonk Man, Pale Rider, Bird, Impitoyable, Sur la route de Madison, pour n'en citer que quelques-uns - la trajectoire de Clint Eastwood est souvent paradoxale mais toujours passionnante, y compris dans son alternance de films commerciaux et d'oeuvres plus personnelles, les deux veines se complétant idéalement.
Les Cahiers du cinéma ont manqué ses films des années 1970, mais la revue a commencé à s'intéresser aux oeuvres d'un cinéaste encore en manque de reconnaissance critique dès le début des années 1980. Depuis, les générations successives de rédacteurs et rédactrices n'ont cessé de se plonger dans son travail aux partis-pris très marqués, faisant le lien entre les pionniers du cinéma américain, comme John Ford, et une certaine modernité. Ce numéro hors-série conçu sur le modèle des précédents - Truffaut, Lynch, Demy - prend acte de ce travail critique accompli depuis plus de quarante ans. Tout d'abord, en reprenant quatre entretiens donnés par Clint Eastwood aux Cahiers à des moments importants de sa carrière, ainsi que des propos de certains de ses plus proches collaborateurs, comme son chef opérateur Tom Stern, ou son monteur Joel Cox. Ensuite, en republiant des textes généraux sur l'acteur et le cinéaste, et des critiques de ses films, parus au fil des années.
En contrepoint de ces précieuses archives, des regards neufs seront proposés sur une oeuvre qui comporte plus de quarante films. Des cinéastes contemporains viendront témoigner. Olivier Assayas qui, à l'époque où il était critique aux Cahiers, a été le premier à célébrer le cinéaste Eastwood, mais également Albert Serra. Des textes nouveaux envisageront des aspects importants de son oeuvre - la masculinité et les relations avec les femmes, sa vision de l'Amérique, son rapport intime à la musique... Une place non négligeable sera laissée aux images de ses films qui mettront en valeur son travail sur la lumière, sur le paysage ou sur l'autoportrait. Enfin, ses grands films seront revisités dans une filmographie sélective, qui mêlera textes anciens et critiques nouvelles.
Numéro coordonné et dirigé par Thierry Jousse et Marcos Uzal -
Cahiers du cinéma Hors-Série n.3 : Jacques Demy
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 26 Avril 2024
- 9782377161171
Parmi tous les grands cinéastes français, Jacques Demy est un des plus singuliers, ne serait-ce que par ses grands films musicaux, uniques en leur genre, devenus mythiques pour les nouvelles générations (en particulier, Les Demoiselles de Rochefort ou Peau dâne). À la tête dune filmographie relativement brève seulement 13 longs-métrages entre 1960 (Lola) et 1988 (Trois places pour le 26) -, Demy a connu la gloire, notamment avec la Palme dor attribuée en 1964 aux Parapluies de Cherbourg, tragédie musicale entièrement chantée, synonyme de reconnaissance internationale, aux USA notamment où le cinéaste tournera, un peu plus tard, Model Shop, mais également une trajectoire accidentée, ponctuée par plusieurs projets non réalisés.
Conçu sur le même modèle que ses deux prédécesseurs, dédiés à François Truffaut et David Lynch, ce hors-série Jacques Demy reprendra une sélection de textes critiques, rédigés par Jean-Luc Godard, Paul Vecchiali, François Weyergans, Jean Douchet et bien dautres et dentretiens publiés dans la revue, au fil de lhistoire des Cahiers, en particulier deux grands entretiens donnés par Jacques Demy en 1964 (au moment des Parapluies de Cherbourg et en 1982 (à lépoque dUne chambre en ville), mais également des témoignages exceptionnels de Catherine Deneuve, Michel Legrand ou Bernard Evein, véritable directeur artistique des films de Demy.
Grâce à la coopération précieuse de Ciné-Tamaris et de Rosalie Varda, ce hors-série sera aussi loccasion de puiser dans les archives du cinéaste, soigneusement conservées, et de publier des documents rares, voire inédits oeuvres de jeunesse, photos et peintures réalisées par Demy dans la seconde moitié des années 1980, documents ayant traits aux projets non tournés, photos dAgnès Varda sur les tournages du cinéaste sous la forme de plusieurs port-folio.
