En écho à Pomelo grandit, voici l'étonnant Pomelo découvre :
Poétique, drôle et questionneur.
Pomelo a soudain une envie de promenade. Avec Stela ils découvrent la nature : les grandes fleurs, les chemins caillouteux, sablonneux. La vie de la forêt est passionnante de près comme de loin, Pomelo en fait l'expérience. Tout devient digne d'être observé, et découvert... même les sensations intimes, le temps qui passe, la vie qui fourmille et les grandes questions existentielles.
Assis au bord de la mer, Pomelo se dit qu'être ici et maintenant et comme il est, c'est drôlement chouette. Mais il imagine aussi.
Il imagine... comment ça serait d'être papa.
Il imagine, que quelque part, il y a peut-être quelqu'un d'autre qui est en train de faire la même chose que lui.
Il réalise que dans i-ma-gi-ne il y a le mot IMAGE ! et un peu de magie aussi.
Pomelo imagine tout ce qu'il y avait ici avant lui, le goût de fruits qu'il n'a jamais goûtés et ce que serait sa vie dans un autre livre...
Espoir, jeu, frayeur, questionnement philosophique... avec Pomelo imagine se dessine toute la force de cette faculté particulièrement enfantine qui permet de jongler volontairement avec tous les possibles.
Sur son chemin du matin, Pomelo croise un pissenlit étonnamment petit
Ça alors ! Pomelo a grandi !
Du coup, il voudrait bien faire quelque chose de grand, plus grand que tout ce qu'il a fait jusqu'ici.
Mais Ne faut-il pas être moyen avant d'être grand ? Et puis d'abord, grandira-t-il uniformément ? Deviendra-t-il tout gris ? Aimera-t-il des choses qu'il naimait pas avant ? Devra-t-il faire des choix et de nouvelles expériences ?
Grandir c'est voir revenir ses vieilles peurs mais c'est aussi apprendre à en rire. Et maintenant, Pomelo se sent assez grand pour la grande aventure.
Pomelo regarde autour de lui et redécouvre 12 couleurs dans toutes leurs nuances. On y trouve :
Le blanc infini de la neige qui tombe, le blanc d'un lait chaud mousseux ...
Le jaune acidulé du citron, le jaune aveuglant du midi...
Le rouge tomate de la honte, le rouge hypnotisant de la passion...
Le rose cucul la praline du bonheur, le rose des fesses de Pomelo !
Le bleu des rêves, le bleu obscur de l'inconnu...
Le vert bouleversant du printemps, le vert parfait des petits pois !
Issues de la nature, reflets des émotions, créatrices de sensations, les couleurs sont ici présentées à travers le regard toujours curieux et parfois décalé de notre Pomelo.
Une explosion d'évocations poétiques et humoristiques.
Une farandole de couples de mots contraires, vus à travers les yeux et l'humour délicat de notre Pomelo :
- les classiques : fermé/ouvert, loin/proche, haut/bas ;
- des surprenants : banal/exceptionnel, possible/impossible, rêve/réalité ;
- des subtils : éphémère/éternel, question/réponse, voir/regarder ;
- des farfelus : quelque chose/n'importe quoi, roudoudou/pas roudoudou, En veux-tu ?/en voilà !
Un imagier jubilatoire qui livre aux petits des clés étonnantes pour décoder le monde qui les entoure et avancer dans la vie.
« Il n'y a plus l'ombre d'un pissenlit quand Pomelo part pour La Grande Aventure. Des fraises pour la soif et des glands pour la route. Pour partir, il faut un coeur pur, se dit-il. Et il part. Il est parti. Il va partir. » Dans ce grand album à l'italienne, Pomelo découvrira la mélancolie, rencontrera un Papamelo qui lui fera griller quelques saucisses, entendra parler de Mamamelo, prendra la mer, se liera d'amitié avec une étoile de mer...
Un nouvel album, où se déploie le ton, la fraicheur poétique de Pomelo...
En regardant la mer, Pomelo laisse remonter à la surface quelques souvenirs. Il se souvient... de son cher pissenlit, de la couleur des tomates, du jour où il a quitté son jardin et des amis qu'il y a laissés.
Mais aussi de cette fête déguisée, d'un doux rêve bleu, des nuits trouées de questions, des jours pleins et des jours vides...
Ce jeu des souvenirs ravira ceux qui connaissent Pomelo, et enchantera ceux qui le découvrent ; car ces souvenirs touchent à l'enfance, aux sensations, aux émotions. Vivent les souvenirs, et, sans nostalgie, vive le présent, aussi !
Dans ce grand album à l'italienne, Pomelo comprend que l'amour est un inestimable trésor.
Avec son amoureuse Stela l'étoile de mer, Pomelo va découvrir un univers qu'il ne soupçonnait pas, voudra tout partager sans forcément y arriver (mais ce n'est pas très grave.).
Et il éprouvera l'amour maternel grâce à Mamamelo, une Mamamelo inattendue mais pourtant fidèle à la description que lui en avait fait Papamelo « une étoile qui brille dans le ciel ».
