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raymond boudon
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Si les meilleurs diplômes donnent en théorie accès à de meilleurs emplois, en toute logique, avoir des diplômes supérieurs à ceux de ses parents devrait signifier avoir un statut social préférable. Or les célèbres études menées par Raymond Boudon montrent que c'est en rien une garantie : la réduction de l'inégalité des chances scolaires ne débouche pas sur la réduction attendue de l'inégalité des chances sociales.
Cet ouvrage, devenu un classique de la sociologie, suscita un vif débat au moment de sa publication, car il exprimait un certain scepticisme envers les capacités de l'institution scolaire de réduire les inégalités. De fait, plus de trente ans après, ces analyses se sont révélées justes... mais malgré l'avertissement salutaire de Boudon, l'illusion persistante d'une démocratisation par l'école continue de régir les politiques publiques. -
Dictionnaire critique de la sociologie (4e édition)
Raymond Boudon
- Puf
- Quadrige ; Dicos Poche
- 17 Juin 2011
- 9782130588474
" Ce dictionnaire doit aider la sociologie à reprendre la place qui lui revient parmi les disciplines classiques. Il vise aussi à permettre au lecteur cultivé de mesurer l'importance de la tradition sociologique. " Tel était le souhait des auteurs lors de la première édition parue en 1982, souhait largement exaucé et conforté par les nombreuses rééditions. Ce dictionnaire s'efforce de repérer les questions fondamentales, de débusquer les idées reçues, de mettre en évidence les liens entre certains concepts, de présenter une analyse critique de la tradition sociologique.
Chaque article longuement développé est augmenté de corrélats et d'une bibliographie. Une longue préface inédite de Raymond Boudon retrace l'évolution de la sociologie et la crise actuelle entre sociologie classique et sociologie moderne, cette dernière consistant le plus souvent " en des commentaires sur les faits de société du moment ou en des études de caractère descriptif ". L'auteur prêche pour un retour à la fonction explicative de la sociologie, " à des travaux proposant des analyses inédites, éclairantes et solides des phénomènes sociaux ".
Ouvrage publié sous la direction de Raymond Boudon, membre de l'Institut, professeur émérite à l'Université de Paris Sorbonne, et de François Bourricaud, qui était professeur à l'Université de Paris Sorbonne.
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Croire et savoir ; penser le politique, le moral et le religieux
Raymond Boudon
- Puf
- Quadrige ; Grands Textes
- 1 Septembre 2012
- 9782130592945
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Le relativisme a représenté depuis l'Antiquité une philosophie parmi d'autres. Or, avec la " mort de Dieu ", il est devenu la philosophie dominante du monde occidental, ce qui invite à en mieux définir les contours. Il existe en effet différentes variantes du relativisme. Ainsi, pour le relativisme normatif, les normes et les valeurs sont des conventions culturelles et toutes les cultures se valent. Pour le relativisme cognitif, il n'y a pas de connaissance certaine, même en science. En retraçant l'histoire de ces relativismes, Raymond Boudon nous invite à distinguer le " bon " relativisme qui favorise le respect de l'Autre, du " mauvais ", qui engendre une perte des repères intellectuels, alimente le nihilisme et nuit à la démocratie.
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On ne peut comprendre pourquoi certaines institutions s'imposent de façon irréversible si l'on n'y voit pas l'effet de mécanismes de rationalisation.
On ne peut comprendre le phénomène de la religiosité si l'on méconnaît la rationalité qu'y décèle Durkheim. On ne peut atténuer l'inégalité des chances scolaires si l'on ne voit pas qu'elle résulte de choix individuels compréhensibles. On ne peut extraire les enseignements contenus dans les sondages sans chercher à déterminer les raisons qui ont inspiré les réponses des individus... La notion de « rationalité » est donc centrale pour appréhender les comportements humains.
Ce constat invite à cerner, depuis l'idée grecque de raison jusqu'à l'homo oeconomicus en passant par la théorie des jeux, ce concept fondamental pour toutes les sciences sociales, de la sociologie à l'économie en passant par la science politique. Mais comment concilier les versions divergentes qu'elles en proposent ?