Cette oeuvre très personnelle mérite également dêtre revisitée à la lumière de regards contemporains. Des cinéastes contemporains, français (par exemple, Christophe Honoré.) ou étrangers (Damien Chazelle.), évoqueront leur relation aux films de Jacques Demy. Nous proposerons un gros-plan sur les musiques mythiques de Michel Legrand, à travers les propos de chanteuses amoureuses de ce répertoire, telles que Nathalie Dessay. Sans oublier une relecture du cinéma de Demy sur des thématiques contemporaines, sexuelles, politiques, voire même queer. -
Cahiers du cinéma n.815 : Tout 2024 (pour le meilleur et pour le pire)
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 30 Novembre 2024
- 9782377161164
Le traditionnel top 10 de la rédaction est l'occasion de revenir sur une année cinématographique marquée par une certaine exubérance qui traduit la violence du monde. Masques de clowns horrifiques (Joker 2), dispositifs élaborés (La Zone d'intérêt), retour oblique de la comédie musicale (Emilia Perez)... Les Cahiers reviennent sur cet « an pire » dans plusieurs textes transversaux, avant un ensemble consacré aux deux « films du mois », Noël à Miller's Point, dont un photogramme orne la couverture de ce numéro, et Eephus, épopée miniature sur des joueurs de baseball du dimanche. Au riche cahier critique (Here, Vingt dieux, Une langue universelle, Oh, Canada, Limonov, Sarah Bernhardt, Noseferatu,...) assorti d'entretiens (Paul Schrader, Matthew Rankin...) s'ajoutent les découvertes faites dans les festivals de nombreux pays représentés dans le « Journal des Cahiers ». Cette rubrique s'ouvre ce mois-ci sur une enquête qui s'intéresse aux adaptateurs, les auteurs de sous-titres dont le travail est menacé par un usage dévoyé de l'IA. La vivacité des séries et unitaires de plateformes (Younost, The Penguin, Monsters) complète ce mois riche en sorties, tandis que les livres, DVD et reprises remettent en lumière le cinéma à la fois artisanal et fantasque de Youri Norstein et d' Otar Iosseliani, et mettent en rapport les films et les poèmes du maître de l'expérimental Jonas Mekas.
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Cahiers du cinéma n.814 : Produire aujourd'hui
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 2 Novembre 2024
- 9782377161157
Comment travaillent aujourd'hui les productrices et producteurs de films en France ? Comment ce métier qui fait l'objet de fantasmes est-il pratiqué à l'heure des changements induits par MeToo, de l'usage croissant de l'IA et des évolutions des différents « guichets » de financement ? Table ronde, entretiens et enquête viennent éclairer une activité qui dépasse de très loin la seule recherche de fonds et se révèle garante de la liberté créatrice des cinéastes.
Le cahier critique de novembre s'ouvre sous le signe du voyage, qu'il soit doublé d'une architecture temporelle complexe (Grand Tour, accompagné d'un entretien avec Miguel Gomes), ou mené au plus près d'une actualité douloureuse (Voyage à Gaza et No Other Land). Ce voyage discrètement initiatique (Good One) ou faussement vaudevillesque (Trois amies), on le prolongera par la lecture du Journal et des découvertes faites par les rédactrices et rédacteurs dans les festivals de France et d'Europe, ainsi que par une promenade en compagnie d'un trio de cinéastes aimés de longue date par les Cahiers : Aki Kaurismäki, Pedro Costa et Victor Erice. L'odyssée s'achèvera par les sublimes explorations d'Apichatpong Weerasethakul, dont le long entretien qu'on publie ici s'inscrit dans le sillage du numéro d'octobre autour de la nuit. Objets de ressorties ou d'éditions DVD-Blu-Ray, Man Ray, Max Ophuls, Billy Wilder, Gianfranco De Bosio, Alan Clarke et Marco Pico viennent compléter un sommaire riche en classiques et en curiosités. -
Cahiers du cinéma Hors-Série n.1 : François Truffaut
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 22 Avril 2023
- 9782377161027
Découvrez la nouvelle collection de hors-séries signée Les Cahiers du Cinéma : Les Cineastes.
Composé de textes d'époque, d'approches nouvelles et d'archives inédites, ce numéro embrasse tout l'apport de François Truffaut, cinéaste majeur de la Nouvelle Vague et des deux décennies qui ont suivi. Dans sa jeunesse aux Cahiers, il fut aussi une plume critique aiguisée, dont plusieurs textes vivifiants figurent dans ce hors-série.
Outre un entretien-fleuve de 1980 donné par le cinéaste à la revue, des textes sur lui notamment signés par Godard, Rohmer ainsi que des témoignages de ses collaborateurs et acteurs, et de cinéastes marqués par ses films reviennent sur son travail.