« Chaque instant est un trésor » ou « Il y a un trésor en chacun de nous » glisse Mamamelo avant de s'envoler de nouveau. Pomelo ne comprend pas très bien. Mais ce qu'il est sûr d'avoir entendu, c'est « Preeeeeeends eeen soin ! »
Admirant l'étoile de mer, Pomelo se demande si lui aussi a une forme et si oui, laquelle. Il observe alors le ROND raté des patates, le ROND cracra du caca, le CARRÉ rafraîchissant des glaçons, le TRIANGLE mou de la fraise, le TRIANGLE craquant des cornets de glace, le presque LOSANGE de certaines feuilles, l'ÉTOILE rose des gants, la forme CHOU-FLEUR des choux-fleurs, la forme GOUTTE de la tristesse ou celle des pépins.
Joyeuse, poétique ou farfelue, cette énumération des formes joue sur les qualificatifs, les comparaisons, les rapprochements surprenants.
Ce matin-là, dans La Grande Forêt, la fourmi ouvrit mollement un oeil, puis sursauta d'épouvante en s'apercevant qu'elle était totalement seule dans la fourmilière. De tous les mardis du monde, la Fourmi n'en avait connu aucun de solitude, jamais encore elle n'avait oublié de se réveiller. Elle sortit donc à toutes jambes pour arriver à temps au rassemblement général, mais ce qu'elle ne vit pas, derrière la brume de ce matin opaque, c'est l'énorme masse brune qui venait de la percuter de plein fouet.
La liberté de sortir du rang, la culpabilité qui en découle, le courage, la peur et l'amitié émancipatrice, sont les ressorts de cette magnifique histoire.
adieu carottes adieu salades adieu endives bonjour le monde !
Lasse de se lever à l'heure où les autres se couchent, lasse de ne voir que la nuit, la Chauve Souris décide de faire une apparition au grand jour, enveloppée dans une couverture en patchwork. Sur le marché, elle découvre les couleurs extraordinaires des fraises, carottes, betteraves... Et ces couleurs vont réellement changer la vie de la Chauve Souris qui, jouant à les mélanger, se surprend à faire cette chose drôle et inutile qu'on appelle l'art...
C'est bientôt le bal d'Automne et le Hérisson est chargé de distribuer des invitations à tous. À tous, y compris à l'animal inconnu de LAMARGE, que personne n'a jamais osé approcher. Surmontant sa peur, le Hérisson apprend à connaître cette étrange créature à l'aspect effrayant qui parle une langue bizarre et vit dans une curieuse maison à roulettes. Pourtant, malgré ses différences, l'Otarie retraitée du cirque devient une amie étonnante. Et son jus de fraise est le meilleur qu'on n'ait jamais goûté...
À partir de 7/8 ans La grande forêt est un espace imaginaire où se jouent en microcosme des scènes de l'existence ordinaire.
Ramona Badescu y fait vivre des animaux (écureuil, taupe, fourmis, hérissons...) pour, à travers eux, aborder les sujets les plus délicats, dédramatiser les désordres, surmonter certaines émotions, encourager de petites révolutions...
La mort, l'abandon, la marginalité, le courage ou la peur de l'étranger sont quelques-uns des thèmes sensibles traités dans ces deux premiers récits.
L'écriture poétique, précise, drôle, de Ramona Badescu comme les images incomparables d'Aurore Callias qui offrent un équilibre idéal entre habillage décoratif et narration, font de ces textes des oeuvres littéraires, des livres de fonds.
« Je ne pourrai RIEN porter du tout, j'ai le dos fragile » prévient le canard têtu. À sa suite, défilent le chat, le chien, le grand-père, l'éléphant, le vent. tous chargés d'un objet : farine, oreillers, chaises, lait à moitié lapé, chansons, jeux, Lune. Cette histoire-randonnée fait défiler les déménageurs les plus improbables, et raconte le joyeux désordre d'un remue-ménage où chacun se pose la même question : « que porter ? » derrière quoi on entend « comment aider ? » Car tout ce chambardement n'a finalement qu'un motif : faire une place à l'enfant qui arrive.
La Taupe n'a pas de papa. Il est parti il y a longtemps alors qu'elle était encore une toute petite taupe.
Quand elle reçoit une lettre lui annonçant son enterrement, la Taupe ne sait plus quoi ressentir ou penser. Y aller ou pas ? Ce papa disparu il y a longtemps, comment lui dire au revoir ? Sur le chemin, elle trouvera des réponses à ses questions, des amis prêts à l'aider et quelques graines de chèvrefeuille...
À partir de 7/8 ans La grande forêt est un espace imaginaire où se jouent en microcosme des scènes de l'existence ordinaire.
Ramona Badescu y fait vivre des animaux (écureuil, taupe, fourmis, hérissons...) pour, à travers eux, aborder les sujets les plus délicats, dédramatiser les désordres, surmonter certaines émotions, encourager de petites révolutions...
L'écriture poétique, précise, drôle, de Ramona Badescu comme les images incomparables d'Aurore Callias qui offrent un équilibre idéal entre habillage décoratif et narration, font de ces textes des oeuvres littéraires, des livres de fonds.
perdu ? dans les salades ? dans une page blanche ? au super supermarché ? dans un regard ? directement dans le bois ? prenez, prenez par ici ! perdez-vous donc sans soucis ! c'est 1, 2, 3.
perdu, parti !.
A 1 c'est la rencontre.
A 2 c'est l'amour, la vie en amoureux. A 3 c'est une nouvelle vie à inventer avec l'enfant qui est là. Une histoire de petits riens et de bonheur qui s'agrandit.