Aux Échets, près de Lyon et de la Dombes, le restaurant Marguin a 100 ans. Une institution de réputation mondiale, un temple de la cuisine de terroir sincère et inventive. Saga familiale et recettes y sont tout aussi savoureuses ! Tout à côté des étangs de la Dombes, la famille Marguin perpétue depuis 1906 une cuisine authentique gourmande et généreuse. Sous la houlette de Christophe, représentant de la quatrième génération, et tandis que son père, Jacques, l'accompagne encore aux fourneaux, le restaurant allie aujourd'hui tradition et inventivité, produits du terroir et saveurs venus de plus loin. L'emblème de la maison Marguin ? La grenouille, présente sur la vaisselle et les menus, et dont les cuisses attirent ici les gastronomes du monde entier. On est aux portes du « pays aux mille étangs », la Dombes, au sud-ouest du département de l'Ain. Une région discrète qui a su préserver ses charmes et qui n'est pas faite pour les gens pressés mais pour les amateurs de bien vivre et de bien manger. La cuisine y est marquée par l'omniprésence de l'eau : carpes, grenouilles, brochets, gibiers d'eau Ajoutez à cette inspiration les volailles de Bresse, la gastronomie lyonnaise et la curiosité du « bon » quand bien même le produit ne serait pas de la région , et vous obtenez la cuisine déterminée et subtile de la maison Marguin. R iche de son héritage et de sa créativité, plus qu'un formidable repas, elle offre à ses visiteurs un beau moment de partage et de passion, comme en témoignent les 50 recettes et l'histoire familiale présentées dans ce livre.
Qualité et créativité ! Une cuisine vraie, aux goûts authentiques, dans le respect des produits.Ce credo défendu avec passion par Paul Bocuse, les Lyonnais en ont l'illustration dans les six brasseries et restaurants qu'il a créés avec Jean Fleury.Parce qu'il n'est de bonne cuisine que celle faite pour le bonheur de partager, voici 60 recettes simples comme on les savoure au Nord, au Sud, à L'Est, à L'Ouest, à Fond Rose et chez Marguerite.Vingt ans après l'acquisition de la première « brasserie Bocuse », Le Nord, huit tables - les six établissements ouverts par Jean Fleury, auxquels viennent de s'ajouter Le Comptoir de l'Est et la Brasserie des Lumières du Parc Olympique Lyonnais - proposent aujourd'hui aux Lyonnais la cuisine innovante, servie dans un environnement convivial, voulue par Paul Bocuse et Jean Fleury.
Jérôme Bocuse et Paul-Maurice Morel assurent désormais la destinée de ces maisons qui ont chacune leur histoire et leur identité. Au Sud, une cuisine du soleil aux saveurs méditerranéennes ; à L'Est, la cuisine des voyages ; à L'Ouest, la cuisine des îles. Fond Rose, mi-brasserie mi-restaurant, met en avant la cuisine des bords de Saône. Quant au restaurant Marguerite, créé dans une demeure ayant appartenu à la famille Lumière, il illustre l'alliance de la tradition et de la modernité, chère aux Brasseries Bocuse.
« La gastronomie en ce début de siècle, selon Yannick Alleno, c'est le souci intégré et conscient d'une diététique appliquée aux meilleurs produits de la région, celle qui ne heurte ni les goûts, ni les suspicions et ne grève ni les appétits ni les budgets. » Jean-Claude Ribaut Originaire de banlieue parisienne, Yannick Alléno fait ses armes dans plusieurs établissements parisiens avant de prendre la direction des cuisines du célèbre palace Le Meurice en 2003. Il obtient sa deuxième étoile Michelin dès 2004 avant de décrocher une troisième étoile en 2007. Passionné par Paris et sa cuisine, il entreprend alors d'en rechercher les origines et de remettre celle-ci au goût du jour, notamment à travers un "Menu Terroir" parisien servi au déjeuner du restaurant Le Meurice.Un hommage à la terre d'Île-de-France et à ceux qui la mettent en valeur. Mais aussi une vraie démarche personnelle de ce Chef qui cherche, à travers son travail, à préserver notre mémoire gustative et à encourager les producteurs locaux. Aujourd'hui, fermiers, cressiculteurs, maraîchers, éleveurs et apiculteurs s'associent à Yannick Alléno pour renouer avec l'ancienne tradition d'une des régions agricoles les plus riches de France. Terroir parisien c'est :- 75 des meilleures recettes parisiennes de Yannick Alléno, du jambon-beurre au Paris-Brest, toutes illustrées de photos ;- une galerie photos rendant hommage aux produits d'Île-de-France et à leurs producteurs ;- un journal écrit par Jean-Claude Ribaut, chroniqueur gastronomique pour le journal Le Monde, sur l'histoire du terroir parisien.