Enfin, des Mistons à Vivement dimanche, chacun de ses films est abordé dans un article ancien ou actuel. -
Cahiers du cinéma n.817 : David Lynch
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinéma
- 5 Février 2025
- 9782377161201
Twin Peaks, Lost Highway, Mulholland Drive... ce numéro des Cahiers rend hommage à David Lynch en se souvenant d'une série d'instants qui, dans sa filmographie, se sont imprimés sur notre rétine, faisant de lui un cinéaste unique en même temps qu'ancré dans une vaste histoire qui considère le cinéma comme un art autant qu'une expérience. La rédaction de la revue ainsi que des cinéastes invités explorent des images devenues indélébiles, invitant les lecteurs et lectrices à reparcourir ses films par le prisme du plan, unité de mise en scène chez lui.
The Brutalist de Brady Corbet, film ambitieux quoique bricolé sur un architecte hongrois émigré en Amérique après-guerre, est aussi à l'honneur dans ce numéro via un long entretien avec son réalisateur. Mais c'est la photographe Nan Goldin qui ouvre nos pages ; elle s'inscrit dans notre rubrique mensuelle de 2025, « 130 ans du cinéma », et partage avec les Cahiers sa cinéphilie à la fois classique et underground qui a modelé son regard sur les marges de l'Amérique et infléchi sa pratique du diaporama.
C'est à Robert Bresson et João César Monteiro que se consacrent nos pages « Cinéma retrouvé » à l'occasion de la restauration de Quatre nuits d'un rêveur pour le premier et d'un coffret DVD qui constitue (enfin) une quasi-intégrale pour le second.
Thelma Schoonmaker, cheffe monteuse historique de Martin Scorsese, toujours en activité, nous livre les ficelles du métier dans un riche « Au travail ». Enfin, outre un cahier critique varié et les découvertes faites et à faire dans les festivals, nous revenons sur la récente polémique liée à la programmation puis à l'annulation d'une projection du Dernier Tango à Paris à la Cinémathèque française - manière d'ouvrir des pistes de réflexion sur un sujet aussi complexe que la contextualisation des oeuvres. -
Cahiers du cinéma n.812 : Francis Ford Coppola
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 4 Septembre 2024
- 9782377161133
Megalopolis donne l'impression que Francis Ford Coppola, en architecte frénétique et généreux de la « New Rome » de son film, ouvre au spectateur le carton à dessin débordant de ses plans, esquisses, et lui fait parcourir ses maquettes à taille réelle au pas de charge et en musique. Critique, entretien, texte transversal et portrait d'Adam Driver ouvrent les Cahiers de septembre, mois décidément foisonnant et furieux puisqu'y poussent aussi les Graines du figuier sauvage de l'Iranien en exil Mohammad Rasoulof et le poil à gratter de Ma vie ma gueule, film hélas posthume de Sophie Fillières, dont nous reparcourons à cette occasion la filmographie douce-amère.
Cosmopolite, notre cahier critique regroupe aussi M. Night Shyamalan, qui répond à nos questions, ainsi que des films tibétain (Le Léopard des neiges), vietnamien (Viet and Nam), français (À son image et Vivre, mourir, renaître), ou encore franco-sénégalo-béninois (Dahomey). Richard Linklater, venu il y a peu à la rédaction des Cahiers, réapparait hors-salles avec Hit Man.
La mort d'Alain Delon inspire à nos rédacteurs et rédactrices ainsi qu'au cinéaste Nicolas Pariser des approches variées qui explorent les crêtes de sa filmographie mais aussi ses béances et la persona unique de l'acteur. Nous revenons également sur les trajectoires du vidéaste Bill Viola et de l'actrice Gena Rowlands.
