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Inconsolable, un quart de siècle après la mort de son père, l'auteur décide de le ressusciter. Il déterre son passé pour lui inventer un avenir et le remettre au monde. Dans sa quête du père, il n'hésite pas à endosser son identité, à porter son visage comme on porte un masque qui dévoile plus qu'il ne cache. On retrouve là le goût de l'auteur pour les retournements et l'invention, lui qui n'hésite pas à prédire le passé et à se souvenir du futur. Porté par une écriture subtile, à la fois douce et mordante, Même pas mort est un récit envoutant, émouvant, bouleversant ; un pied de nez à la mort et un hymne à la vie. Ecrivain et artiste marocain, Youssouf Amine Elalamy est l'auteur de plusieurs romans : Un Marocain à New York, Les clandestins (Prix Grand Atlas et Prix Le Plaisir de Lire), Paris mon bled, Miniatures, Oussama mon amour, Amour nomade, Drôle de printemps. Auteur francophone, il publie en 2005 Tqarqib Ennab, un livre en Darija (arabe marocain) et obtient en 1999, le Prix du meilleur récit de voyage décerné par le British Council International pour ses écrits en anglais. Ses livres sont traduits dans plusieurs langues.
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Dans un style empreint de réalisme magique, de dérision et de fantaisie, « Big le Grand » raconte l'itinéraire imaginaire d'un leader du monde arabe qui, en voulant un jour réaliser la vision qu'il a eu dans son bain, ne se doute pas qu'il va exposer son peuple à toutes sortes de malédictions et aux situations les plus insolites. Parsemé de scènes drôles et burlesques, ce roman satirique mène le lecteur de surprise en surprise avec, en toile de fond, les thèmes éternels de la folie des grandeurs et de l'exploitation de l'homme par l'homme.
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D'une aventure à l'autre, le narrateur de ce livre croque la Grosse Pomme à pleine dents, s'invite dans de drôles de soirées, se retrouve emprisonné dans la Statue de la Liberté, annonce l'arrivée d'une nouvelle espèce humaine : l'Homo Hamburgerus. Dans un mélange d'humour, de dérision et de fantaisie, Youssouf Amine Elalamy nous invite à découvrir un New York pas comme les autres.
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Un apprenti kamikaze qui s'exerce à mourir avant de rejoindre les anges là-haut, une jeune prostituée follement amoureuse d'un certain Oussama, le rescapé d'un attentat qui se croit au spectacle, un boucher qui ne comprend pas pourquoi on l'accuse du meurtre d'un veau. Dans ce roman à plusieurs voix, Youssouf Amine Elalamy nous raconte, dans un mélange de réalisme, de lyrisme et de fantaisie, l'absurde tragédie de notre temps.
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Mots et dessins Nous le connaissions écrivain, (primé plusieurs fois), là Youssouf Amine Elalamy, partage avec nous « J'ai fait un dream ». Ensemble de « bons » mots, de réflexions, d'apartés illustrés par un coup de crayon, ironique, ludique, qui donne vie à tous ces personnages, lui-même mais toujours un autre nés pendant le confinement. Ce livre-objet, se déguste comme un délicieux mille feuilles, qui peut, si l'on n'y prend pas garde, se transformer en tarte à la crème. A lire, offrir, petit plaisir à partager en ces temps incertains.
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Voici une histoire entièrement écrite avec de l'eau. Il faut la lire comme on boit du thé, à petites gorgées, pour en apprécier tout l'arôme et éviter de se brûler la langue. Elle commence avec des hommes qui passent leurs vie à partir et se termine avec une femme qui assiste à sa propre naissance. Une jeune femme d'une grande beauté, avec une longue chevelure en soie et un nom parfumé. Dans cette histoire, il y aussi un vieillard qui nemeurt jamais, pasmême vers la fin, quand lesmots viennent àmanquer. La première fois, on le rencontre assis sous un arbre qui change constamment de couleur et ne donne jamais lesmêmes fruits.
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« C'est l'histoire de douze hommes et une femme. La femme est enceinte : douze plus un quatorze. Quatorze personnages qui traversent le grand bleu dans le noir. Quinze, avec le petit bateau en bois. Seize, avec la lune qui les observe de son oeil mort. Dix-sept, avec la mer dans tous ses états. Dix-huit, avec le panier à fruits. Dix-neuf, même, en comptant le ver qui embarque à bord d'une pomme. » La question de la migration est plus que jamais posée à l'heure actuelle. Entre migrants, émigrés, immigrés, les vocables ne manquent pas et les tragédies humaines non plus. C'est donc naturellement que ce roman de Youssouf Amine Elalamy, LES CLANDESTINS, est réédité. Lauréat du Prix Grand Atlas en 2001 et du prix méditerranéen Le Plaisir de Lire en 2010, il a déjà été traduit en sept langues (anglais, allemand, arabe, espagnol, grec, italien et néerlandais). Avec ce roman polyphonique, les clandestins, douze hommes et une femme, retracent leurs histoires à la fin tragique.
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Un jeune comédien, ayant pour seule famille une poule, fuit la guerre en s'exilant vers l'Europe.
Pendant son périple, il redonne vie à l'histoire des réfugiés qu'il rencontre, donnant corps à une foule de personnages aux parcours les plus divers. Cette narration explosée en une multitude de points de vue, véritable fenêtre ouverte sur le ressenti et le vécu des exilés, offre une vision tout en finesse de l'être humain. C'est l'histoire universelle d'un peuple en exil.
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D'une séquence à l'autre, l'auteur nous plonge dans le « printemps arabe » avec ses espoirs, ses enjeux, ses dérives et ses folies. Dans un mélange de réalisme, d'humour, de dérision et de fantaisie, Youssouf Amine Elalamy raconte, dans son style bien à lui, les révolutions qui ont bouleversé lemonde arabe.
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Dans un style plein d'humour et de dérision, Drôles de rêvolutions met en scène les soulèvements populaires qui ont bouleversé le monde arabe à travers des personnages loufoques, un brin schizos, empêtrés dans leurs angoisses, leurs fantasmes et leurs frustrations. De la manifestante enragée à l'impitoyable dictateur, en passant par le flic repenti, le vendeur de chawarma ou le jeune accro aux jeux vidéo reconverti au jihad, ce livre raconte, de manière originale, ce que l'on a communément qualifié de « Printemps arabe ». Au fil de ces pages au rythme serré, où les gags s'enchaînent en cascade et les personnages défilent d'une case à l'autre tel un jeu de domino, se dessine une véritable frise de la vie quotidienne des femmes et des hommes qui vivent dans des sociétés dominées par la violence et la frustration, dans un climat d'asphyxie politique et morale, et qui rêvent de changement. Car, qu'elle soit politique, spirituelle, personnelle, intime ou sexuelle, à chacun sa rêvolution.