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Prix
Dominique Noguez
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Comment rater complètement sa vie en onze leçons
Dominique Noguez
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 14 Mai 2014
- 9782743628239
Les gens qui réussissent leur vie nous courent sur le haricot. Comme disait Léautaud, « quelquefois, ceux qui ratent la leur sont plus intéressants ». Surtout s'ils savent la rater complètement. Cela demande du travail, de la persévérance, de l'entraînement.
D'où ce livre où, pour la première fois, est proposée une méthode rigoureuse : quarantetrois principes de base pour rater tout ce que l'on entreprend.
L'effort de théorisation philosophique y est utilement complété par des données thématiques destinées à introduire l'exactitude scientifique dans ce qu'il faudra peut-être appeler la ratologie. Suivent, en prime, quelques bons trucs (« Comment être vraiment malheureux en amour », « Entreprenez une psychanalyse », « Devenez fumeur »), ainsi que l'analyse du ratage dans quelques professions choisies et de nombreux exercices pratiques (« Comment rater une mayonnaise », « un attentat », « un cunnilingus », etc.)
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C'est l'histoire de cinq farceurs de vingt ans vivant dans la banlieue de Paris. Au début, ils signent «Les Quatre Mousquetaires». Leurs références ? Robin des Bois, Cyrano de Bergerac, Arsène Lupin, Dada, mai 1968 et les situationnistes.Tenants d'une révolution douce, ils se veulent des «justiciers modestes». Ils font échouer une opération immobilière au bord de la Marne, souffler un vent de panique sur les codes-barres d'un supermarché du disque ou sur les hamburgers d'un fast-food, changent les plaques des rues, recolorient les feux rouges en feux roses ou bleus, lâchent de vraies souris à Eurodisney, organisent une orgie au Père-lachaise, plongent l'Académie française dans le chaos.Pour eux, comme pour Arthur Cravan, «La grande Rigolade est dans l'Absolu».
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Tu n'as rien vu à Hiroshima
Sylvette Baudrot, Chihiro Minato, Marie-christine de Navacelle, Dominique Noguez, Alain Resnais, Emmanuelle Riva
- Gallimard
- Haute Enfance
- 26 Mars 2009
- 9782070122981
Le 28 juillet 1958, le cinéaste Alain Resnais partait au Japon tourner l'essentiel de ce qui allait devenir un film mythique de l'histoire du cinéma : Hiroshima mon amour.
C'est son premier long-métrage et le premier scénario de l'écrivain Marguerite Duras.
Le cinquantième anniversaire de ce tournage historique est l'occasion de proposer un regard nouveau sur ce film à travers des textes de Chihiro Minato, Marie-Christine de Navacelle, Dominique Noguez, et aussi d'un entretien avec Emmanuelle Riva. Un remarquable ensemble de photographies, qu'elle a prises avant le tournage, de la ville d'Hiroshima, de ses habitants et surtout de ses enfants, est présenté pour le première fois. Ces images exceptionnelles éclairent le film comme elles éclairent la résurrection, treize ans après le drame du 6 août 1945, de la première ville frappée par la bombe atomique.
À ces documents s'en ajoutent d'autres, tout aussi rares, des lettres d'Alain Resnais à Marguerite Duras, des photos du tournage, des pages du journal et des carnets de la scripte, Sylvette Baudrot.
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Il faut tenter de comprendre ce miracle : Marguerite Duras a échappé au purgatoire. Treize ans après sa mort, elle ne cesse d'intéresser, en France et à l'étranger, où elle est l'écrivain français contemporain le plus traduit et le plus diffusé.
Depuis trois ans, des textes posthumes les Cahiers de la guerre et le petit récit intitulé Caprice, paru en 1944 (on trouve ici les preuves qu'elle en est bien l'auteur) changent l'image qu'on avait d'elle. Caprice, en particulier, rompt avec la vision vaudevillesque et bourgeoise de l'adultère, et éclaire à l'avance Hiro - shima mon amour.