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Ce dictionnaire, largement refondu et augmenté, constitue un moyen d'accès rapide et efficace au savoir sociologique. Près de 400 articles présentent les concepts, les orientations, les domaines de recherche les plus variés et les plus récents de la sociologie. Ainsi, au fil des pages, c'est un panorama des problèmes sociaux contemporains qui est brossé, de l'exclusion à la mondialisation, des incivilités à la violence collective. L'ouvrage comprend également une soixantaine de monographies sur les principaux auteurs français et étrangers de la discipline. Il est complété par une abondante bibliographie.
Une synthèse claire et un panorama complet des grandes notions de la sociologie.
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" Ma thèse est en d'autres termes qu'un paradigme ne peut être jugé sur un plan ontologique, mais seulement sur un plan méthodologique.
La psychologie rationnelle est à l'évidence insuffisante pour expliquer la névrose, mais elle est largement suffisante pour expliquer bien des comportements quotidiens : ceux qui intéressent le plus fréquemment le sociologue. Les contraintes structurelles peuvent être d'une grande complexité. Mais dans bien des cas, on peut se contenter de descriptions simples (les classes sociales chez Marx, les Noirs et les Blancs chez Merton).
Il est irréaliste de supporter que les individus ont toujours une représentation exacte des options qui leur sont offertes, des avantages et inconvénients attachés à chacune d'elles. Mais on peut souvent faire l'hypothèse qu'en moyenne lorsqu'une option O1, est préférable à une option O2, ce fait sera perçu. Bref, un paradigme ne peut être dit vrai ou faux, réaliste ou irréaliste. Mais il peut être plus ou moins adapté au phénomène qu'on désire analyser.
" Raymond Boudon.
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Philosophie, économie, histoire, sociologie, littérature, histoire de l'art, psychanalyse ... autant de sciences humaines qui délimitent les champs du savoir. Autant de disciplines fondamentales présentes de bout en bout dans la collection "Quadrige", à travers les plus grands auteurs, les plus grands titres, les plus grands textes. Quadrige : des ouvrages d'hier et d'aujourd'hui qui sont aussi des textes pour demain.
La collection se divise en quatre sections : -- Références (dictionnaires, histoire générale ...) jaune pantone 116 -- Textes (Bachelard, Bergson, Durkheim ...) rouge 2718 -- Essais (Laplanche, Levinas ...) bleu 2728 -- Manuels (Ellul, Denis ...) vert green c .
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"Les textes de ce livre, suggèrent que ces auteurs partagent aussi des intuitions théoriques et méthodologiques communes. Ils ont tous vu que la question de savoir comment il est possible d'expliquer de façon scientifiquement acceptable les croyances collectives était une question à la fois redoutable et cruciale pour la sociologie. Ils ont tous vu que la question de la bonne manière d'analyser la relation entre comportements individuels et phénomènes collectifs étai aussi difficile qu'essentielle. Ils ont tous comprisque la réponse que l'on donne à la question des principes de comportement que le sociologue est en droit de prêter à l'acteur social était l'une des clefs de l'efficacité des sciences sociales ..." Texte de couverture.
Table des matières Avertissement I. Le pouvoir social : variations sur un thème de Tocqueville II. L'Éthique protestante de Max Weber : le bilan de la discussion III. Durkheim et Weber : convergences de méthode IV. Should one still read Durkheim's Rules after one hundred years ?
V. Les problèmes de la philosophie de l'histoire de Simmel : l'explication dans les sciences sociales VI. Le phénomène idéologique : en marge d'une lecture de Pareto VII. L' « analyse empirique de l'action » de Lazarsfeld et la tradition de la sociologie compréhensive Appendice : Discours à l'occasion de l'inauguration de la rue Durkheim à Paris, 7 décembre 1996.