Du côté des ressorties restaurées, une vaste rétrospective nous donne l'occasion de reparcourir l'oeuvre du documentariste américain Frederick Wiseman dans la rubrique Cinéma retrouvé, de dénicher des raretés à Cinemato Ritrovato à Bologne, de revoir sur grand écran le très frappant Johnny Got His Gun de Dalton Trumbo et de découvrir le très émouvant Bona de Lino Brocka. Portraits et inédits complètent l'actualité dans la rubrique Journal, où la rédaction des Cahiers donne des nouvelles des festivals. -
Cahiers du cinéma n.813 : Octobre 2024
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 3 Octobre 2024
- 9782377161140
Nous n'avons que le choix du noir », écrivait Victor Hugo. En cette foisonnante rentrée cinéma dans les salles obscures, les Cahiers proposent à leurs lecteurs et lectrices de plonger dans la nuit, autour de trois films importants et très différents qui brillent par leurs séquences nocturnes : Anora de l'Américain Sean Baker, Palme d'or 2024, mais aussi Miséricorde du Français Alain Guiraudie et All We Imagine as Light de l'Indienne Payal Kapadia. Des entretiens avec les cinéastes mais aussi avec deux importants chefs opérateurs complètent les critiques de ces films taraudants. Plusieurs textes reviennent sur des séquences de nuit marquantes du cinéma contemporain et analysent ce qui est tout à la fois un motif esthétique (la beauté de l'ombre qui grignote la lumière, matière première du cinéma), un défi technique (l'image sous-exposée), et un temps quasiment magique (ce qui se passe quand tout le monde dort).
À la variété des critiques des sorties et ressorties d'octobre ainsi que d'oeuvres de plateformes, de découvertes faites dans de nombreux festivals, d'hommages et de livres de cinéma, s'ajoutent ce mois-ci un portfolio consacré aux 100 ans de la Columbia et une rubrique « Répliques » consacrée aux mises en scène de soi des deux candidats à la présidence américaine en lice, Donald Trump et Kamala Harris, dont le premier fait l'objet d'un biopic tragi-comique qui sort en salle à point nommé, The Apprentice. -
Cahiers du cinéma Hors-Série n.2 : David Lynch
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinéma
- 11 Novembre 2023
- 9782377161034
Depuis ses débuts, avec l'ovni Eraserhead, le cinéma de David Lynch fascine. Chacune de ses productions - film ou série - est l'occasion d'une floraison d'analyses et d'exégèses qui témoignent de l'aura d'un cinéaste puissant et parfois énigmatique. Lost Highway, Mullholland Drive, ou encore, Twin Peaks : The Return, troisième saison d'une série mythique, font assurément partie, encore aujourd'hui, des objets les plus scrutés et les plus commentés du cinéma contemporain.
Ce nouvel hors-série des Cahiers du Cinéma se propose de revenir sur une oeuvre qui brille de ses mille et une facettes. Les riches archives de la revue nous permettront de revisiter les films et les séries de David Lynch, à travers des textes publiés dans la revue, au fil du temps, mais également de reprendre des entretiens avec le cinéaste, réalisés à différentes périodes de sa carrière, ou avec certains de ses collaborateurs les plus importants (Angelo Badalamenti, Freddie Francis...).
Mais ce hors-série sera aussi l'occasion de proposer à nos lecteurs de nouveaux regards sur une oeuvre inépuisable qui comprend également des peintures, des photos ou des albums de musique. Regards critiques variés mais aussi regards de cinéastes (Bertrand Bonello, Claire Denis...), artistes ou musiciens, qui nous permettront de mieux cerner les constellations d'une personnalité hors-norme. Enfin, David Lynch nous offrira des documents inédits, tout droit sortis de ses très riches archives.
Thierry Jousse Coordinateur du numéro -
Cahiers du cinéma n.810 : Où va la comédie ?
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 6 Juin 2024
- 9782377161119
Il se passe quelque chose avec la comédie : côté Hollywood, le genre est devenu rare, sinon directement décevant ; côté cinéma français, les cartons du box-office semblent monopoliser l'idée de la « comédie made in FR ». Indépendamment des hypothèses sociales, politiques et économiques pour expliquer ce panorama, les Cahiers tentent de chercher des raisons pour l'espoir. Pour cela, nous donnons la parole à quatre cinéastes dont l'humour sophistiqué n'est pas incompatible avec un goût de la comédie populaire : Emmanuel Mouret, Sophie Letourneur, Nicolas Pariser et Pascale Bodet. Et puisqu'à nos yeux c'est du côté des actrices qu'un renouveau est en train d'avoir lieu, nous proposons des analyses du jeu de neuf parmi les plus intéressantes à nos yeux. En ce qui concerne les États-Unis, ce numéro analyse comment du côté de la télévision et du stand-up un nouveau genre, profondément radical, a germiné ces dernières années, avec des noms comme Larry David, Nathan Fielder ou John Wilson comme maîtres trop méconnus.
Ce numéro explore aussi la riche actualité des salles du mois, avec les nouveaux films d'Hong Sang-soo, Leos Carax, Jeff Nichols, Bruno Podalydès ou Yórgos Lanthimos.