Tout cela nous rappelle combien Duras est l'écrivain de l'amour (et qu'elle a, paradoxalement, suscité beaucoup de haine).
Avec le recul, une nouvelle vision de son oeuvre se dessine. Au théâtre, Le Shaga nous présente une Duras inattendue, d'un comique loufoque proche de celui d'Ionesco et de Pinget. Dans l'oeuvre romanesque et au cinéma, la dimension voyeuriste (et visionnaire) ou l'obsession du nom nous apparaissent avec plus d'évidence.
Les archives laissées à l'IMEC permettent d'aller plus loin. On le voit ici dans l'étude minutieuse (sur manuscrits) que Dominique Noguez consacre à la genèse de ce qui est peut-être le plus beau roman de Duras : Le Ravissement de Lol V. Stein.
Duras, toujours est un livre d'ami et de connaisseur, mais écrit sans langue de bois : il s'achève par une lettre posthume sans concession, où l'admiration se nuance de réserves et même de reproches, puis à la fin, somme toute, se trouve renouvelée.
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Éloge du cinéma expérimental
Dominique Noguez
- Paris Experimental
- Classiques De L'Avant-Garde
- 26 Octobre 2010
- 9782912539410
Une histoire ? Une théorie ? Oui, et parmi les plus complètes jamais publiées sur le sujet en France et dans le monde. Une histoire : des futuristes des années 10 et 20 aux cinéastes français des années 50-80, en passant par l'underground nord-américain des années 60 ou le cinéma « structurel » des années 70. Autrement dit de Dziga Vertov à Teo Hernandez, via Jonas Mekas et Andy Warhol. Une théorie : l'auteur, qui a particulièrement contribué à faire connaître ce cinéma en France, en propose une définition rigoureuse, fondée sur des critères esthétiques et économiques. Mais surtout un éloge : l'écrivain prête la main au critique pour donner à ce livre érudit le relief du plaisir, de l'humour et de l'enthousiasme.
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Le bruit, partout, tout le temps, les portables, les chiens méchants, les endoscopies, la grève des transports, les procès abusifs, le politiquement correct, la bien-pensance, le fanatisme, la prétention de faire le bonheur des autres sans leur demander leur avis... Des plus minuscules aux plus énormes, des plus concrètes aux plus métaphysiques, Dominique Noguez traque et classe toutes les raisons qui nous empêchent d'être heureux. Vingt choses ? façon de parler ! Elles sont innombrables ! Avec pour modèles le ton satirique de Juvénal ou de Boileau, l'auteur se livre ici, en écrivain autant qu'en philosophe, à un joyeux jeu de massacre. À la fin, passant à l'humour noir, il nous console en imaginant de sauvages revanches sur ces mille choses qui nous éloignent du bonheur. On ne les aura pe
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« Le temps, diminue chez nous l'intensité des plaisirs absolus, comme parlent les métaphysiciens ; mais il paraît qu'il accroît les plaisirs relatifs : et je soupçonne que c'est l'artifice par lequel la nature a su lier les hommes à la vie après la perte des objets ou des plaisirs qui la rendaient le plus agréable. » (Chamfort) Ce livre parle du bonheur, du moins de ce qui donne du sel à la vie. L'auteur s'y veut « nouveau moraliste » : il s'intéresse à la manière de vivre de ses contemporains, pense qu'il n'y a (presque) rien de plus intéressant au monde, mais essaie de le faire en homme du xxie siècle, avec gaieté. Volontairement divers par leur ton et leur forme, les textes qui le composent ont en commun le refus de l'uniformité et un goût prononcé pour la douceur, la surprise, l'utopie et la farce. Dominique Noguez est un écrivain autant qu'un philosophe. On n'est moraliste qu'en tournant sa langue sept (ou huit) fois dans sa bouche, donc la plume à la main. Ces plaisirs de la vie sont aussi des plaisirs du langage.