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quels sont les effets de l'augmentation de la demande d'enseignement sur la mobilité sociale entre générations, sur les inégalités économiques ? y a-t-il des différences entre les nations industrielles du point de vue de l'égalité des chances ? telles sont quelques-unes des questions auxquelles répond ici raymond boudon.
son ouvrage est un classique de la sociologie qui suscita un vif débat au moment de sa publication, car il
exprimait un certain scepticisme envers les capacités de l'institution scolaire de réduire les inégalités. de fait, vingt ans après, ces analyses se sont révélées justes, mais malgré l'avertissement salutaire de boudon, l'illusion persistante d'une démocratisation par l'école continue de régir les politiques publiques.
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Durkheim fut-il durkheimien ?
Raymond Boudon
- Armand Colin
- Recherches
- 14 Septembre 2011
- 9782200274344
« Durkheim fut-il durkheimien ? » La question, que pose Raymond Boudon en conclusion du colloque organisé par l'Académie des Sciences morales et politiques à l'occasion du 150e anniversaire de la naissance de Durkheim, a de quoi surprendre. Il s'en explique ainsi : « Je me suis souvent demandé quels principes régissaient l'interprétation des textes. À première vue, le cas des textes scientifiques paraît plus simple que celui des textes littéraires. Mais, à tout prendre, je n'en suis pas si sûr et je me sens parfois déconcerté par l'assurance avec laquelle les commentateurs donnent à croire que leurs interprétations présentent la pensée de tel auteur telle qu'elle est supposant par là qu'il est aussi facile de décrire une pensée qu'une chaise ou une pipe. » Si Durkheim et Max Weber, les deux fondateurs de la sociologie, n'ont jamais connu une audience comparable à celle de Marx ou Freud, c'est sans doute que leurs pensées étaient moins aisément susceptibles d'être caricaturées, même si elles le furent. Ainsi on peut s'interroger pour savoir si Durkheim se serait reconnu dans les assertions de certains de ses lecteurs qui assignent à sa pensée un strict « causalisme ».
Les deux pères de la sociologie moderne offrent des outils bien plus subtils pour l'analyse des sociétés et des relations entre l'individu et la société. Mais comme c'est le cas de beaucoup de pionniers, ils ont exprimé leurs intuitions novatrices d'une façon qui passe parfois pour incertaine aux yeux du lecteur moderne.
C'est donc à une (re)lecture attentive de l'oeuvre de Durkheim - ou mieux, des oeuvres de Durkheim - que Raymond Boudon a invité 12 universitaires français et étrangers afin de tenter de retrouver la vigueur, la justesse et le caractère novateur de sa pensée.
Ont participé à ce volume : Jean Baechler (Académie des Sciences morales et politiques), Pierre Birnbaum (Université Paris I Panthéon-Sorbonne), Raymond Boudon (Académie des Sciences morales et politiques), Massimo Borlandi (Université de Turin), François Chazel (Université Paris-Sorbonne, Paris IV), Mohammed Cherkaoui (CNRS, Université Paris-Sorbonne, Paris IV), Hans Joas (Université de Freiburg-im-Brisgau, Université de Chicago), Steven Lukes (New York University), Philippe Raynaud (Paris II Panthéon-Assas, EHESS), Bertrand Saint-Sernin (Académie des Sciences morales et politiques), François Terré (Académie des Sciences morales et politiques). -
Philosophie, économie, histoire, sociologie, littérature, histoire de l'art, psychanalyse ... autant de sciences humaines qui délimitent les champs du savoir. Autant de disciplines fondamentales présentes de bout en bout dans la collection "Quadrige", à travers les plus grands auteurs, les plus grands titres, les plus grands textes. Quadrige : des ouvrages d'hier et d'aujourd'hui qui sont aussi des textes pour demain.
La collection se divise en quatre sections : -- Références (dictionnaires, histoire générale ...) jaune pantone 116 -- Textes (Bachelard, Bergson, Durkheim ...) rouge 2718 -- Essais (Laplanche, Levinas ...) bleu 2728 -- Manuels (Ellul, Denis ...) vert green c .