Chaque année, dans le monde entier, Oliviers & Co. distille sa sélection de « récoltes » d'exception, en provenance d'Italie, de France, du Portugal, d'Istrie... et ses préparations sur mesure, imaginées par des étoilés, inspirées par la Grande Bleue.Each year, all over the world, Oliviers & Co. distills a selection of exceptional harvests, from Italy, France, Portugal and Istria, as well as its made-to-measure creations, invented by Michelin-starred chefs inspired by the Mediterranean.Une belle aventure. Ce road-book solaire la conte, des oliviers lumineux aux premières gouttes d'or vert en passant par les tables mythiques des Baux-de-Provence, de Florence, de Venise... Un livre vivant, encore chaud de ses photos-reportages, témoignages appétissants et plats de chef cousus main qu'un trait d'huile d'olive Oliviers & Co..
This solar-powered road trip tells the story of this wonderful adventure: from sunlit olive trees to the first drops of green gold to legendary restaurants in Baux-de-Provence, Florence and Venice. A living book, still warm from the sun in its photographs, appetizing stories and handcrafted dishes from chefs, which a drizzle of Oliviers & Co. olive oil crowns and makes shine. Et en toute logique, c'est à table que conduit l'exploration du monde d'Oliviers & Co., avec les chefs Jean-Yves Leuranguer, Fouquet's - Éric Frechon, Le Bristol - Jean-André Charial, L'Oustau de Baumanière - Alain Passard, L'Arpège - Michel Roth, Ritz - Gérald Passédat, Le Petit Nice - Anthony Genovese, Il Pagliaccio - Annie Féolde, Enoteca Pinchiorri - Attilio di Fabrizio, Villa San Michele - Enzo Pettè, Helvetia & Bristol - Giovanni Ciresa, Bauer - Renato Piccolotto, Hôtel Cipriani.
Des recettes sucrées et salées pour toute la famille, adaptées aux risques cardio-vasculaires.
Qu'ils soient Arméniens de la diaspora ou Arméniens d'Arménie, tous partagent ce goût marqué de la convivialité et de la famille, un goût qu'ils manifestent souvent autour de la table, dégustant des plats aux saveurs qui leur sont propres. Il flotte, dans certains quartiers de Marseille, de Paris ou de Lyon, des odeurs de sudjuks, de basturma et d'aubergines grillées. Des saveurs et des fumets échappés d'un Orient lointain évoquant un art de vivre partagé par une population s'étendant du Caucase à l'Anatolie, du mont Ararat aux rivages de la Méditerranée. C'est cette Arménie, une Arménie d'avant la « grande catastrophe » et la diaspora, que nous évoquons. en nous intéressant aux Arméniens d'aujourd'hui. Pour cela, nous sommes remontés aux sources. Direction Erevan, capitale de l'Arménie, état indépendant depuis la chute de l'Union Soviétique. Puis, les rives du lac Sevan, où les pêcheurs continuent de fumer féras et truites qui sont le cadeau de bienvenue offert au visiteur. Enfin, direction les montagnes à la frontière de l'Iran, les monastères figés hors du temps. L'occasion de partager les tables familiales, de visiter, aussi, les nouveaux restaurants d'une bourgeoisie qui émerge.Cette Arménie d'aujourd'hui fera face aux souvenirs de ceux que portent, par tradition, les Arméniens de France. À leur tour, ils racontent la même chose, et pourtant autre chose. Leur pays à eux ressemblait davantage au Liban qu'à la Russie. Malgré les différences, c'est une même culture. Parce qu'au final, il n'est rien de plus intime, pour renouer les fils de la mémoire, que la cuisine. Les portraits : Jean Kehayan, le plus célèbre des Arméniens de Marseille ; Serge Zarokian, restaurateur à Marseille ; Armand Bahadourian, épicier lyonnais ; Armen Pétrossian, importateur de caviar ; Jean-Paul Arabian, bistrotier parisien ; Alain Alexanian, restaurateur lyonnais.