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Montaigne au bordel ; et autres surprises
Dominique Noguez
- Maurice Nadeau
- 6 Janvier 2011
- 9782862312187
Première surprise : on a retrouvé le manuscrit d'un quatrième livre des Essais ; en ressort l'image inattendue d'un Montaigne mi-paillard mi-dostoïevskien. Deuxième surprise : deux " mythologies " inédites de Roland Barthes. Troisième surprise : auteur des Deux sources de la morale et de la religion, Bergson se serait également intéressé aux deux sources de l'érotisme...
Faut-il prêter foi à ces révélations ? Ni plus ni moins qu'à celles qui concernent dans ce livre la rentrée littéraire 2016, les élections présidentielles de 2027 ou la manière dont sont aujourd'hui attribués les prix littéraires.
Ce nouveau volume légèrement canularesque rejoint les précédentes " études savantes " publiées par Dominique Noguez : Les Trois Rimbaud, Sémiologie du parapluie ou Lénine dada.
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«Jamais je n'avais regardé ses yeux de si près. Ils étaient d'un brun foncé, presque aussi sombres que leur pupille. Je ne pourrais pas écrire que je la regardais au fond des yeux car ces yeux-là n'avaient pas de fond. Ils n'étaient qu'une surface noire, désespérément opaque, des yeux inhumains, de rapace ou de lynx, d'une dureté de marbre ou de météorite, des yeux qui me regardaient mais ne me voyaient pas, qui ne m'aimaient pas, qui ne m'aimeraient jamais, qui n'aimaient ni n'aimeraient jamais personne, des yeux d'un autre monde.»
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Adrien Delcourt, 59 ans et des poussières, est chercheur en philosophie à l'EHESS de Paris. Il a fait ses études à la Sorbonne, avec Vladimir Jankélévitch, Ferdinand Alquié et Yvon Belaval. C'est un roman sur la philosophie.Il a longtemps aimé la plus belle fille du cours d'agreg, devenue sa femme puis morte précocement. Et aussi un jeune homme rimbaldien, disparu. C'est un roman sur les incertitudes de l'amour.Son meilleur ami, critique sardonique et fin gastronome, siège au comité de lecture d'un grand éditeur et l'aide à se faire publier. C'est un roman sur l'édition (et la bonne chère).Fin 2003, il est amené à présenter sa candidature au Collège de France. Il fait ses visites, rencontre des sommités devant lesquelles il tente de briller. C'est un roman sur l'espoir.Dominique Noguez nous livre un ovni littéraire avec des conversations affûtées, du sexe, des dîners, de l'enthousiasme, de la mélancolie et une surprise finale.
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Encore une citation, monsieur le bourreau !
Dominique Noguez
- Albin Michel
- 27 Février 2019
- 9782226437181
La nuit, tous les aphorismes sont gris. Dominique Noguez les remet en pleine lumière, révélant l'origine et les sources des meilleurs d'entre eux avant de les commenter, souvent avec humour, toujours avec une érudite précision.De Sophocle à Duras, de Labiche à de Gaulle, voici une mine de citations, graves ou graveleuses, philosophiques ou drôles. Un délice pour tous les amis de la sagesse antique et moderne, les curieux d'histoire et d'étymologie, les apprentis écrivains, les amoureux de la langue, les professeurs en quête de sujets de dissertation originaux, et les élèves qui voudraient épater leurs professeurs...
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Des causes : l'humour, la sagesse - antique et moderne -, la littérature de demain, l'avenir du français, le style, le refus de la censure et du puritanisme.
Mais aussi des écrivains et des artistes : Sartre, Barthes, Cocteau, Picasso, Henri Langlois, Topor, François-Marie Banier.
Enfin, quelques conseils : comment porter la barbe ; être un cadavre coriace ; donner une conférence lorsqu'on n'a plus de bouche...
Du lyrisme grave à la bonne humeur, Dominique Noguez a une plume très sûre, un tour d'esprit vif qui fouette notre intelligence. L'humour, son arme favorite, lui fait prendre du champ et donne à sa révolte l'apparence de la légèreté.
