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Eponine Cottey
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« Il pleure dans mon coeur. Comme il pleut sur la ville. » dit le poète... Tout faux ! Regardez notre héros pédaler à travers la ville : il rayonne de joie malgré la pluie qui tombe à grosses gouttes. Aveugle aux cieux menaçants, il zigzague guilleret entre cette vieille dame (qui peste contre son parapluie) et ces enfants qui sautent dans les flaques. Tout contre lui, il tient la plus précieuse des lettres : celle qu'il destine à son amour secret, pour lui dire tout ce qu'il ressent... Hélas ! la bien-aimée ne partage pas ses sentiments, et c'est comme un orage qui le foudroie. Cette fois, de lourds nuages gagnent le coeur du pauvre garçon, malgré le soleil radieux qui revient briller par-dessus les toits. Décidément, météo et sentiments se cherchent sans jamais s'aligner dans cette histoire ! Quoique... ces quelques notes de musique, qu'on entend un peu plus loin, sonneraient-elles comme un arc-en-ciel ? Écrit en vers de mirliton par la facétieuse Camille Floue, illustré avec bonheur par les feutres colorés d'Eponine Cottey, cette histoire ravira les amoureux de cônes glacés, de réchauffement climatique et de tendres bluettes. Un album à lire dès 3 ans, pour mettre des mots sur ses tempêtes intérieures !
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Bouledogue, Basset ou Bichon, tout le monde est bienvenu à Bibiville.
Et pour cause, son père fondateur, l'architecte Walter Bibi, prend à coeur de recueillir tous ceux qui, comme lui, se retrouvent abandonnés sur l'Autoroute.
Chaque jour, Kiki, Kit et Kitty vont y chercher les nouveaux Bibis.
Et voilà comment Scoubidou, adopté sous le nom de Bibidou, rejoint cette belle cité utopique !
Après une belle crêpe-partie pour fêter son arrivée, Walter Bibi lui conçoit un appartement sur mesure. Certes, cette ville tout en losanges, en angles droits et en parallélépipèdes lui paraît un brin austère, mais après avoir été abandonné, Bibidou est bien content de retrouver un nouveau foyer.
A peine Walter parti à la remise d'un prix, voilà qu'une terrible tempête menace... Quelle pagaille à Bibiville ! Les losanges sont sens dessus dessous. Mais comment Bibidou et les autres Bibis vont bien pouvoir faire, pour tout reconstruire avant le retour de Walter Bibi ?