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L'art de se persuader des idées fausses, fragiles ou douteuses
Raymond Boudon
- Fayard
- 22 Août 1990
- 9782213024875
On peut persuader (et se persuader) d'idées douteuses ou fausses par de mauvaises raisons ou par des théories non valides, ou encore parce que l' " esprit est la dupe du coeur ".Un troisième cas de figure apparaît comme négligé, malgré son importance, par ceux _ moralistes, sociologues, philosophes ou psychologues _ qui ont traité de l'art de (se) persuader. En effet, les croyances fausses peuvent aussi provenir des arguments les plus justes. Il suffit pour cela que se mêlent à une argumentation fondée des a priori auxquels on prend d'autant moins garde qu'ils peuvent plus facilement être considérés comme allant de soi. Un Simmel a bien vu que toute argumentation _ y compris la plus scientifique _ comporte des propositions implicites qui peuvent en altérer la nature et les conclusions. De sorte que le sujet connaissant peut induire son public et s'induire lui-même en erreur à partir de l'argumentation la plus irréprochable.Les dérapages de l'inférence naturelle décrits par la psychologie cognitive suggèrent que l'homme moderne ne raisonne pas de façon moins irrationnelle et " magique " que le " primitif " cher à l'anthropologie du début de ce siècle. Or ces ratés de la pensée ordinaire peuvent être interprétés comme l'effet d'une contamination de l'argumentation par des énoncés implicites et inconscients.Mais la pensée scientifique n'a aucune raison d'être immunisée contre ces interférences. De fait, on peut montrer que bien des idées douteuses proviennent de théories irréprochables et que, réciproquement, les idées reçues les plus fragiles s'appuient souvent sur une argumentation valide.Les exemples analysés ici sont empruntés à diverses sciences humaines, mais la philosophie et la sociologie des sciences modernes y occupent une place de choix. D'abord parce que ces disciplines sont aujourd'hui actives et influentes, qu'elles abritent des théories solides et qu'elles donnent une forte impression de convergence et de cumulativité. Mais les conclusions relativistes qu'on en tire _ et qui ont fini par prendre la force d'un poncif _ ne sont que le résultat de ces effets de contamination de l'explicite par l'implicite.Raymond Boudon, membre de l'Institut, est professeur de sociologie à l'université de Paris-Sorbonne. On peut citer, parmi ses ouvrages essentiels, L'Inégalité des chances (1973), La logique du social (1979), La Place du désordre (1984), L'Idéologie (1986) ainsi que le Dictionnaire critique de la sociologie (1982, en collaboration avec François Bourricaud).
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Raison, bonnes raisons
Raymond Boudon
- Puf
- Philosopher En Sciences Sociales
- 18 Février 2003
- 9782130526643
La collection est dirigée par Bertrand Ogilvie, agrégé de philosophie, professeur à l'Université de Paris X - Nanterre, Francis Wolff, professeur à l'Université de Paris X - Nanterre et Frédéric Worms, maître de conférences à l'Université de Lille. Elle se divise en sections : Les grandes questions de la philosophie dont les ouvrages sont centrés sur des thèmes ou des notions de philosophie essentiels et Les grands livres de la philosophie, publiant des " Introductions " commentées accompagnant la lecture des grands textes.
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" nous passons une bonne partie de notre temps à émettre des jugements de valeur et dans la plupart des cas, nous les émettons parce que nous y croyons.
mais pourquoi y croyons-nous ? le question a été posée par toutes les sciences humaines, par la psychologie compte par la sociologie et avant elles par la philosophie. les réponses qui y ont été données sont d'une grande diversité. comment les classer ? certaines sont-elles plus acceptables que d'autres ? peut-on les unifier oe" ces questions sont d'autant plus importantes qu'aucune des théories ne rend compte de façon satisfaisante des données recueillies à travers les enquêtes.
mais comment choisir entre l'une ou l'autre de ces théories ? peut-on se contenter de déclarer qu'elles sont toutes valables, chacune applicable selon les circonstances ? les textes réunis dans ce volume examinent cet ensemble de questions, tentent d'écarter certains malentendus et surtout de préciser la théorie de la valorisation propre à l'auteur, en reprenant certains exemples précédemment développés dans le juste et le vrac, études sur l'objectivité des valeurs et de la connaissance (fayard, 1995).
