Un jeune comédien, ayant pour seule famille une poule, fuit la guerre en s'exilant vers l'Europe.
Pendant son périple, il redonne vie à l'histoire des réfugiés qu'il rencontre, donnant corps à une foule de personnages aux parcours les plus divers. Cette narration explosée en une multitude de points de vue, véritable fenêtre ouverte sur le ressenti et le vécu des exilés, offre une vision tout en finesse de l'être humain. C'est l'histoire universelle d'un peuple en exil.
Un apprenti kamikaze qui s'exerce à mourir avant de rejoindre les anges là-haut, une jeune prostituée follement amoureuse d'un certain Oussama, le rescapé d'un attentat qui se croit au spectacle, un boucher qui ne comprend pas pourquoi on l'accuse du meurtre d'un veau. Dans ce roman à plusieurs voix, Youssouf Amine Elalamy nous raconte, dans un mélange de réalisme, de lyrisme et de fantaisie, l'absurde tragédie de notre temps.
Un apprenti kamikaze qui s'exerce à mourir avant de rejoindre les anges là-haut, une jeune prosti-tuée follement amoureuse d'un certain Oussama, le rescapé d'un attentat qui se croit au spectacle, un boucher qui ne comprend pas pourquoi on l'accuse du meurtre d'un veau. Dans ce roman à plusieurs voix, Youssouf Amine Elalamy nous raconte, dans un mélange de réalisme, de lyrisme et de fantaisie, l'absurde tragédie de notre temps.
« C'est l'histoire de douze hommes et une femme. La femme est enceinte : douze plus un quatorze. Quatorze personnages qui traversent le grand bleu dans le noir. Quinze, avec le petit bateau en bois. Seize, avec la lune qui les observe de son oeil mort. Dix-sept, avec la mer dans tous ses états. Dix-huit, avec le panier à fruits. Dix-neuf, même, en comptant le ver qui embarque à bord d'une pomme. » La question de la migration est plus que jamais posée à l'heure actuelle. Entre migrants, émigrés, immigrés, les vocables ne manquent pas et les tragédies humaines non plus. C'est donc naturellement que ce roman de Youssouf Amine Elalamy, LES CLANDESTINS, est réédité. Lauréat du Prix Grand Atlas en 2001 et du prix méditerranéen Le Plaisir de Lire en 2010, il a déjà été traduit en sept langues (anglais, allemand, arabe, espagnol, grec, italien et néerlandais). Avec ce roman polyphonique, les clandestins, douze hommes et une femme, retracent leurs histoires à la fin tragique.
D'une aventure à l'autre, le narrateur de ce livre croque la Grosse Pomme à pleine dents, s'invite dans de drôles de soirées, se retrouve emprisonné dans la Statue de la Liberté, annonce l'arrivée d'une nouvelle espèce humaine : l'Homo Hamburgerus. Dans un mélange d'humour, de dérision et de fantaisie, Youssouf Amine Elalamy nous invite à découvrir un New York pas comme les autres.
D'une séquence à l'autre, l'auteur nous plonge dans le « printemps arabe » avec ses espoirs, ses enjeux, ses dérives et ses folies. Dans un mélange de réalisme, d'humour, de dérision et de fantaisie, Youssouf Amine Elalamy raconte, dans son style bien à lui, les révolutions qui ont bouleversé lemonde arabe.
Voici une histoire entièrement écrite avec de l'eau. Il faut la lire comme on boit du thé, à petites gorgées, pour en apprécier tout l'arôme et éviter de se brûler la langue. Elle commence avec des hommes qui passent leurs vie à partir et se termine avec une femme qui assiste à sa propre naissance. Une jeune femme d'une grande beauté, avec une longue chevelure en soie et un nom parfumé. Dans cette histoire, il y aussi un vieillard qui nemeurt jamais, pasmême vers la fin, quand lesmots viennent àmanquer. La première fois, on le rencontre assis sous un arbre qui change constamment de couleur et ne donne jamais lesmêmes fruits.