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Renaissance du cinema (une)-le cinema underground
Dominique Noguez
- Paris Experimental
- Classiques De L'Avant-Garde
- 10 Novembre 2002
- 9782912539120
On ne peut que saluer l'esprit de clarté, le soin méticuleux de Noguez, qui examine toutes les catégories de son objet : histoire, économie, politique, réception critique de l'underground. Gérard Lucas, Art Press
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« On trouvera dans ce livre, toute une série d'aphorismes, très connus mais pas toujours (j'en fais découvrir plusieurs), dont on ne sait jamais vraiment d'où ils viennent. La plupart du temps, aphorismes au sens strict, c'est-à-dire des vues sur le monde en forme de définition ou d'observation brève tournant au mot d'esprit, mais parfois aussi des expressions toutes faites, des répliques de théâtre, etc., qui n'en sont pas strictement mais qui ont la même fonction. Je les prends dans tous les siècles et dans plusieurs langues (la nôtre, mais aussi, de temps en temps, le grec, le latin, l'italien, l'allemand, l'anglais, même le japonais). Dans chaque cas, j'indique avec une précision de bénédictin la référence exacte de la phrase, racontant, à l'occasion, les longues tribulations qui m'ont conduit jusqu'à elle. J'en risque un commentaire, si possible philosophique, à tout le moins de bon sens, ou même, qui sait, plaisant... »
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C'est ainsi. On la croyait dite, la messe, la messe à l'envers, l'anti-Cène qui ouvre la voie des avant-gardes européennes : dans la tabagie d'un tapis franc -zurichois, le Cabaret Voltaire, parmi le convoiement brinquebalant des choppes, les gueulement hilares des présents, l'avènement de DADA, incarné sur maints tréteaux par les Tzara, Arp, Huelsenbeck et autres as nuiteux de la rupture de tous bans possibles. Zurich, oeil fiévreux du cyclone européen de 1916. C'était compter sans l'industrie patiente et l'érudition sourcilleuse de Dominique Noguez. Lui enfonce un coin, élargit le cadre et continue à déplier la lettre, découvrant un angle de vue, mettant à jour un post-scriptum hallucinant : DADA ne nous vient pas de l'errance tâtonnante d'un doigt poétisant sur une page de dictionnaire (version de la vulgate), mais de l'exclamation jovialement approbatrice d'un exilé du cru : Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine. Lui, qui se serait exclamé, à la vue d'un happening furibond (coups sur caisse pas très claire, violon invisible et danse non-euclidienne) : DA DA! Le grand OUI du grand Russe au grand BI de la jacquerie mentale en ce lieu éclose. Et n'en restons pas là : Lénine aurait, preuves à l'appui, mis la main à la pâte poétique de Dada, et fait de la révolution russe un grand happening ubuesque. C'est la thèse de Noguez. Preuves à l'appui, on vous dit.
L'extraordinaire coïncidence qui fit se côtoyer à Zurich en 1916, plusieurs mois durant, Lénine et les premiers dadaïstes, est longtemps passée inaperçue. L'étude patiente et méticuleuse de cet épisode trop mal connu conduit Dominique Noguez à une découverte stupéfiante, qui remet radicalement en cause la vision qu'on avait jusqu'ici du leader bolchévique, de sa politique et, d'une façon générale, de l'histoire contemporaine.