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Le juste et le vrai ; études sur l'objetivité des valeurs et de la connaissance
Raymond Boudon
- Fayard
- 8 Mars 1995
- 9782213594293
Cet ouvrage est d'abord une critique du relativisme régnant s'agissant des valeurs morales et aussi de la connaissance. La morale serait affaire de mode ou de convention. La connaissance scientifique ne nous proposerait pas une représentation du monde plus fiable que les mythes archaïques. Ces thèmes relativistes jouissent aux Etats-Unis comme en Europe du statut d'idées établies.Pourtant, ces théories relativistes contredisent les observations les plus irrécusables. Aujourd'hui comme hier, les individus passent le plus clair de leur temps à porter avec conviction des appréciations morales. Toute décision gouvernementale est soupesée, jugée, approuvée ou condamnée avec parfois un bel ensemble.On observe donc une discordance notoire entre le discours de nombre de philosophes et de sociologues sur la morale, et l'existence de sentiments moraux forts et souvent consensuels.Pourquoi ce relativisme? Il résulte de mouvements de pensée (marxisme, nietzschéisme, freudisme, durkheimisme) qui proposent de voir dans les valeurs des illusions. Leur influence, associée à celle de l'empirisme et du positivisme qui introduisent un gouffre béant entre l'être et le devoir-être, confirme l'idée que les valeurs ne sauraient être fondées de façon objective. La certitude morale ne serait qu'une illusion produite par des forces sociales ou psychiques agissant à l'insu des individus.Ce relativisme normatif représente-t-il un horizon indépassable? Certainement pas. D'autres courants des scienes humaines, tels le contractualisme, l'utilitarisme et la théorie de l'action le rejettent.S'appuyant sur une critique constructive de ces travaux, la théorie cognitiviste développée ici tente de les généraliser, de les synthétiser, de les dépasser et de proposer une explication de l'origine des sentiments moraux et des jugements de valeur. De son côté, le relativisme cognitif est, lui aussi, résistible. Les voies de la connaissance ordinaire comme celles de la connaissance scientifique sont complexes. Mais cela n'impose pas de renoncer aux notions de vérité et d'objectivité. Comme le juste, le vrai existe.Raymond Boudon, de l'Académie des sciences morales et politiques, est professeur à la Sorbonne. Il est l'auteur, entre autres ouvrages, de L'Inégalité des chances, d'Effets pervers et ordre social, de La Place du désordre, de L'Idéologie ou l'origine des idées reçues, et de L'Art de se persuader.
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L'idéologie ou l'origine des idées reçues
Raymond Boudon
- Points
- Points Essais
- 8 Mars 2011
- 9782757823613
Dans cet essai, Raymond Boudon oppose à la conception de l'idéologie comme irrationalisme (celle de Marx, de Pareto, mais aussi de Popper ou d'Aron) une théorie rationaliste qui prend en compte trois catégories d'effets : de position et de disposition, de communication, ainsi que les effets épistémologiques. À travers des études de cas, il s'attache à retracer l'origine des idées reçues pour tenter de comprendre comment et pourquoi l'on adhère à des idées fausses ou douteuses. Il montre que certaines idéologies peuvent s'appuyer sur des théories authentiquement scientifiques mais dont on a mal perçu les limites de validité. Marx et Popper sont renvoyés dos à dos pour avoir présenté comme généraux des cas particuliers et Foucault est descendu de son piédestal pour faute de rigueur logique.
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A quoi sert la notion de "structure"? - essai sur la signification de la notion de structure dans le
Raymond Boudon
- Gallimard
- Les Essais
- 22 Mars 1968
- 9782070268450
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Grand format 60.98 €
Indisponible
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Les méthodes en sociologie (qsj 1334)
Raymond Boudon
- Que Sais-Je ?
- Que Sais-je ?
- 1 Août 2000
- 9782130417828