Comme Carax, ce dernier était l'un des protagonistes du dernier Festival de Cannes, dont nous apportons ici un retour critique, en particulier d'une compétition officielle faisant preuve d'un goût inquiétant pour la surenchère formelle et thématique, veillant à masquer un vide esthétique et politique (avec Sorrentino et Lellouche en tête de Gondole). Entre autres actualités parallèles, nous revenons finalement sur la carrière d'une des actrices les plus singulières du cinéma européen des 50 dernières années, Ingrid Caven. -
Cahiers du cinéma n.741 : cinéma américain
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 27 Janvier 2018
- 9782377160082
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Cahiers du cinéma n.802 : Killers of the flower moon : L'autre Amérique de Scorsese
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 29 Septembre 2023
- 9782377160938
Pourrait-on imaginer mois d'octobre plus divers que celui qui voit simultanément sortir Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese, Un prince de Pierre Creton ou encore Notre corps de Claire Simon ?
Avec le premier, l'auteur de Gangs of New York semble atteindre un point d'aboutissement à la fois dans son archéologie de l'Amérique et dans son épopée de la masculinité ravagée entamée dès le début des années 1970. Les Cahiers reviennent sur ces deux aspects et s'entretiennent avec l'écrivain David Grann, auteur du livre à l'origine du film et qui a déjà travaillé avec James Gray pour The Lost City of Z. La singularité d'Un prince et son « naturalisme » herborisant trouve des échos dans l'aventure et les mutations du Règne animal. Leurs réalisateurs, Pierre Creton et Thomas Cailley, sont interviewés dans nos pages, tout comme Tim Burton, qui « s'expose » à Turin, mais aussi John McTiernan : l'auteur de Piège de cristal revient sans mâcher ses mots sur son rapport à Hollywood, envoyant balader ses contraintes et son mercantilisme.
Dans un numéro qui saisit le geste créatif des cinéastes dans des lieux inattendus (l'atelier d'un sculpteur pour Wenders, une exposition pour Raul Ruiz, une plateforme pour Wes Anderson, un livre pour Luis Bunuel...), nous vous proposons d'aborder le limpide Ozu à travers deux des films rares qui sortent en salle ce mois-ci, Une femme dans le vent et Les Soeurs Munakata, des documents inédits exposés au Japon, et une réflexion sur la réception intime que l'on peut avoir de son oeuvre, et de ce qui fonde, dans la vision changeante d'un critique, un « classique ». -
Cahiers du cinéma n.805 : Les films les plus attendus de 2024
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 9 Janvier 2024
- 9782377161065
Pour bien commencer l'année, les Cahiers invitent leurs lecteurs à se projeter en 2024 avec les films que la rédaction attend avec le plus de curiosité. Entretiens, photos et documents inédits fournis par les cinéastes présentent ces sorties à venir. Et cela dans le même numéro où l'on dévoile le top de nos lecteurs et lectrices, une façon de faire bilan avant de se projeter dans l'avenir, mais aussi de montrer notre reconnaissance à votre fidélité.
La revue pense aussi le présent brûlant, par le prisme du cinéma : la guerre en cours à Gaza, mise en perspective à travers quelques titres essentiels avec lesquels le cinéma a pu apporter un temps de réflexion, un article sur les films qui s'y tournent en ce moment, et deux entretiens sans fard avec le diplomate et penseur Elias Sanbar et le cinéaste Avi Mograbi.
Le Cahier critique du mois, ouvert sur l'excellent film de Todd Haynes May December, qui donne à ce numéro son image de couverture (l'actrice Natalie Portman), s'intéresse aussi au polémique La Zone d'intérêt de Jonathan Glazer (enrichi d'un entretien avec son sound designer), ainsi qu'aux nouveaux films de Sofia Coppola et Wang Bing. Il fait également la part belle aux découvertes et « sorties de route » que sont La Grâce, L'Homme d'argile ou Mambar Pierrette. Finalement, on vous propose un point de vue discordant sur le par ailleurs célébré Pauvres créatures de Yórgos Lanthimos.
2024 commence en voyage aussi en ce qui concerne les reprises ou l'édition en DVD de films plus anciens : le maître du film de sabre japonais Kenji Misumi, l'infatigable documentariste libanaise Jocelyne Saab, ou le Burkinabé Idrissa Ouedraogo - une attention au cinéma erronément dit « de patrimoine », mais vivant et vibrant, que vient compléter la rubrique « Cinéma retrouvé » consacrée à Roberto Rossellini et à ses rapports complexes avec la notion de réalisme.