Traduit en plusieurs langues dont le japonais (mais pas le russe), ce livre où tout est vrai passe depuis près de vingt ans pour un classique du canular. À tort ou à raison oe
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A deux reprises, avec Les Particules élémentaires et Plateforme, Michel Houellebecq a mis le feu aux poudres. Traduit en trente langues, partout il a divisé la critique, remué ses lecteurs ou mobilisé la justice. C'est un des auteurs les plus discutés de l'époque. Autant adulé que décrié. On l'a tenu pour un oiseau de malheur, un visionnaire, un provocateur. Paradoxalement, l'écrivain reste méconnu et l'homme presque inconnu. Celui que son ami Noguez a surnommé le « Baudelaire des supermarchés » ou le « Buster Keaton de l'informatique » méritait un livre. Le voici. Le premier en France.Au cours des deux « affaires » Houellebecq, si chaudes, si passionnées, Noguez a été son principal défenseur, son meilleur exégète. Il a démasqué la « rage de ne pas lire » de ceux qui condamnaient ses romans en bloc. Il a su distinguer dans sa prose prétendument « plate » différents niveaux de lecture et un « ton nouveau ». Ses arguments semblent lumineux et irréfutables. Le lecteur de bonne foi en conviendra.A l'essai, Noguez ajoute des « bribes » de son propre journal intime. Houellebecq y apparaît tel qu'en lui-même, enfin ou en fait, avec ses faiblesses et ses forces. Romancier et essayiste, Dominique Noguez a publié une vingtaine d'ouvrages dont des romans :Les Martagons (Gallimard, Prix Roger Nimier 1995), Amour noir (Prix Femina 1997) et des essais : Duras, Marguerite (Flammarion, 2001), Comment rater complètement sa vie en onze leçons (Payot, 2002). Il a obtenu le Grand Prix de l'humour noir en 1999.
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« Je vais essayer de tout dire. Jai un retard de sincérité à rattraper, il y a longtemps que jy pense. » Dans ce récit autobiographique, Dominique Noguez raconte le début tumultueux de sa relation amoureuse avec Cyril Durieux, très beau jeune homme aussi attendrissant que cruel, obsédant et néanmoins volatil. À partir de ses souvenirs, de ses carnets, de ses photos, « sans aucune altération du vécu », lauteur revient sur cette rencontre qui a profondément affecté sa vie. Entre Paris et le Japon, Une année qui commence bien est un voyage au cur même de lintimité dun écrivain qui sinterroge, entre autres, sur la nature de lamour et sa puissance.
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« Un jour, à Paris, les habitants de Saint-Germain-des-Prés se réveillèrent avec une statue de Satan devant leur église et deux anges flanquant la statue du révolutionnaire Condorcet près de l'Institut. Daniel Hourdé venait de frapper. L'art - un art vif, libre, durable, dantesque - venait de frapper. Cinq ans plus tard, il récidive en mode majeur, cette fois au beau milieu de la Seine.
Les 155 mètres du pont des Arts vont devenir pendant plusieurs semaines en mai-juin 2016 une «passerelle enchantée». » D.N.
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Deux Khâgneux sous De Gaulle ; correspondance 1963-1973
Dominique Noguez, Michel Taillefer
- Plein Jour
- 13 Septembre 2019
- 9782370670410
Dominique Noguez et Michel Taillefer se sont rencontre´s en septembre 1962 dans la kha^gne du lyce´e Louis-le Grand. Ils sont entre´s ensemble a` l'E´cole normale supe´rieure. Les lettres que Dominique Noguez a de´cide´ de publier apre`s la mort de son camarade couvrent les dix premie`res anne´es de leur amitie´, de leurs de´buts de jeunes intellectuels a` leur entre´e dans la vie adulte.
Jeux, plaisanteries, inventions langagie`res, re´cits drolatiques ou passionne´s de leurs journe´es, de leurs rencontres, de leurs voyages, ces lettres, quelquefois e´maille´es de disputes, font revivre tout un pan de la vie politique et culturelle de l'e´poque - Mai 68, le re´fe´rendum de 1969, les colloques de Cerisy, les premie`res publications, la de´couverte de New York, de la contre-culture, du cine´ma expe´rimental...
Deux garc¸ons s'amusent, et tiennent ensemble la chronique de leur jeunesse, avec une vivacite´, un plaisir d'e´crire qui donnent le sentiment de les entendre parler de vive voix, et d'entrer joyeusement dans la conversation.
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Avant-Garde Cinématographique en France dans les Années
Dominique Noguez, Nourredine Ghali
- Paris Experimental
- Classiques De L'Avant-Garde
- 1 Avril 1995
- 9782950063564