Enfin, les Cahiers poursuivent leur conversation de fond avec ceux qui font le cinéma : le chef opérateur américain Ed Lachman, collaborateur historique de Todd Haynes, entre autres, revient sur son travail et ses influences, notamment photographiques, dans l'entretien illustré de la rubrique « Au travail ». -
Cahiers du cinéma n.807 : Où va l'Argentine ? cartographie d'un cinéma foisonnat et menacé
Collectif
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 6 Mars 2024
- 9782377161089
Où va l'Argentine ? Alors que son avenir politique est incertain, la production cinéma prolifique de ce pays étonne, et passe par l'invention de méthodes de travail alternatives. Deux films très différents mais aussi voyageurs et fantasques l'un que l'autre, Eureka de Lisandro Alonso et Los delicuentes de Rodrigo Moreno sortent sur les écrans ce mois-ci : les Cahiers rencontrent leurs réalisateurs ainsi que le bouillonnant collectif El Pampero Cine, s'entretiennent avec plusieurs cinéastes et figures clefs de la culture cinéphile argentine, et proposent un petit dictionnaire de 21 cinéastes qui comptent pour ce siècle. Dans un numéro décidément cosmopolite, le cahier critique met à l'honneur le mélodrame posthume de Terence Davies, Les Carnets de Siegfried, ainsi que l'épopée du cinéma indépendant du nouveau-venu Sean Price Williams The Sweet East ou encore le Guinéen Nome, aux côtés d'une veine documentaire française en verve avec Karim Dridi, Nicolas Philibert et le premier film de l'écrivaine Christine Angot.
L'exploration des liens entre féminisme et cinéma esquissés dans le numéro de février se prolonge avec une conversation entre Marcos Uzal et Alice Leroy autour de l'incidence de #MeToo et de la mise en cause de la « politique des auteurs » qu'ont forgée les critiques des Cahiers des années 1950, mais aussi avec les portraits de deux Allemandes inventives mises à l'honneur en festival, Claudia von Alemann et Monika Treut, ainsi que la revisitation, DVD et livre à l'appui, du dispositif scopique du Voyeur de Michael Powell.
En contrepoint de toute l'actualité cinématographique, ressorties et séries comprises, ce numéro offre une plongée revigorante dans l'oeuvre encore trop peu connue de l'auteur d'Au bord de la mer bleue (1936), Boris Barnet, qui, écrit Marcos Uzal, « a traversé quarante-cinq ans de l'histoire soviétique sans se départir d'une allégresse vitale qui l'écarta des mouvements sérieux et majeurs sur lesquels s'écrivent les histoires officielles ». -
Cahiers du cinéma n.720 : hommage à Jacques Rivette
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 24 Mars 2016
- 9782866429812
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Cahiers du cinéma n.734 : retour de Cannes 2017 ; entretien avec Robert Pattinson
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 12 Juin 2017
- 9782866429980
Pattinson l'apprenti entretien avec Robert Pattinson - par Cyril Béghin & Stéphane Delorme Retour de Cannes Festival de New York - Des migrants à toutes fins utiles - Néo-réacs - Claire's camera?: Cannes l'année d'avant - Eastern - Jeune Italie - Confirmation par le picaresque - Où est passé le numérique?? - Il suffit d'une idée - Twin Peaks?: le temps qu'il faut pour revenir - Anesthésie générale - S'effondrer ou être enfoncé - Cinéma positif - Moments musicaux - Tant d'enfants, si peu de sortilèges?! - Visages, visages - Vive les excentriques?! - Fraîcheur ACID Et le film continue... entretien avec Ahmad Kiarostami - par Nicholas Elliott Okja de Bong Joon-ho - par Joachim Lepastier Visages Villages d'Agnès Varda & JR - par Nicholas Elliott
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Cahiers du cinéma n.744 : Cannes 68
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 1 Mai 2018
- 9782377160112
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Cahiers du cinéma n.764 : écoles et facs ? nouveaux lieux, nouveaux enjeux
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 7 Mars 2020
- 9782377160365
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Cahiers du cinéma n.775 : 70 ans
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 2 Avril 2021
- 9782377160594
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Cahiers du cinéma n.784 : filmer la France
Cahiers Du Cinema
- Revue Cahiers Du Cinema
- Cahiers Du Cinema
- 3 Février 2022
- 9782377160747